L’appel à idée du budget participatif de la ville de Besançon est officiellement terminé. Pour cette nouvelle édition, plus de 130 projets ont été déposés par les Bisontins dans l’ensemble des quartier de Besançon. Ils émanent de collectifs désireux de proposer de nouveaux services, de nouvelles infrastructures, de nouvelles animations sur leur territoire de vie.
De décembre 2023 à mai 2024, les services municipaux étudieront la faisabilité technique, juridique et financière des projets déposés. Par ailleurs, du 11 mai au 1et juin prochain, les initiatives qui respectent le règlement intérieur du budget participatif seront soumis aux votes des Bisontins. La ville de Besançon a prévu une enveloppe de 250.000 euros sur cette édition, pour un montant de 1 million d’euros sur la totalité du mandat. Soit 100.000 euros par projet.
Il est possible de retrouver l’ensemble des projets citoyens sur atelierscitoyens.besancon.fr, rubrique « budget participatif-saison 2 ».
L'interview de la rédaction / Kevin Bertagnoli
Anne Vignot, Maire de Besançon, vient d’envoyer un courrier à Elisabeth Borne et Clément Beaune, le ministre des Transports, dans lequel elle leur demande de développer l’offre de train de nuit, en ouvrant des lignes reliant les régions entre elles et ces dernières aux villes européennes. Cette démarche fait suite à la mobilisation, organisée hier par le collectif « Oui aux trains de nuit » et Alternatiba à la gare Viotte de Besançon.
La députée jurassienne Danielle Brulebois, représentant la majorité présidentielle, explique, dans un communiqué de presse, les raisons qui l’ont poussées à soutenir la loi immigration. Selon la parlementaire : « Il s'agit d'un texte utile, d’un texte de fermeté, dans l’intérêt des Français qui permettra de mieux les protéger et de mieux intégrer ceux qui sont admis au séjour ». Et de conclure : Le Sénat et l'Assemblée ont trouvé un compromis, moins bon que le texte initial, mais tout à fait acceptable. Ce texte éloigne ceux qui menacent notre pays et intègre mieux les autres ».
Deux individus, âgés de 28 et 30 ans, qui s’adonnaient à de « l’Uber Shit », ont été interpellés sur le parking Lidl, rue Xavier Marmier, à Besançon le 16 décembre dernier. Lors de la palpation d’usage, il a été retrouvé 20 bonbonnes d’héroïne, pour un poids de 17 grammes, et 10 bonbonnes de cocaïne, pour un poids de 10 grammes, sur l’un d’eux, et près de 20 grammes d’héroïne, 9 grammes de cocaïne et 790 euros sur le deuxième. Leur véhicule n’était pas assuré.
A l’intérieur de la voiture, se trouvaient également trois smartphones, pour lesquels l’exploitation n’a rien donné. Les deux individus ont gardé le silence. Le 1er homme, âgé de 28 ans, a été condamné à 120 jours amende à 6 euros. Il a été laissé libre. Le trentenaire a été condamné à quatre mois de prison, auxquels s’ajoutent trois ans ferme, suite à la notification d’un jugement antérieur. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt.
Quatre individus ont été interpellés en flagrance pour des jets de colis dans l’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon le 19 décembre dernier. Ils contenaient 170 grammes de cannabis et des produits alimentaires. Ces marchandises ont été détruites. Ces jeunes hommes ont été placés en garde à vue. Les deux aînés, âgés de 18 ans, s’expliqueront en mars 2024 devant le Délégué du Procureur de la République en vue de la notification d’une ordonnance pénale.
Le mineur de 14 ans s’est vu délivrer une convocation devant le Délégué du procureur pour le 21 février et le Recueil de Renseignements Socio-Educatifs pour le 23 janvier. Quant à son acolyte de 16 ans, il a été remis à son père, avec un classement sans suites.
Le procès en appel de Nicolas Zepeda, devant la cour d’assises de Haute-Saône, touche à sa fin. Le meurtrier présumé chilien de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki devrait être fixée sur son sort ce jeudi. Hier, la réclusion criminelle à perpétuité a été requise à son encontre. La défense a plaidé l’acquittement.
Dans un communiqué de presse, le député Modem Laurent Croizier explique les raisons qui l’ont poussées à voter la loi sur l’immigration tant décriée. Selon lui, « c’était une attente forte de nos concitoyens et une avancée nécessaire pour notre pays ».
Il défend « un texte de grande fermeté et de justice ». Et de terminer : « Ce texte de loi est le fruit d’un compromis entre sénateurs et députés, hors extrêmes. Jamais, je ne mêlerai ma voix à l’extrême droite xénophobe, hostile aux étrangers par principe ».
Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus hier soir, vers 20h30, à la patinoire Lafayette de Besançon pour procéder à un assèchement après la rupture de deux canalisations d’eau. Le local servant à la distribution des patins a été inondé. 70 m2 ont été asséchés au moyen d’aspirateurs à eau. Il n’y aura pas de chômage technique. Le site restera fermé pour une durée de 24 heures maximum.
Hier soir, une cinquantaine d'usagers, cheminots, militants et élus ont manifesté en pyjama à l’appel de « Oui aux trains de nuit » et Alternatiba en gare Viotte de Besançon pour demander de nouveaux trains de nuit. Les manifestants ont voulu montrer leur attachement à ce service, malgré les arguments contraires du gouvernement. Les militants évoquent un rapport, datant de 2021, sur « les trains d’équilibre du territoire », qui a montré la pertinence de construire 600 couchettes/lits pour relancer 25 lignes de trains de nuit d’ici 2030.
Hier soir sur France 5, Emmanuel Macron est revenu sur la loi immigration. Le chef de l’Etat évoque une loi « utile ». Néanmoins, il ne cache pas qu’elle n’est pas conforme à ce qu’il souhaitait. Il émet des doutes sur la constitutionnalité de certains articles. Il y voit une arme contre l’extrême droite.