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Hier soir, vers 20h30, les sapeurs-pompiers jurassiens sont intervenus, vers 20h30, à Lons-le-Saunier, pour un feu de bâtiment industriel, rue Blaise Pascal. Un salarié, incommodé par les fumées, a été transporté à l’hôpital. Il est catégorisé blessé léger. 30 soldats du feu se sont rendus sur place.

Le jeune coureur de l’AC Bisontine Baptiste Grégoire (18 ans) a pris la 13è place ce jeudi après-midi de la course, comptant pour les Championnats du Monde,  dans la catégorie juniors. Au terme des plus de 127 kilomètres parcourus, la victoire et le titre mondial reviennent à l’Italie Lorenzo Finn, qui s’est imposé à Zurich.

Suite au passage des fortes rafales de vent dans la nuit de mercredi à jeudi, 5.200 clients ont été privés de courant au plus fort de la tempête, selon des chiffres communiqués par Enedis. Les départements du Doubs et du Jura ont été les territoires les plus impactés. Des arbres, tombés sur les lignes 20.000 volts, sont à l’origine de ces perturbations. Des difficultés ont également été constatés au niveau de la circulation ferroviaire.

Dans le Doubs, on se mobilisera également le 1er octobre prochain dans le cadre de la journée de grève interprofessionnelle. La CGT, FSU, Solidaires et les organisations de jeunesse donnent rendez-vous à Besançon, à 14h, sur la place de la Révolution, et à Montbéliard, à la même heure, au Champ de Foire.

France Horlogerie, l’organisation professionnelle, qui regroupe de nombreux acteurs issus de l’horlogerie, qu’il s’agisse de marques, de fabricants de composants ou de volumes, participe actuellement à Micronora, le salon international des microtechniques et de la précision. Sa présence à Besançon répond au projet de réindustrialisation qu’elle mène depuis deux ans. La structure vient à Besançon pour renforcer son écosystème. Autrement dit, créer des liens et des collaborations éventuelles avec d’autres partenaires, issus d’autres métiers, dont les savoir-faire peuvent venir enrichir les process et les projets de développement du Made in France dans ce domaine. « Il faut apporter des perspectives à nos entreprises. Ces dernières pourront réellement réindustrialiser les process de fabrication, de conception, d’innovation autour de l’horlogerie Ã  partir du moment, où l’on a un écosystème Â» explique Guillaume Butty, Vice-président de France Horlogerie.

L'interview de la rédaction : Guillaume Butty

 

Prendre des risques ensemble

Parce que l’on est plus fort ensemble, parce que l’horlogerie dispose d’un ensemble de savoir-faire transversaux, contenus dans d’autres domaines ( aérospatiale, automobile, â€¦.), la conjugaison  des forces et des compétences, issus également de l’axe recherche et développement, peut permettre son essor, sa diversification et son inscription  dans l’avenir. C’est tout l’enjeu de la présence de France Horlogerie et de ses professionnels au salon Micronora. « On ne va pas recréer l’horlogerie française sur la montre d’il y a 20 ans. C’est l’innovation qui va porter l’horlogerie et réussir sa transition Â» explique M. Butty. Une transition également écologique. « Ces sujets ne sont pas nouveaux pour notre métier, mais ils trouvent actuellement  une certaine modernité Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction : Guillaume Butty

Retrouver de l’ambition. Apporter des perspectives

Cette démarche, tournée vers l’avenir, avec les moyens et les possibilités d’aujourd’hui, n’a pour seul objectif que faire croître l’horlogerie française et  inscrire durablement le « Made In France Â» sur la Mappemode. « L’horlogerie française était un acteur extrêmement important au niveau mondial. Nous le sommes toujours, avec un chiffre d’affaires conséquent. Mais, nous avons une marge de manÅ“uvre pour développer nos entreprises. Notre projet de réindustrialisation vise, à 2030,  Ã  créer 1.300 emplois, chez les sous-traitants mais aussi  chez les marques Â» explique M. Butty. Et de terminer : « notre mission se décline en termes de création d’emplois et de renforcement de nos structures, afin que nos dirigeants se mettent dans une optique de croissance ambitieuse Â».

Une nouvelle édition des Absinthiades se prépare, la 22è du nom. Elle se déroulera les 5 et 6 octobre prochains à Pontarlier. Pour ce nouveau numéro, l’organisateur, les Amis du Musée de Pontarlier, cherche toujours à innover et à ne pas s’endormir sur ses acquis. Ce qui explique sans doute le succès et la longévité de cet évènement culturel. La thématique des bistrots a été retenue cette année.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard

« Passeurs de mémoire Â»

C’est en ces termes que Fabrice Herard, chargé de mission à l’association pontissalienne, définit l’action de sa structure au quotidien. « Les Absinthiades Â» s’inscrit parfaitement  dans cette approche. L’évènement se veut être le transmetteur, le diffuseur et celui qui met en valeur le patrimoine culturel local. Cette année, un hommage sera rendu à Nicolas Giger, Président d’honneur du Pays de l’Absinthe, qui nous a quittés le 25 décembre 2023. L’écrivain Nicolas Leclerc et l’illustrateur Francis Grandvoinnet en sont les parrains. Comme chaque année, le public retrouvera les valeurs sures de la manifestation : le salon des collectionneurs, le concours de dégustation d’Absinthes, les découvertes culinaires, les portes ouvertes des distilleries,… .

Les bistrots à l’honneur

La thématique des bistrots a été retenue cette année. Elle se déclinera de différentes manières : folklore comtois, expositions de cartes postales avec les collectionneurs du Mont d’Or et d’affiches de films, conférences, … . Ce thème fait référence aux nombreux établissements qui existaient jadis à Pontarlier. Pour immerger complètement le public dans cette ambiance, des bénévoles de l’association, Christian Bailly et Georges Meulle, ont réalisé un pan de la façade du Café Georges, bien connu des Pontissaliens. Cet établissement était situé sur la place Saint-Pierre, dans les locaux de l’ancienne pharmacie Saillard, aujourd’hui devenu un salon de coiffure. En intéressant le plus grand nombre à la Fée Verte, les Amis du musée de Pontarlier veulent redonner à la cité comtoise ses lettres de noblesse et resituer historiquement et géographiquement Pontarlier et le Haut-Doubs.

L'interview de la rédaction : Fabrice Hérard

Les 22ès Absinthiades se dérouleront les 5 et 6 octobre prochains au centre-ville de la capitale du Haut-Doubs. Rendez-vous au musée, à la chapelle des Annonciades et au théâtre Bernard Blier.

Ce jeudi soir, les élus de Grand Besançon Métropole vont se pencher sur l’adoption du prochain Plan Climat Air Énergie Territorial 2024/2029. Il s’agit du 3è plan mis en place par la collectivité locale . Le 1er est apparu en 2007. L’objectif est de diminuer la consommation d’énergie et « devenir un territoire à énergie positive d’ici 2050 Â». La collectivité juge ses ambitions « raisonnables et atteignables Â».

L'interview de la rédaction : Lorine Gagliolo

 

Un programme de 40 actions

Le projet validé en 2019 a été repris, actualisé et complété. 40 actions seront déclinées pour atteindre les objectifs précités. Parmi les initiatives prévues : le réseau de chaleur de Planoise, la création d’unités de méthanisation, l’éolien  ou encore la végétalisation de l’espace public et la réhabilitation des locaux de la city. Pour Lorine Gagliolo, la Vice-présidente déléguée en charge du développement durable, de l’énergie et de l’environnement, tous les secteurs et les projets de la collectivité doivent répondre à ces engagements et les prendre en considération pour  leur développement.

L'interview de la rédaction : Lorine Gagliolo

Ce matin, vers 10h30, les sapeurs-pompiers jurassiens sont intervenus pour un incendie sur la commune des Hauts de Bienne Morez, rue Victor Hugo. Il s’agissait d’un feu d’appartement. Le sinistre a été éteint au moyen d’une lance. 16 soldats du feu se sont rendus sur place.  

55 millions d’euros ont été investis en quatre ans par le Département du Doubs pour ses collèges publics. Deux établissements ont bénéficié notamment de cette cure de jouvence. A Villers-le-Lac, plus de 12 millions d’euros ont été consentis par la collectivité locale pour mener à bien une éco-réhabilitation, débutée en septembre 2021. A Frasne, 12 millions d’euros ont également été investis pour les travaux de restructuration de la demi-pension et de l’externat du collège Emile Laroue, disposant désormais de plusieurs bâtiments neufs, qui accueillent notamment le Centre de documentation et le pôle artistique. Ce chantier a permis de doubler la surface de l’établissement scolaire. Les élèves fraignauds  Ã©voluent désormais dans un espace plus confortable de 4.000 m2.

L'Union européenne donne son feu vert pour une protection réduite du loup. L’instance entend ainsi passer d'une "protection stricte" à une "protection simple". Et ce, afin de  réduire plus facilement la population de loups quand elle sera jugée trop nombreuse  sur un territoire, via l'attribution de quotas de chasse. La proposition qui permettrait d’abattre plus de loups, doit encore être approuvée au sein de la Convention de Berne sur la conservation de la vie sauvage.