Les magasins de seconde main connaissent un véritable succès en France. L’intérêt pour ces enseignes est multiple. Si certains y voient un moyen de faire des économies, d’autres les plébiscitent pour des enjeux tournés vers l’écologie. C’est dans ce contexte que, depuis quelques mois, Leslie Faivre, jeune maman, a créé l’enseigne « deuxième chance » aux Fins.
Dans sa boutique, la commerçante propose des vêtements de marques, de 0 à 14 ans, des articles de puériculture, des jeux, des jouets, des livres et du mobilier. Depuis son lancement, l’initiative connaît un véritable succès. Elle correspond véritablement aux besoins et aux attentes de consommation de la population locale. Une belle dynamique qui a d’ailleurs conduit sa responsable à restreindre, jusqu’à la mi-janvier, la réception de nouveaux articles. « J’ai dû stopper les dépôts temporairement. J’ai eu énormément de choses. L’idée est quand même de pouvoir tout exposer. Je veux garder un esprit boutique et ne pas avoir un espace trop surchargé » explique-t-elle.
Un partenariat avec la clientèle
Le deal se construit autour d’une relation entre la boutique et les autres vendeurs. Une rencontre est planifiée. Les produits sont vus et les deux parties fixent un prix. « Je pars ensuite sur un contrat de trois mois. Je fais ensuite un virement bancaire, chaque mois, une fois que les ventes ont abouti. En principe, je fais une répartition 50-50 sur les tarifs » complète Leslie Faivre. La responsable précise que « la seconde main s’adresse à un public très large ». Ce mode de consommation n’est plus perçu comme un seul moyen de faire des économies, mais décline aussi des valeurs vertueuses. « Les mentalités changent et évoluent. Beaucoup ont compris que cela ne sert à rien d’acheter des choses neuves. Il y a une prise de conscience sur le gaspillage et la surconsommation. On réussit à faire de très bonnes affaires en achetant d’occasion. J’ai déjà proposé à la vente des choses comme neuves, voire neuves".
La boutique de Leslie Faivre est située 9 rue des artisans aux Fins, dans la rue de la Poste. Elle est ouverte du mardi au vendredi de 10h à 12h et de 14h à 17h45 et le samedi de 10h à 12h et de 14h à 17h. Pour joindre la commerçante : 06.31.61.74.03
L'interview de la rédaction : Leslie Faivre
Ce mardi soir, le BesAC va tenter de mettre fin à sa série de quatre défaites consécutives en championnat. Pour ce faire, les basketteurs bisontins devront s’imposer ce mardi soir, au Palais des Sports Ghani Yalouz face à Pôle France.
Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h. L’objectif pour le clan bisontin est également de clore cette année 2023 de la plus belles des manières. Il reste encore neuf matches cette saison, dont 5 à domicile, en phase une, pour ne pas tout perdre.
Si l’information était passée inaperçue cet été, elle ne l’est plus. Le journal « Le Parisien » rapportait hier que l’Europe avait interdit l’ajout de nitrites de sodium, présentés comme cancérogènes, pour la fabrication des croquettes des chiens et des chats, mais ce produit reste autorisé pour les humains. Un paradoxe qu’entend dénoncer le député MoDem Richard Ramos. Le parlementaire a fait livrer, à l’Elysée, des croquettes sans nitrite pour Némo, le chien d’Emanuel et Brigitte Macron.
« Il faut être malade pour s’en prendre à un professionnel de santé ». C’est la phrase choc d’une campagne de communication qui commence ce mardi en France. A travers cette initiative, diffusée sur les réseaux sociaux et les lieux de santé, le gouvernement veut changer le comportement des patients violents et inciter les professionnels victimes à porter plainte. Selon des chiffres gouvernementaux, 65 professionnels de santé sont victimes, quotidiennement, de violences physiques ou verbales.
Le Parlement a adopté hier, par un ultime vote au Sénat, la prolongation, jusqu’à fin 2024, d’une dérogation qui permet d’utiliser les tickets-restaurant pour acheter tous les produits alimentaires. La proposition de loi avait été adoptée fin novembre. Le dispositif devait initialement s’arrêter à la fin de cette année.
Affaire Narumi Kurosaki : L’interrogatoire de Zepeda se poursuit ce mardi Hier, lundi, le Chilien Nicolas Zepeda a maintenu sa défense aux Assises de Haute Saône à Vesoul. Il est reste campé sur ses positions et explique qu’il n’a pas tué Narumi Kuorosaki, son ex-petite amie japonaise, dont le corps n’a jamais été retrouvé.
Au cours de ce nouveau rendez-vous avec la justice, Zepeda a reconnu quelques mensonges, admettant qu’il s’était rendu volontairement à la résidence universitaire de la Bouloie à Besançon pour voir la jeune femme. Il a également admis avoir acheté des billets de train avec les informations bancaires de cette dernière. Il a concédé être éventuellement le guetteur qui apparait sur les vidéos du campus. Son interrogatoire reprend ce matin. Le verdict pourrait être prononcé mercredi ou jeudi.
La commune de Sombacour et la fondation du patrimoine se mobilisent pour la restauration du site du Mont Calvaire, qui domine le village. L’enjeu se porte sur les murets de soutènement en pierres sèches du site emblématique du Val d’Usiers. Il est observé des éboulements et des mouvements de déversement et basculement, laissant apparaître un vide entre le chemin et le mur. Le risque d’effondrement sur la départementale, située en contrebas, est réel. Un étayage a été installé en urgence. Des travaux vont être menés. D’où cet appel à la mobilisation pour la préservation de cet endroit, inscrit à l’inventaire des monuments historiques, et qui fait la fierté des locaux.
Ca fleure bon le café et les marrons chauds. Il faut bien avouer que cela donne également une sympathique ambiance de Noël au campus de la Bouloie. Jusqu’à jeudi après-midi, le Crous Bourgogne-Franche-Comté, l’université de Franche-Comté et les associations étudiantes de Besançon organisent le 1er Marché de Noël solidaire à destination des étudiants bisontins.
Clémence, chargée de la vie de campus au Crous Franche-Comté
Nathan Sourisseau, élu bisontin en charge de la jeunesse
Delphine Mouturier, directrice de la cie étudiante au Crous Franche-Comté
Durant ces quatre jours, les étudiants peuvent se plonger dans cette belle ambiance de Noël et profiter des animations et gourmandises proposées. On notera également la participation de partenaires et acteurs de la solidarité, comme la Banque Alimentaire, le Lions Club et la Croix Rouge Française
Lancement de la Ressourcerie
Initiée dans le cadre de l’appel à projet « Agir ensemble », cette initiative sociale et environnementale offre aux étudiants un accès facilité à des biens de seconde main. Ce lieu s’est installé à l’espace solidaire du (Li)VE au rez-de-chaussée, à côté de l’Agoraé, l’épicerie sociale et solidaire étudiante. Cette ressourcerie, orchestrée par un coordinateur, sera déployée dès février 2024, offrant ainsi une nouvelle dimension à l’engagement durable sur le campus.
Nathan Sourisseau, élu bisontin en charge de la jeunesse
Delphine Mouturier, directrice de la cie étudiante au Crous Franche-Comté
Le Marché de Noël solidaire du Campus de la Bouloie est ouvert ce lundi 18 décembre de 17h à 19h30 et Mardi 19, mercredi 20 et jeudi 21 décembre de 11h à 14h.
Un homme a été placé en cellule de dégrisement et en garde à vue hier soir à Pontarlier. Cet individu, alcoolisé, s’est rebellé lorsque les policiers sont venus l’interpeller après un différend avec sa compagne. Un agent a été blessé légèrement à un poignet. Lorsqu’il a retrouvé la raison, le mis en cause a présenté ses excuses. Il s’expliquera en avril prochain devant la justice.
Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus ce matin pour un feu de matelas dans un appartement rue de Savoie, à Besançon. Malgré l’intervention rapide des secours, le bilan fait état d’un chat décédé. Une lance a été nécessaire pour éteindre l’incendie. L’appartement est désormais insalubre à cause de fumées. Le locataire a été relogé par le Grand Besançon Métropole.