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Ils la tiennent leur première victoire de la saison. Hier soir, face au deuxième du championnat, les Bisontins se sont imposés sur le score de 26 à 22 face à Massy-Essonne . Ce très bon résultat  permet aux Bisontins de quitter leur place de lanterne rouge et d’atteindre la 13è position avec 4 points.

Vendredi après-midi, vers 13h30, un feu de matelas s’est déclaré dans une chambre de l’hôpital Saint Ylie à Dole. Le feu a été éteint par les personnels du service de sécurité. Le résident a été évacué par une ambulance privée avant l’arrivée des secours. Les quatre personnels, incommodés par les fumées, ont été laissés sur place.

Un jeune homme d’une vingtaine d’année devra s’expliquer le 13 janvier prochain devant la justice. Le 15 octobre, lors d’un contrôle routier à proximité du chemin de Mazagran, vers 1 heure du matin, il est apparu qu’il était en possession d’une somme de 755 euros, dont il ne pouvait justifier la provenance.

Connu des services de police, il a été place en garde à vue. Il a été remis en liberté  avec une convocation pour s’expliquer devant le tribunal judiciaire de Besançon. Précisons également que son acolyte, l’automobiliste,  Ã©tait au volant alors qu’il n’est pas titulaire du permis de conduire. Ce dernier a été verbalisé dans le cadre d’une procédure d’amende forfaitaire délictuelle. Il devra s’acquitter de la somme de 800 euros.

Un homme s’est montré violent le 14 octobre dernier rue Bersot à Besançon. Il aurait agressé un voisin. Il se plaignait que ce dernier écoutait de la musique trop fort. Excédé, il lui infligea une gifle et deux coups de poing. Alors que l’agresseur présumé, âgé d’une soixantaine d’année, non connu des forces de l’ordre, sortait de l’immeuble à l’issue de l’intervention de la patrouille de police alertée, il tenta de prendre la fuite.  Il résista à son menottage. Placé en garde à vue, il a été laissé libre. L’enquête se poursuit.

L’ARS Bourgogne Franche-Comté note « une circulation modérée du virus Â» dans la région. Le taux d’incidence de tous les départements de la région s’établit désormais sous le seuil de 50 pour 100 000 habitants. L’épidémie reste sur la même tendance que les semaines précédentes, sans amélioration ni dégradation.

Ce vendredi 15 octobre, un hommage a été rendu dans les établissements scolaires de France à Samuel Paty, à la veille du 1er anniversaire de son assassinat. En présence de Jean-François Chanet, Recteur académique Bourgogne Franche-Comté, et Jean-François Colombet, préfet du Doubs, un hommage s’est tenu à la cité administrative Sarrail, futur site du rectorat de l’académie de Besançon.  Des enfants de l’école Granvelle et des lycéens de Jules Haag avaient fait le déplacement.

PATY RECTORAT

A cette occasion, le Recteur et le Préfet ont inauguré un patio en mémoire de l’enseignant, professeur d’histoire géographie et d’enseignement moral et civique, assassiné le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste pour avoir enseigné et défendu les valeurs de la République dont la liberté d’expression.

PATY RECTORAT 3

 

« Touché, meurtri, envahi par la colère Â»

PATY RECTORAT 4

 

Le Préfet du Doubs s’est dit Â« touché, meurtri et envahi par la colère Â». Néanmoins, le représentant de l’état a rappelé son attachement au maintien « des valeurs républicaines Â» qui fondent notre société. Et de poursuivre : « l’école est un lieu de ressource, d’émancipation des hommes et un rempart contre l’ignorance, l’obscurantisme, le racisme et toutes les dérives misérables Â». Jean-François Chanet s’est dit déterminé à lutter contre l’obscurantisme. Il veut allier les actes à la parole et à la pensée. « L’école doit continuer à préparer les jeunes à devenir des citoyens Â».

Le reportage de la rédaction / Des enfants de l'école Granvelle, un lycéen de Jules Haag et Jea-François Chanet

Tous les ans, des actions d'éducation à la santé prennent place à l’UNAP, à Pontarlier. Cette année, après 1 an et demi de COVID, c’est une sensibilisation un peu différente qui s’est tenue, avec un projet dynamique citoyen. « Parce que c’est une journée nationale, et l’ensemble des travailleurs y a participé. Donc nous avons proposé un parcours au sein de l’UNAP, que chaque travailleur a fait, tout comme le personnel Â» souligne Isabelle Durand, responsable médico-sociale à l’UNAP. « L’objectif était d’atteindre un certain nombre de kilomètres. On avait envisagé 400Km, mais je crois que nous avons été très ambitieuses Â» poursuit Isabelle en souriant.

 

UNAP 2

 

Cette année, le thème portait sur octobre rose, et la prévention contre le cancer du sein. « C’est d’autant plus important que tout le monde peut être concerné. On a des personnes que nous accueillons qui ont déjà été concernées, ou leur famille, et c’est très important Â» précise la responsable médico-sociale. L’événement, soutenu par l’ESAT de Maîche et Morteau, se déroulait toute la semaine, et les travailleurs ont pu effectuer à de multiples reprises ce parcours sillonnant l’espace extérieur de l’UNAP. Tout au long duquel de nombreuses affiches de sensibilisation étaient disposées, relatives à octobre rose, au cancer du sein, au dépistage, et au bien-être général. Après avoir effectué ce parcours de 550m, les travailleurs étaient invités à récupérer un petit ruban rose sur lequel ils inscrivaient leurs noms, avant de le disposer sur le kiosque servant de point de rassemblement.  Â« Les retours qu’on a sont positifs, les gens sont contents, ils apprennent davantage de choses autour de la prévention du cancer du sein. Et ça permet aussi de fédérer l’ensemble du personnel et l’ensemble des personnes accueillies, puisque tout le monde est invité à venir participer à la marche Â» indique Isabelle Durand.  

Le jour-J approche pour Théo Mairot et Clément Didier. Les deux jeunes cinéastes originaires des Fins, ont travaillé pendant plus de 2 ans à la réalisation de leur film baptisé « Génération Z Â». C’est ce dimanche au cinéma l’Atalante de Morteau qu’une première projection de ce long métrage sera organisée, avec une séance publique à 18h30. Le public est invité à venir découvrir ce film tourné dans toute la région. Pour réserver ses places, rendez-vous sur les différents réseaux sociaux de « Génération Z Â», ou bien directement en salle dès dimanche à l’Atalante.

 

 

Un avenir prometteur se dessine. Si vous avez envie de découvrir le fruit de leur travail, n’hésitez pas à vous inscrire pour la séance du 17 octobre prochain. Le nombre de place est limité. Cliquez sur : https://www.eventbrite.com/e/billets-generation-z-avant-premiere-167882207201

Publié dans Actualités, A la une, Culture

Concernant l’épidémie de covid-19 dans l’académie de Besançon, le rectorat de Besançon indique, qu’à la date de ce jeudi après-midi, aucune structure scolaire n’est fermée et 23 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie. 62 élèves et 5 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours.

Ce vendredi matin, dans le cadre de la semaine de l’intégration, une dizaine d’hommes et de femmes ont été reçus en préfecture pour récompenser leur engagement et leur motivation à s’intégrer dans la société française.

Ils sont Africains, Afghans, Albanais, … tous ont suivi avec assiduité le parcours qui leur était proposé pour pouvoir rester vivre en France. Pris en charge par l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration (OFII), ils ont appris la langue française, car il n’y a pas d’intégration possible dans maîtrise de la langue. Cet organisme assure un véritable suivi en accompagnant son public dans les démarches nécessaires pour le logement et la recherche d’un travail. D’ailleurs, à ce sujet, des conventions sont signées avec des entreprises locales et le milieu associatif pour atteindre ce troisième objectif, qui valide une intégration réussie.

Aide-soignante, boulanger, agent de service, éducateur sportif, … ces personnes ont bel et bien trouvé leur place dans la société française. Alors, autant dire que la présence du préfet du Doubs, ce vendredi matin, a renforcé cette appartenance à la nation française.

l'interview de la rédaction / Jean-François Colombet ( préfet du Doubs). Guillaume Germain ( directeur territorial de l’Office Français de l’Immigration et de l’Intégration )