Choix du secteur :
Se connecter :
 

Le 5 novembre, le responsable d’une agence bancaire bisontine a déposé plainte au commissariat de police de Besançon à l’encontre d’un ancien client, qui s’est montré menaçant vis-à-vis des employés de la structure. Il a été interpellé en flagrance pour des faits similaires devant l’établissement bancaire. Il était en train de mimer des tirs à l’arme automatique sur la banque. Il a été placé en garde à vue. Le quadragénaire était mécontent car son compte avait été clôturé et il était fiché à la Banque de France.

Le 5 novembre dernier, un homme de 26 ans a été interpellé dans la galerie marchande de Chateaufarine à Besançon. Le jeune malfrat a dérobé des parfums et des lunettes dans deux magasins. Le préjudice s’élève à 644 euros. L’individu a été pris en charge par les policiers municipaux, conduit au commissariat et placé en garde à vue, qui est toujours en cours ce matin.

Un homme de 22 ans est en garde à vue ce matin au commissariat de police de la Gare d’eau à Besançon.  Rue du Trey, lors d’un contrôle, les policiers ont constaté que son permis de conduire avait été annulé judiciairement. Le véhicule n’était également pas assuré. Le conducteur  présentait un taux de 1,8 gramme d’alcool dans le sang.

Dans le cadre de la 6è journée de championnat en D1 féminine, les filles de l’ESBF se déplacent à Metz ce mercredi soir. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 18h. Les Bisontines restent sur une victoire, obtenue dimanche soir, sur leur parquet face à Toulon (35-30). Au classement, elles sont quatrièmes, avec 11 points. Les Messines sont coleader, avec Brest, avec 15 points.

Dans un souci de meilleure inclusion possible de ses étudiants, l’université de Franche-Comté s’est engagée dans la charte Atypie-Friendly, qu’elle a officiellement signée ce mardi à Besançon. Ce programme national s’est fixé comme objectif de rendre l’enseignement supérieur inclusif, notamment par des actions de sensibilisation et de formation à destination des étudiants, des enseignants et des différents services de l’établissement. Il consiste notamment  Ã  mettre à disposition des ressources, des outils et un accompagnement des différents publics visés.

L'interview de la rédaction, Bertrand Monthubert, directeur du programme Atypie-Friendly

 

Un trop de grand nombre d’étudiants, présentant un trouble du neurodéveloppement (autisme, trouble du déficit de l’attention, troubles dys), ne peut investir des études dans le supérieur. L’université de Franche-Comté veut faire évoluer la situation et donner les moyens à ces jeunes de réussir leur projet personnel et professionnel. Construit autour d’un réseau, avec différents échelons, ce programme va pouvoir se construire à Besançon, qui entre ainsi dans cette dynamique nationale. Certes, le chantier paraît important, mais Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté,  entend renforcer le projet d’insertion, d’inclusion et d’accompagnement de toutes les jeunesses, qu’elle a mis en place  durant son mandat à la tête de l’établissement.

L'interview de la rédaction, Bertrand Monthubert, directeur du programme Atypie-Friendly

Soirée encore difficile pour le BesAC. Hier soir, les basketteurs bisontins se sont inclinés sur le score de 67 à 77 face à Mulhouse au palais des Sports Ghani Yalouz. Cette nouvelle défaite n’arrange pas les affaires bisontines. Le collectif engrange ainsi  une septième défaite consécutive dans son championnat de nationale 1 masculine.

L’interpellation d’une femme de 32 ans a été mouvementée le 4 novembre dernier à Besançon. Cette dernière, qui avait dérobé une bouteille de rhum et une canette de bière, au préjudice de l’enseigne Monoprix, au centre-ville, s’est rebellée au moment de son interpellation.

Elle a porté un coup de tête à l’agent de sécurité qui l’avait prise en charge. Elle a également insulté et violenté les policiers.  Elle a dû être conduite au sol pour assurer son menottage en toute sécurité. Elle a été placée en garde à vue. Les victimes ont porté plainte. La trentenaire s’expliquera prochainement devant la justice.

Un homme a été tué par une arme à feu ce mardi après-midi à Seloncourt. Quatre impacts ont été constatés. A leur arrivée, les secours ont découvert un accident de la route entre deux véhicules. Une femme de 54 ans est légèrement blessée. Dans l’autre voiture, un homme de 50 ans n’a pas survécu à ses blessures. Pour l’heure, le tireur n’a pas été retrouvé. La zone a été sécurisée par les forces de l’ordre.

Ce mardi matin, vers 7h, les sapeurs-pompiers sont intervenus à Nancray, au sein d’une exploitation agricole pour porter secours à six vaches, tombées dans une fosse dans un mètre de lisier. Après avoir vidé la fosse, une équipe de sauveteurs animaliers, appuyée par une équipe des risques technologiques, ont procédé au dégagement des animaux avec l’aide d’un tracteur. Aucune vache n’a été blessée.

Ce mardi, la Ville de Besançon, en présence de nombreux élus, tous bords politiques de gauche confondus, a annoncé le lancement de la phase 2 du projet d’écoquartier des Vaîtes. Le rejet, en avril 2024, par le tribunal administratif de Besançon de la requête de l’association « Les Jardins des Vaîtes Â» a relancé l’initiative municipale.  Rappelons qu’à l’arrivée d’Anne Vignot à la tête de la Ville de Besançon une nouvelle orientation du projet de ses prédécesseurs a été voulue. La mise en place d’un Groupe d’Experts sur l’Environnement et le Climat (GEEC) indépendant et d’une conférence citoyenne ont permis de redessiner « démocratiquement Â» l’espace.

Cette réflexion a donné naissance à un nouveau projet, qui a été adopté, en septembre 2021, par le Conseil Municipal. L’emprise au sol a été revue,  tout comme le nombre de logements concernés. Ainsi, sur un espace de 4,2 hectares, 600 logements verront le jour, contre 1.150 précédemment. Anne Vignot rappelle que cette initiative répond aux besoins de créer de nouveaux logements sur le territoire bisontin,  d’accueillir de nouvelles familles, de proposer un habitat diversifié et de construire une nouvelle école, pour remplacer celle existante, devenue inadaptée et vétuste.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot, maire de Besançon

 

Coconstruire le projet

Comme elle le fait depuis son arrivée aux responsabilités, la majorité bisontine veut continuer à coconstruire ce projet d’écoquartier, vieux de 20 ans, avec les Bisontines et les Bisontins. Le 11 décembre prochain, à 18h30, une grande soirée de démocratie citoyenne sera organisée. Si les grandes lignes sont déjà posées, la cité veut réfléchir avec les habitants, en complémentarité avec les études techniques et le cahier des charges imposés aux promoteurs.  Les ateliers avec la population porteront sur les usages de l’espace de nature urbaine, les formes urbaines, le paysage… .

L'interview de la rédaction : Anne Vignot, maire de Besançon

Quid des jardiniers ?

La Ville de Besançon entend régulariser  cette situation. Actuellement 70 jardiniers se sont octroyé un espace de terre de 1,5 hectare. Anne Vignot remet en cause l’occupation de cet espace, qu’elle juge « illégale Â». Une convention sera signée avec les occupants. La Maire veut également que le fonctionnement de ces jardins soit revu, en les ouvrant au plus grand nombre. Un processus de régularisation amiable est lancé. L’objectif final étant d’organiser une exploitation potagère aux Vaîtes comme dans n’importe quel autre site bisontin, avec un unique mode de gestion mutualisée confiée à une association spécifique.

L'interview de la rédaction : Anne Vignot, maire de Besançon

Quelques dates à retenir

A l’idéal, l’ouverture de la nouvelle école des Vaîtes pourrait être effective en septembre 2028. Le projet du cabinet d’architecte retenu pourrait être présenté en juin 2025. Le début des travaux est annoncé pour 2026.