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Il y a du basket ce vendredi soir. Après sa victoire mardi soir, aux Montboucons, face à Kaysersberg, le BesAC va tenter de confirmer face au Havre. Au classement, les Bisontins apparaissent à la 11è place. Les Havrais occupent la neuvième place. Autant dire que s’ils veulent se donner encore plus d’air face à leurs poursuivants directs au maintien, les joueurs de Nicolas Faure ont tout intérêt à prendre les points de la victoire ce soir.

Un accident, impliquant un poids lourd seul, transportant du béton à l’aide d’une toupie, s’est produit hier après-midi à hauteur de la commune de la Chaux, sur la départementale 48, entre La Chaux et Bugny. Le véhicule a terminé sa course sur le côté. Le conducteur était incarcéré à l’intérieur. Il était bloqué au niveau des membres inférieurs. Sa désincarcération a duré plusieurs heures. Après avoir été médicalisé sur place, il a été évacué par héli25 sur un centre hospitalier

Un individu, en excès de vitesse, a été interpellé par la police pontissalienne. Les vérifications d’usage ont permis d’établir que le contrôle technique du véhicule avait été falsifié. Son propriétaire a été convoqué également. Après avoir tenté de se défausser, il a reconnu les faits. Si le conducteur devait s’acquitter d’une amende, le propriétaire s’expliquera devant la justice.

Ce jeudi matin, vers 10h30, à Besançon, rue Thomas Edison, un jeune homme de 21 ans a été interpellé par une patrouille de police. Il a jeté une pierre sur un véhicule en circulation. La conductrice a freiné pour éviter l’impact, sans toutefois y parvenir complétement. Le caillou a touché la calandre de la voiture.

Un individu devait être jugé ce jeudi en comparution immédiate pour des faits de violence conjugale. Ces derniers remontent au 26 octobre dernier. Une femme a reçu des coups de poings et a été étranglé par son compagnon. Elle s’est réfugiée chez un voisin.

A leur arrivée, le concubin quittait les lieux pour rejoindre son domicile, situé quelques mètres plus loin. Alcoolisé, il a été interpellé, placé en cellule de dégrisement, puis en garde à vue. La victime a présenté un certificat médical avec trois jours d’ITT. Au cours de son audition, l’agresseur présumé n’a reconnu que partiellement les faits. Selon lui, la femme aurait été bousculée et se serait blessée en tombant sur du mobilier.

Dans un communiqué de presse, Karima Rochdi, élue bisontine et animatrice du Comité de soutien à l’action du Président de la République, fait savoir qu’elle rejoint « Horizons Â», le parti politique crée par Edouard Philippe. Elle précise néanmoins qu’elle est toujours adhérente à La République En Marche. « Toutes les énergies doivent être consacrées au bilan du quinquennat et à la réélection d’Emmanuel Macron Â» écrit-elle. Et de conclure : « Ce n’est jamais par  le rétrécissement qu’on crée une dynamique, mais par un élargissement des bases Â».

Un accident impliquant un poids lourd seul, transportant du béton à l’aide d’une toupie, a terminé sa course sur le côté à hauteur de la commune de la Chaux, sur la départementale 48, entre La Chaux et Bugny. Le conducteur est incarcéré à l’intérieur de son véhicule. Il est bloqué au niveau des membres inférieurs. Après avoir été médicalisé sur place, il sera évacué par héli25 sur un centre hospitalier

Ce vendredi, dans le cadre de la 8è journée de ProLigue, le Grand Besançon Doubs Handball (12è) se déplace à Strasbourg (14è). Les Bisontins restent sur trois résultats prometteurs : deux matches nuls ( Nice et Tremblay) et une victoire, la première de la saison, face à Massy.

Au cours de ces différentes dates, Benoît Guillaume, le coach bisontin, a vu son  groupe progresser. Sa jeune équipe a acquis de la maturité et de la régularité. Des qualités qui ont permis au collectif de renforcer son jeu et notamment de se montrer plus fort en défense. La tâche ne s’annonce pas des plus aisées. D’autant plus que la défense strasbourgeoise apparaît à la cinquième place du championnat et que son collectif n’est pas des plus faciles à manier sur son parquet.

Benoît Guillaume compte sur son collectif pour réitérer le même état d’esprit. Celui qui lui a permis de faire évoluer et progresser son jeu et de quitter la spirale négative dans laquelle elle se trouvait. A l’image d’Andréa Prohaska, le groupe veut conclure cette rencontre sur une note positive. Un épilogue heureux, avec la prise des deux points, serait le bienvenu, avant la courte trêve internationale et la réception de Valence le 12 novembre.

L'interview de la rédaction

Les étudiants l’ont appris seulement la semaine dernière. Une scission du département entre la licence et le master est envisagée, et sera à l’ordre du jour du conseil de gestion qui se tiendra vendredi matin. Dans une situation déjà alarmante où le manque de professeurs et le manque de cours bouleversent le bon déroulement de ce cursus, cette séparation entraînerait un chaos au sein de la filière, à tous les niveaux. Une pétition a été lancée. Rencontre avec 5 étudiants qui se battent pour la survie de leur département.

 

Un constat alarmant

 

La situation était déjà inquiétante et la tension palpable, dans un contexte où de nombreux professeurs partis l’année dernière n’ont pas été remplacés, et où de très nombreuses heures sont vacantes. Les étudiants parlent de 360 heures non pourvues cette année, réparties sur les trois années de Licence et sur le Master 1. Une multitude de cours indispensables ne sont pas assurés. A cela vient s’ajouter la volonté de démanteler le département en deux entités : une pour la licence et une autre pour le Master. « Le constat est dramatique. Les conséquences seraient terribles pour les étudiants. Cela entraînerait la fin de l’alternance car plus de moyens humains, et la fin du CMI car il ne peut pas courir sur deux départements distants. Et surtout la fin de la continuité pédagogique Â» souligne Natacha, en deuxième année de master information-communication. « Nous avons par exemple une professeure, qui gère plusieurs cours en même temps, qui est censée effectuer 192h sur toute l’année. Elle y arrivera au mois de novembre. Comment fait-on ? Si elle arrête de travailler, nous n’avons plus de tuteur. Et personne ne sait ce qu’il se passera Â» poursuit-elle. Avant d’être reprise par Siella, étudiante en deuxième année en CMI. « Nous c’est notre gérante de projet. Si elle s'arrête, on ne peut pas valider notre CMI. C’est impossible Â». « Dans cette même idée, les étudiants de première année en CMI ne peuvent pas valider leur année, car ils n’ont personne pour gérer leur projet Â» explique à son tour Florian, étudiant en Master 1.

« Dans notre classe de CMI on est tout le temps sous tension. Ça se sent chez les étudiants. On a très peur pour notre avenir, ça nous angoisse beaucoup Â» Myra, étudiante L2 CMI info-com

Les conséquences de cette scission apparaissent comme dramatiques et angoissantes pour tous les étudiants du département Info-Com. Cette fraction entraînerait la fermeture immédiate de l’alternance, obligeant les Master 1 à couper leur contrat car personne ne pourrait les superviser. Les tuteurs devront refuser des alternances aux étudiants qui les obtiennent, car personne ne pourra les encadrer. Cette formation, qui pourtant fonctionne très bien, se dirige progressivement au bord du précipice.  

 

Un cursus convoité

 

Comment la situation a-t-elle pu en arriver là, alors que cette licence est la deuxième la plus demandée de l’UFR, tout comme le Master. Plus de 1000 inscriptions sur Parcoursup l’année dernière, et 300 en Master sur eCandidat. Des effectifs complets, un taux d’insertion professionnel très bon, des étudiants qui obtiennent à coup sûr des alternances. « Il y a des débouchés, on a la preuve que ça fonctionne, que ça marche Â» précise Enzo, en deuxième année de licence info-com. « Mais c’est l’incompréhension des étudiants à l’heure actuelle. Pourquoi on veut sectionner un département, tout arrêter, simplement à cause d’un problème interne. Nous, les étudiants, on n’a pas à être tributaires de tout ça. Et on n’a pas à risquer notre alternance et notre CMI Â» complète Natacha.

« On en a marre d’être pris en otage Â» Natacha, alternante en Master 2 

Certains viennent de loin, voire de très loin, afin d’intégrer le cursus en CMI. Parfois même hors de l’hexagone, la filière Info-Com de Besançon apparaissant comme très convoitée. « On a pris des appartements qu’on paye. On paye aussi la fac. On a été sélectionnés sur Parcoursup, et ça a été très compliqué d’être accepté. Ensuite on nous dit qu’il y a une possibilité qu’on soit renvoyé chez nous, et que notre formation ne vaut rien. Alors que tout vient d’un problème interne, qui n’a rien à voir avec les étudiants Â» déplore Siella.

 

Une pétition pour sauver le département

 

Face à cette situation d’ampleur, une pétition a été lancée. Il est demandé à l’université cet abandon de projet de scission, des postes d’enseignants supplémentaires pour combler l’ensemble des cours vacants, la garantie de la pérennité des trois formations au sein d’un seul département, et la continuité de la professionnalisation des formations (alternances, stages, CMI). Prévenus seulement la semaine dernière de cette fraction probable, les étudiants en Master 2 ont fait passer le message aux Master 1, pour ensuite tenter d’intervenir dans les différentes promotions afin d’alarmer l’ensemble des étudiants. Si l’alerte a pu être transmise aux étudiants en deuxième année et troisième année, la chose fut plus complexe concernant les nouveaux arrivants de première année, face au refus de certains professeurs, soutenant cette scission, et empêchant certaines interventions dans leurs cours. Pour l’heure, 702 signatures ont été obtenues sur les 1000 attendues. Le sort du département information-communication devrait être connu dès vendredi matin.

 

Natacha, Myra, Enzo, Siella et Florian, étudiants en Info-Com :

 

Pour retrouver la pétition : https://www.change.org/p/macha-woronoff-pr%C3%A9sidente-de-l-universit%C3%A9-de-franche-comt%C3%A9-sauvons-le-d%C3%A9partement-information-communication-de-l-ufr-slhs-de-besan%C3%A7on?recruiter=1230920977&recruited_by_id=e54fb0d0-34db-11ec-8c0f-7f95c9c4a7cb&utm_source=share_petition&utm_medium=copylink&utm_campaign=petition_dashboard

 

A l’occasion du 70ème anniversaire de l’acteur français Jacques Villeret disparu en 2005, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma a souhaité lui rendre hommage à travers une exposition d’affiches de ses films. Celle-ci se déroule dans le Hall de l’Hôtel de Ville de Pontarlier du 3 au 27 novembre prochain.