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Un homme de 67 ans devra s’expliquer en février prochain devant le délégué du procureur. Il devra payer une contribution citoyenne, à hauteur de 400 euros. Il a invectivé et outragé une policière municipale, qui lui reprochait de s’être stationné, en pleine voie, avec les warning à Besançon, rue Granvelle, le 27 septembre dernier. La policière victime a déposé plainte. Convoqué au commissariat, il se présenta, en tenue militaire, à la gare d’eau. Lors de sa garde à vue, il continua à nier les insultes, les invectives et les menaces qui lui étaient reprochées.

Un jeune homme de 27 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Interpellé, avenue Louise Michel, à Besançon, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il était en possession de multiples petits sachets, conditionnés pour la vente au détail. Ils contenaient 296 grammes de résine de cannabis, 40 grammes d’herbe de cannabis et 8 grammes de cocaïne et 510 euros en numéraire. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu qu’il se livrait, depuis deux jours, à de la livraison au détail de stupéfiants. Il avait répondu à une mission sur Snapchat. IL aurait dû gagner 1.250 euros.

Interrogé par Eric Liégeon, député de la cinquième circonscription du Doubs, sur l’aménagement de la route nationale 57, lors des questions orales à l’Assemblée Nationale, le Ministre délégué chargé des transports a confirmé que « des études sont en cours concernant la portion de Saint Gorgon Main et la Vrine pour la création d’un créneau de dépassement et de giratoires.

Ce mercredi matin, Christine Bouquin, présidente du Conseil Départemental du Doubs, en présence de quelques élus et agents de la collectivité locale, a installé le nouveau Conseil Départemental des Jeunes (CDJ). Cette instance est composée de 67 adolescents ( 41 titulaires et 26 suppléants), de cinquième et quatrième, volontaires, représentants les collèges du département.

CONSEIL DEPARTEMENTAL DES JEUNES 2

Ce jour, le CDJ a également procédé à l’élection de son président et de ses vice-présidents. Il a également fallu en passer par la composition des trois commissions thématiques. Les jeunes s’engagent pour une durée de deux ans, avec pour mission de représenter leur établissement scolaire et de construire des projets et formuler des propositions aux élus adultes de la collectivité.

conseil departemental des jeunes 3

C’est une découverte à la fois marquante et inédite qui est survenue  il y a un an dans les greniers de la bibliothèque d’études et de conservation de Besançon. Longtemps tenues secrètes, pour ne pas porter préjudice à l’intéressé, leur publication n’avait pas encore vu le jour. Il aura fallu attendre 150 ans. C’est désormais chose faite. Ce mercredi matin, Anne Vignot, maire de Besançon, et ses équipes ont mis en lumière l’existence de 130 correspondances, écrites ou reçues par Gustave Courbet. 116 d’entre elles, rédigées entre novembre 1872 et mai 1873,  relatent une communication très intime, jugée « sulfureuse et érotique ,  entre le peintre doubiste et Mathilde Carly de Svazema, son amante.

L'interview de la rédaction : Henri Ferreira Lopez, directeur de la bibliothèque de Besançon

Faire savoir, communiquer

Dès qu’elle en a eu connaissance, la Ville de Besançon et ses experts ont tout de suite senti l’importance de ces missives, témoin d’un trait de personnalité du peintre et d’une réalité de l’époque, le 19è siècle. Parce que l’envie de communiquer cette histoire intime, cette audace et cette liberté est bien réelle, plusieurs temps forts sont d’ores et déjà prévus. Cela se traduira par l’édition d’une publication de ces lettres chez Gallimard en mars 2025. Une exposition est également prévue au sein de la bibliothèque bisontine, entre le 21 mars et jusqu’aux journées du patrimoine, en septembre prochain. 36 lettres, parmi les 116, seront alors présentées. Une mise en ligne de ces missives et leur recontextualisation, lors de conférences, est également au programme. Un parcours touristique ne manquera pas également de venir compléter cette richesse culturelle.

L'interview de la rédaction : Henri Ferreira Lopez, directeur de la bibliothèque de Besançon

L'interview de la rédaction : Henri Ferreira Lopez, directeur de la bibliothèque de Besançon

 

Le Campus Bouloie Temis, en cours de transformation grâce à un ambitieux programme de rénovations, de constructions et d’aménagements paysagers, a été distingué par le prestigieux Prix Équerre d'argent 2024 dans la catégorie « Espaces publics et paysagers ». Ce prix constitue un prix de référence à l’échelle nationale en matière d’architecture.

Rappelons que ces travaux s’inscrivent dans une démarche globale qui vise à moderniser les infrastructures universitaires et de recherche, créer des espaces de vie ouverts et accueillants et à respecter les enjeux environnementaux, pour offrir les meilleures conditions de travail, d’étude et d’épanouissement à l’ensemble des usagers du plus grand campus bisontin.

L’infirmerie du Grand Besançon Doubs Handball ne cesse de se remplir, avec, bien évidemment, son lot de mauvaises nouvelles qui l’accompagnent. Le club fait savoir qu’Aleksandar Antic sera éloigné des parquets jusqu’à la fin de saison.

L’ailier droit avait été contraint de quitter ses coéquipiers sur blessure, vendredi dernier, lors de la dernière rencontre contre Caen. Il souffre d’une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche. Face à cette série noire, le GBDH explore actuellement la piste d’un joker pour pallier ces absences et poursuivre sa saison dans les meilleures conditions possibles.

Le 7 novembre dernier, à Besançon, en présence du général de division Jean-Pierre Fagué, commandant la 1ère division, et Emmanuel Viellard, président du MEDEF Franche-Comté, des manifestes ProMilès ont été signés par 28 entreprises du Doubs.

Ce document s’inscrit dans une démarche de collaboration entre les Armées et les entreprises et permet l’instauration de plusieurs objectifs, comme la réinsertion du personnel militaire, blessé ou en reconversion dans le monde civil, la promotion de la réserve opérationnelle au sein des entreprises et la favorisation de l’emploi des conjoints des militaires dans le cadre de la mobilité et de l’installation des familles.

Jusqu’à vendredi, l’équipe de France police de lutte s’entraîne à Besançon. Encadré par deux policiers bisontins, Emmanuel Pin (Directeur technique National) et Aurélien Bozonet (entraîneur national), le collectif prépare les prochains championnats d’Europe de la discipline, qui se disputeront à Zagreb en novembre 2025. Quinze athlètes, policiers de métier, composent le groupe, qui ne cache pas ses ambitions pour la grande échéance à venir. Privée de compétition, il y a quatre ans, en raison de la crise sanitaire, liée au Covid-19, l’équipe veut être au rendez-vous l’automne prochain.

L'interview de la rédaction / Emmanuel Pin (Directeur Technique National)

Venus de toute la France, repérés pour leurs bons résultats nationaux en club, les policiers lutteurs multiplient les séances et les formes d’entraînement. S’appuyant sur les infrastructures du Cercle Pugilistique Bisontin, ils enchaînent des temps de préparation physique et technique. L’intégralité des installations bisontines sont mises à leur disposition. Au menu musculation, endurance et opposition bien évidemment. Rien n’est laissé au hasard. Toutes catégories confondues, le clan français espère bien récolter au moins trois médailles lors de la prochaine échéance européenne.

Rencontre avec les jeunes du quartier

L'interview de la rédaction / Aurélien Bozonet ( entraîneur national)

Ce mardi soir, l’équipe de France police de lutte a rencontré une quinzaine de jeunes du quartier de Planoise, accueillis au sein du centre de loisirs jeunes de la police nationale, dirigé par Fabio Cilli. Ces jeunes adolescents, garçons et filles, ont pu échanger avec ces policiers sportifs, différents du quotidien, et partager leur passion. C’est grâce à une approche très ludique, que les adultes ont créé du lien avec leurs visiteurs, très engagés dans ce sport de combat, qu’ils ont appris à découvrir.

La discothèque bisontine « le QG Â» restera fermée jusqu’à la date prévue. Le 12 novembre dernier, un arrêté préfectoral a prononcé la fermeture administrative de l’établissement pour un mois. Cette décision fait suite au bruit excessif généré par l’établissement et les faits de violences volontaires aggravés survenus le 8 novembre dernier à proximité de l’établissement, provoquant le décès d’une personne. Le recours en urgence formulé par les propriétaires de la boîte de nuit a donc été rejeté par le tribunal administratif de Besançon.