Un nouvel Ehpad se construit actuellement sur le territoire de la commune de Bracon (39). L’établissement actuel de Salins-les-Bains, ne répondant plus aux normes, et les coûts relatifs à la réhabilitation du site étant trop importants, il a été décidé de construire un nouvel établissement. C’est finalement sur la commune voisine de Bracon, où du terrain était disponible que le projet a pu voir le jour. La livraison du chantier, lancé en février 2020, est prévue dans le courant de l’année 2022.
Son montant est estimé à 22 millions d’euros. 174 nouvelles chambres, réparties sur trois niveaux, seront prochainement proposées aux résidants de l’ancien Ehpad de Salins-les-Bains. Sans doute que d’autres personnes âgées les rejoindront. Une unité Alzheimer et un Pôle d’activités et de soins adaptés se trouveront également à l’intérieur
La vieillesse et la place des aînés dans la société de demain questionnent les élus mortuaciens. D’ici une quarantaine d’années, 32% de la population française aura plus de 60 ans. C’est la raison pour laquelle il convient de s’interroger dès maintenant sur cet avenir si proche et éloigné à la fois.
Ainsi, ce mardi 9 novembre, de 10h à 12h, à l’Escale ( rue du stade), la Ville invite les personnes de 65 ans et plus à participer à des tables rondes sur cet enjeu de société. Huit thèmes seront abordés et permettront à chacun de s’exprimer : habitat, transports et mobilités, bâtiments et espaces extérieurs, lien social et solidarité, information et communication, participation citoyenne et emploi, culture et loisirs, autonomie, services et soins.
Ville pilote
Morteau fait partie des villes pilotes qui participent à cette réflexion. La cité du Haut-Doubs et son CCAS ont déjà initié une dynamique sur le sujet. D’ailleurs, depuis quelques années, Morteau a été labellisée « ville amie des aînés » et « petite ville de demain ». Ces deux distinctions soulignent l’ambition de la ville de Morteau d’améliorer le quotidien des personnes âgées et de lutter contre toutes les formes de discrimination.
Les personnes qui souhaitent participer à ce temps d’échange sont invités à s’inscrire auprès du CCAS Mortuacien au 03.81.68.56.86 ou Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
L'interview de la rédaction/ Marie Bonnet (conseillère déléguée aux affaires sociales)
Ce sont 900 réservistes qui sont répartis sur toute la Franche-Comté, et 360 au niveau du Doubs, qui œuvrent jour et nuit aux côtés de la gendarmerie. Le rythme est soutenu, ils sont mobilisables toute l’année, en fonction des disponibilités. Cela peut concerner jusqu’à 120 jours chaque année, la nuit tout comme le week-end. « Des gens prennent même des vacances spécialement pour s’engager avec la réserve opérationnelle » souligne le lieutenant-colonel Petit, en charge de la réserve opérationnelle du Doubs. Il s’agit d’un engagement républicain fort, une démarche citoyenne déterminée, qui a convaincu Quentin, 24 ans, étudiant en droit. « C’est ce qui fait notre fierté. C’est donner du temps pour les autres. Il faut qu’il y ait des gens qui puissent être présents pour la nation, pour le pays, et pour les concitoyens. C’est un sacrifice, mais pour moi c’est très important ». Des propos partagés et soutenus par Romane, 19 ans. « On a vu avec la crise Covid que c’était hyper important de s’engager. Pouvoir porter l’uniforme bleu c’est une fierté et un honneur. La PMG, une fois qu’on est dedans, on est un peu mordu ! ».
« On ne vient pas là par hasard, on a une formation exigeante. On leur demande des comportements et des réactions exemplaires, qu’ils doivent mener à travers cette formation, et ensuite sur le terrain » précise le lieutenant-colonel Petit. « Ils ont une formation continue, avec un stage de 15 jours. Et ensuite une autre formation continue sur une année, avec des recyclages permanents, de manière à pouvoir œuvrer de manière efficiente sur le terrain » poursuit-il. Pour pouvoir intégrer la PMG, il faut être volontaire. Mais aussi de nationalité française, âgé de 17 à 40 ans, avoir effectué la JAPD, la JDC ou la phase 1 du SNU, être apte physiquement et avoir « une bonne moralité ». Ensuite il faut suivre une formation théorique en enseignement à distance pendant plusieurs mois, passer des examens intellectuels et physiques, ainsi que des entretiens. Si ces étapes ont été concluantes, alors vous êtes invités à passer cette PMG. Il s’agit de 15 jours complets au sein de la caserne, en internat, avec des cours théoriques et pratiques.
« La réserve opérationnelle est là pour compléter le dispositif de la gendarmerie en matière de lutte contre la délinquance, mais pas seulement. Ça peut être l’assurance de proximité, tout comme des interventions routières, ou encore la lutte contre les violences familiales » Lieutenant-colonel Petit
La formation a débuté le 23 octobre et s’achèvera le 6 novembre. Deux semaines intenses au cours desquelles ces réservistes ont appris à se connaître, à vivre ensemble, et former un groupe homogène. Une cohésion de groupe puissante est née, et des liens se sont tissés entre tous les réservistes. C’est d’ailleurs ce qui a plu et motivé les troupes à de nombreuses reprises. « J’ai adoré ces deux semaines. Il y a un vrai esprit de corps qu’on retrouve dans peu d’endroits. Il y a cette forme de discipline, mais on sait aussi rigoler quand il faut » confie Romane sans cacher une certaine émotion. « Je suis très fier d’être allé au bout de ces 15 jours, c’est un stage assez éprouvant. Il faut être solide, ce n’est pas une colonie de vacances. Mais on est très heureux d’avoir acquis toutes ces connaissances » révèle Quentin à son tour. Même si la formation s’achève au-delà de ces quinze jours, d’autres petites formations, avec des enseignements à distance et de examens en physique se prolongeront pour les réservistes. « L’objectif, c’est de leur donner le plus d’outils et de clés possibles. Qu’ils aient un bagage intellectuel et physique pour mieux aborder les situations auxquelles ils seront confrontés » conclut le lieutenant-colonel Petit.
La ville de Besançon s’apprête à recevoir la coupe du monde de cyclocross le 28 novembre prochain, sur le site de la Malcombe, complexe Michel Vautrot. Un évènement d’envergure qui réjouit Pascal Orlandi, président de l’AC Bisontine.
Mettre en avant la discipline
Dérivé du cyclisme, le cyclocross est une discipline qui a le vent en poupe. Pratiqué surtout en hiver, lorsque les terrains sont gras et boueux, le cyclocross a un coté spectaculaire qui plait de plus en plus au public. Le club de l’AC Bisontine, qui compte 140 adhérents, espère bien profiter de ce moment pour mettre en avant tout le travail effectué au sein de la structure, et peut-être même attirer un nouveau public autour du club. Le président Pascal Orlandi et ses collègues sont sur le qui-vive depuis des semaines pour l’organisation de cet événement qui s’annonce spectaculaire. C’est une opportunité unique pour la ville de Besançon et pour tout le bassin franc-comtois.
"On sait que le cyclocross commence à plaire" Pascal Orlandi.
Une compétition de haut niveau
Après avoir organisé des épreuves nationales à plusieurs reprises, Besançon sera cette année le théâtre d’un événement avec une renommée internationale. Tous les spécialistes de la discipline seront présents, et les spectateurs pourront observer ce qui se fait de mieux au niveau mondial, tant lors de la compétition masculine que féminine. C’est la première fois qu’une telle épreuve sera organisée sur le site de la Malcombe Michel Vautrot, de quoi ravir les organisateurs ainsi que les curieux, qui seront sans doute nombreux le 28 novembre prochain.
Interview de la rédaction, Pascal Orlandi (Président de l'AC Bisontine) :
Les proches de Madame Chantal Soulier sont toujours sans nouvelles. Cette personne, domiciliée à Ecole Valentin, transportée à l’hôpital Jean Minjoz, à la suite d’une chute dans sa commune de résidence, n’a plus donné signe de vie depuis le 29 octobre.
Elle a quitté l’établissement après y avoir été conduite. Ce jeudi, une nouvelle opération était menée pour tenter de la retrouver. Ce matin, les participants se sont donnés rendez-vous sur le parking d’une boulangerie à Franois. Cet après-midi, un nouveau rassemblement s’est tenu aux Tilleroyes.
Ce jeudi à 17h aura lieu le conseil municipal de Besançon dans lequel deux grandes thématiques sociales seront abordées, dans un contexte où la violence intra-familiale reste très élevée dans le Doubs. La première concernera la question des réfugiés. La deuxième sera axée sur le renouvellement du label de l’Unicef « Ville amie des enfants ».
Intégrer les réfugiés
Du coté du conseil municipal, la vision est claire, il faut aider les réfugiés à s’intégrer au sein de la ville de Besançon. Pour cela, la ville de Besançon met en place le Contrat Territorial d’Accueil et d’Intégration des Réfugiés aussi appelé CTAIR. Par le biais de ce contrat, la municipalité s’investit autour de cinq grands axes, à savoir la prise en charge de la santé mentale des réfugiés, la jeunesse, le logement, l’accès à la culture ainsi que l’insertion professionnelle. Les réfugiés bénéficieront également de cours d’apprentissage à la langue française grâce à ce contrat.
Un label à renouveler
Un autre point important qui sera abordé lors de ce conseil municipal concerne le renouvellement du label « Ville amie des enfants ». Depuis 2005, la ville de Besançon dispose de ce titre et elle souhaite le renouveler à nouveau pour la période 2020/2026. La candidature a été acceptée et il reste désormais à valider le plan d’action lors du conseil municipal de ce jeudi. Ce label permet entre autres à la municipalité de bénéficier de l’expertise de l’UNICEF afin de développer les actions envers les enfants et la jeunesse. La commune souhaite également intégrer la question de la violence intra-familiale dans son plan d'action, afin d'aider les enfants confontés à ce genre de situation.
Interview de la rédaction, Pascale BILLEREY (Conseillère municipale déléguée au projet éducatif du territoire) :
Un recrutement de policiers adjoints est actuellement mené dans l’Est de la France. L’ensemble des départements de la région Grand-Est et de la région Bourgogne Franche-Comté est concerné. Il est possible de faire acte de candidature jusqu’au 17 novembre. Aucune condition de diplôme n’est exigée pour participer aux sélections et accéder à cet emploi. Pour candidater, il faut être de nationalité française, âgé de 18 à moins de 30 ans.
Les inscriptions se font en ligne, via le site www.devenirpolicier.fr . Il est également possible de joindre le 03.80.44.54.88.
La billetterie de l’édition 2022 de la Percée du Vin Jaune est ouverte. Ce nouveau rendez-vous se déroulera les 4,5 et 6 février prochains à Cramans. Rappelons que le pass’journée s’élève à 22 euros et donne droit à l’accès au site et aux navettes gratuites avec un verre et 10 tickets de dégustation. Pour tout savoir sur cet évènement : www.percee-du-vin-jaune.com
Ce samedi soir, le CA Pontarlier Basket se verra remettre des mains de Pierre Depetris, vice-président de la fédération française de basket, le label citoyen, 3 étoiles. Et ce, pour la deuxième fois. Cette distinction reconnaît le savoir-faire et l’engagement du club pontissalien dans la transmission de valeurs et leur application auprès des plus jeunes. Comme l’explique Maxime Tellier, son président, le CA Pontarlier Basket décline un véritable projet éducatif dans des domaines aussi variés que l’action sociale et la protection de l’environnement.
Pour le responsable, la compétition et la performance ne sont qu’un pan de la formation dispensée. D’autres savoir-être et savoir-faire doivent être enseignés, via le sport, aux plus jeunes afin qu’ils deviennent des sportifs passionnés et investis, mais également des citoyens engagés.
Le CA Pontarlier Basket et son président souhaitent partager ce label avec tous ses supporters. Le rendez-vous est fixé à 20h, au gymnase Charles de Gaulle, pour le coup d’envoi du match opposant les Capistes à la JDA. Un match comptant pour le championnat de pré-nationale masculine.
L'interview de la rédaction : Maxime Tellier
Les filles de l’ESBF ont réalisé l’exploit de s’imposer à Brest hier soir dans le cadre de la 7è journée de D1 féminine. Les Engagées ont vaincu les Bretonnes sur le score de 35 à 34. Une précieuse victoire pour la suite de la compétition et avant un nouveau déplacement en fin de semaine à Nice. Les Bisontines se rapprochent du top 5. Elles sont désormais sixièmes au classement. A un point des Dijonaises, positionnées actuellement à la 5è place.