En raison de la situation sanitaire du pays, il a été décidé d’annuler purement et simplement l’édition 2022 de la Transju’Jeunes qui devait se dérouler le mercredi 26 janvier aux Rousses. Depuis plus de 30 ans, La Transju’Jeunes est LE rendez-vous, de tous les jeunes de 7 à 19 ans, passionnés de ski de fond. C’est la deuxième année consécutive que cet évènement est bousculé par la pandémie.
Un accident impliquant un car scolaire s’est produit en début d’après-midi sur la commune de Fallerans (25). Le véhicule était vide. Seul le conducteur se trouvait à l’intérieur. Il a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
L’échéance approche à grands pas. Ce dimanche, à 14h, l’ESBF affronte les Hongroises de Monsonmagyarovari pour le compte du 1er tour des phases de poule de la Coupe d’Europe. Le départ est prévu ce samedi. Les Bisontines sont plus que jamais déterminées pour affronter cette formation, que personne n’attendait vraiment à ce niveau. Selon Sébastien Mizoule, le coach bisontin, seule une défense imprenable permettra à son groupe de l’emporter. Avec une moyenne de 32 buts en championnat cette saison, les Hongroises sont réputées pour être solides en attaque. En revanche, elles prennent aussi des buts. Les statistiques en laissent apparaître une trentaine par confrontation.
« Être dans le combat »
Sébastien Mizoule a demandé à son équipe de montrer un autre visage que celui qu’elle a dévoilé mercredi soir face à Dijon. « Il faudra être beaucoup plus dans le combat. Refuser de perdre ses duels » explique-t-il. Et de poursuivre : « Il faut qu’individuellement, on se secoue un petit peu plus les puces. Le mot d’ordre, c’est défendre fort. Les Hongroises n’ont rien à voir avec Dijon. C’est plus grand. C’est plus costaud. Ca tape fort ».
Départ prévu demain matin
Après une ultime séance d’entraînement demain matin à Besançon, le groupe prendra la direction de la Hongrie. Son arrivée est prévue vers 19h. Le match est programmé à 14h et le retour en Franche-Comté dans la nuit de dimanche à lundi.
L'interview de la rédaction
Un individu, âgé d’une vingtaine d’années, a été écroué à la maison d’arrêt de Besançon dans le cadre d’un mandant d’amener. Il devra également s’expliquer le 25 avril prochain devant la justice. Le 4 janvier, lors d’un contrôle routier, mené dans le quartier Planoise, il est apparu qu’il était au volant alors qu’il n’est pas titulaire du permis de conduire. Il faisait également l’objet d’une mesure judiciaire lui interdisant de paraître sur le quartier de Planoise. 28 grammes de cannabis et un sachet contenant des bonbonnes de poudre blanche, à savoir six grammes de cocaïne, ont été découverts dans la poche de ses vêtements. Il nie les faits.
Le jeune homme de 16 ans, qui s’était montré violent, en cassant volontairement à coups de pieds la vitre d’un foyer d’hébergement, quai de Strasbourg, à Besançon, doit être présenté à la justice ce vendredi. Rappelons qu’il avait été exclu de cet établissement pour avoir agressé une éducatrice.
Il voulait pénétrer dans les lieux pour faire sa lessive. L’adolescent, qui avait pris la fuite après les faits, était retourné sur place. C’est dans ce contexte qu’une patrouille de police était parvenue à l’interpeller.
Joli coup pour les policiers pontissaliens. Grâce à la vigilance des commerçants d’une parfumerie, qui avaient noté la plaque d’immatriculation d’un véhicule, dont les occupants étaient soupçonnés d’avoir commis un larcin, les forces de l’ordre sont parvenues à les interpeller.
Les investigations ont permis d’établir que ces derniers étaient impliqués, à des degrés divers, dans des vols à Roche-les-Beaupré et à Besançon en fin d’année. Ce trio, deux hommes et une femme, s’est vu remettre une convocation devant la justice pour le 23 avril prochain.
Dans le Haut-Doubs, Elodie Prévalet, maman et secrétaire de direction, et Clémence Descourvières, une amie, se préparent à participer au trophée des Roses des Sables qui se disputera en octobre prochain dans le désert marocain. L’échéance est encore longue, mais il convient de s’y préparer dès à présent. Les aventurières souhaitent atteindre un budget de 18.000 euros pour s’assurer un périple avec le moins d’accrocs possibles.
Ces deux femmes sont loin d’être des novices en la matière. Elodie est une habituée du bitume. Elle a eu l’occasion de participer à des championnats de France de rallye avec son mari. Clémence est une passionnée de sports automobiles. Certains évènements, dont le Paris Dakar, n’ont plus de secrets pour elle. En se lançant dans cette aventure, les deux copines ont envie de « sortir de leur zone de confort, se prouver des choses à elles-mêmes et à leur entourage et montrer que les femmes peuvent aussi s’imposer dans des sports et des disciplines qui seraient, en tout cas sur le papier, davantage réservés aux hommes ».
Un périple de 5.000 kilomètres
Que le défi s’annonce des plus périlleux. 5.000 kilomètres attendent les participantes, qui vont tenter de réaliser un parcours quotidien en réalisant le moins de kilomètres possibles. Une véritable course d’orientation en plein cœur du désert marocain. La compétition est un point important, mais cette belle course véhicule également des valeurs de solidarité. Au cours de cette expédition, elles apporteront un soutien aux enfants défavorisés du Maroc et pour chaque kilomètre parcouru, un euro sera redistribué à la lutte contre le cancer du sein. Pour réaliser leur challenge, les deux aventurières sont à la recherche de partenaires. Un soutien qui sera mis en valeur médiatiquement, via leurs réseaux sociaux, leur 4X4 engagé dans la compétition et les médias locaux et nationaux qui suivront la course.
Pour obtenir de plus amples informations : 06..87.64.59.55 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Il est également possible de se rendre sur la page Facebook nouvellement créée : https://www.facebook.com/leslionnesroses Une cagnotte est également en ligne pour les particuliers qui souhaitent apporter un soutien financier : https://www.leetchi.com/c/les-lionnes-roses
L'interview de la rédaction
Ce jeudi, Etienne Manteaux, le procureur de la République, est revenu sur le drame qui s’est déroulé au soir du 29 décembre rue de Dole à Besançon, au domicile d’un couple. C’est une riveraine qui a alerté les forces de l’ordre en rapportant qu’une violente rixe venait d’éclater chez ses voisins. À leur arrivée, les forces de l’ordre ont aperçu une femme ensanglantée sur son balcon, situé au premier étage et donnant sur la chaussée. À la vue de la police, son mari s’est retranché dans l’appartement, et lorsque les policiers ont pénétré dans le domicile de force, il se serait alors infligé de lui-même des violents coups de couteau au niveau du cou, des poignets et du ventre. Les pompiers et le Samu, appelés en urgence sur l'intervention, ont pris en charge l’agresseur présumé, dont le pronostic vital était engagé. La quinquagénaire n’a pas survécu à ses blessures. L’homme, âgé de 61 ans, a été médicalisé puis transporté en ambulance au CHRU Minjoz. Pour l’heure il n’a toujours pas pu être entendu par les enquêteurs à cause de son état de santé préoccupant. Non pas à cause des coups qu’il s’est portés, mais parce qu’il souffre de plusieurs infections dues à son surpoids. Une information judiciaire a été ouverte pour homicide volontaire sur conjoint.