La France vit actuellement sa cinquième vague épidémique. Les variants Delta et Omicron sont les conséquences des nombreuses contaminations que nous connaissons actuellement. Cette situation épidémique se constate depuis plusieurs jours dans les centres de dépistage bisontins. Celui situé à Planoise bat des records d’affluence. Présentant des symptômes ou tout simplement à la recherche d’un pass sanitaire pour pouvoir continuer à travailler, les visiteurs sont nombreux. Certains ne sont pas encore vaccinés, mais d’autres, même si leur schéma vaccinal est incomplet, semble avoir de nouveau contracté le virus.
Longues heures d’attente
Les conditions d’accueil du public sont précaires. Les attentes sont longues et il n’est pas possible de pouvoir s’asseoir convenablement en attendant son tour. La ville de Besançon a bien conscience de cette situation. Gilles Spicher, l’élu en charge de la santé, a pu le constater. Il assure qu’une réflexion est menée sur ce point. D’autant plus que le nouveau protocole mis en place dans les écoles devrait encore aggraver la situation. A la ville de Besançon, on rappelle que la gestion de ces structures est assurée par l’Agence Régionale de Santé et deux laboratoires bisontins.

D’autres solutions
Précisons également que ces tests PCR ne sont plus gratuits pour les personnes qui ne sont pas encore vaccinées. Pour désengorger un peu ces structures, il est rappelé que les pharmacies et les laboratoires assurent également des tests.
Le reportage de la rédaction
Triste début d’année pour un jeune homme de 23 ans. Le 1er janvier dernier, alors qu’il circulait en marche arrière sur la nationale 57, après avoir percuté un trottoir, il est apparu qu’il conduisait avec un taux de 1,18 gramme d’alcool dans le sang. Il était au volant malgré une suspension de son permis de conduire. Il se trouvait également sans assurance.
Alors qu’un nouveau protocole sanitaire est entré en vigueur en cette rentrée scolaire, le syndicat SNUIPP-FSU monte au créneau et dénonce une nouvelle fois encore la méthode de communication du gouvernement, et notamment du ministère de l’éducation nationale, et les décisions prises. Ces enseignants dénoncent « des mesures qui vont à l’encontre de la sécurité sanitaire des enfants, des adultes et des familles, pour préserver l’économie nationale ».
Le syndicat rappelle que le maintien de l’ouverture des écoles nécessite : le recrutement d’enseignants « pour permettre les remplacements et diminuer les effectifs, la fermeture des classes pour une semaine dès le premier cas positif, l’installation de capteurs de CO2 dans les classes, la mise en place de tests de façon régulière et la distribution de masques réellement protecteurs aux personnels ». Pour Amélie Lapprand, co-secrétaire du SNUipp-FSU du Doubs, les crises s’enchaînent et « aucune leçon n’est tirée ».
L'interview de la rédaction : Amélie Lapprand
Dans l’affaire de cette lycéenne de 18 ans, portée disparue durant plusieurs jours, qui dit avoir été enlevée, séquestrée et forcée à la prostitution, après avoir été retrouvée par un proche dans le quartier de Fontaine Ecu à Besançon, le Procureur de la République de Besançon, Etienne Manteaux, a tenu une conférence de presse ce vendredi soir.
Cette affaire va demander encore beaucoup d’investigations. Pour l’heure, la justice et la police disposent de peu d’éléments concrets. On sait que cette jeune fille consommait des produits stupéfiants et a quitté sa famille dans un moment de tension. Par ailleurs, l’examen médical n’a laissé apparaître aucune violence physique sur son corps.
Me Randall Schwerdorffer, avocat de Rashid Askari, nous l’a confirmé : il fera bien appel de la décision rendue par la cour d’assises du Doubs le 10 décembre dernier. Rachid Askari a été condamné de 30 ans de réclusion criminelle, assortie d'une période de sûreté de 20 ans pour avoir tué sa femme de 19 coups de couteau en pleine rue à Besançon en 2018. Il s'était également vu signifier une interdiction du territoire national lorsqu'il aura purgé sa peine, et le retrait total de l'autorité parentale. Un nouveau procès dans cette affaire aura bien lieu dans les prochains mois.
Comme toutes les semaines, l’académie de Besançon fait le point sur la situation sanitaire. A la date de ce jeudi 13h, trois structures scolaires sont fermées et 71 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie. 1323 élèves et 90 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours.
Ces albums de collection d’images autocollantes à collectionner dont tous les enfants raffolent seront lancé le 15 janvier lors de l’arbre de Noel à Frasne. Le football reste le best-seller absolu de la marque Panini en France, où se vendent plus de 150 millions de vignettes, soit 30 millions de pochettes de cinq stickers, à l'occasion de la Coupe du monde de 2010. Après deux saisons de football enrayés par les épisodes de confinement, mettant à mal tous les aspects financiers et sportifs des clubs, le CS Frasne s’est lancé dans cette nouvelle aventure afin de recréer un engouement pour les licenciés.
Avec ce concept d’album de vignettes adaptées, le club du Haut-Doubs propose un projet ludique dans lequel les licenciés sont les stars dont les vignettes vont s’échanger. Plus de 200 albums vont être offerts aux licenciés du CS Frasne. Des points de vente vont êtes mis en place dans les boulangeries, bureaux de tabac, super U et brasseries afin d’acquérir ces vignettes, et de remplir sa collection le mieux possible !
Dans la nuit de jeudi à vendredi, un équipage de police était requis par le CIC (centre d’informations et de commandement) pour une personne venant de se faire dérober son vélo BTWIN par un individu décrit comme « portant un pantalon rouge ». Un peu plus loin sur les lieux, les policiers remarquent effectivement un individu vêtu d’un pantalon de cette couleur poussant un vélo, et l’interpellent. La victime a formellement identifié l’individu, qui avait d’ailleurs porté un coup au visage de son ami de présent avec elle lors du vol. L’auteur, un homme de 27 ans, a été placé en garde à vue.