La billetterie de l’édition 2022 de la Percée du Vin Jaune est ouverte. Ce nouveau rendez-vous se déroulera les 4,5 et 6 février prochains à Cramans. Rappelons que le pass’journée s’élève à 22 euros et donne droit à l’accès au site et aux navettes gratuites avec un verre et 10 tickets de dégustation. Pour tout savoir sur cet évènement : www.percee-du-vin-jaune.com
Ce samedi soir, le CA Pontarlier Basket se verra remettre des mains de Pierre Depetris, vice-président de la fédération française de basket, le label citoyen, 3 étoiles. Et ce, pour la deuxième fois. Cette distinction reconnaît le savoir-faire et l’engagement du club pontissalien dans la transmission de valeurs et leur application auprès des plus jeunes. Comme l’explique Maxime Tellier, son président, le CA Pontarlier Basket décline un véritable projet éducatif dans des domaines aussi variés que l’action sociale et la protection de l’environnement.
Pour le responsable, la compétition et la performance ne sont qu’un pan de la formation dispensée. D’autres savoir-être et savoir-faire doivent être enseignés, via le sport, aux plus jeunes afin qu’ils deviennent des sportifs passionnés et investis, mais également des citoyens engagés.
Le CA Pontarlier Basket et son président souhaitent partager ce label avec tous ses supporters. Le rendez-vous est fixé à 20h, au gymnase Charles de Gaulle, pour le coup d’envoi du match opposant les Capistes à la JDA. Un match comptant pour le championnat de pré-nationale masculine.
L'interview de la rédaction : Maxime Tellier
Les filles de l’ESBF ont réalisé l’exploit de s’imposer à Brest hier soir dans le cadre de la 7è journée de D1 féminine. Les Engagées ont vaincu les Bretonnes sur le score de 35 à 34. Une précieuse victoire pour la suite de la compétition et avant un nouveau déplacement en fin de semaine à Nice. Les Bisontines se rapprochent du top 5. Elles sont désormais sixièmes au classement. A un point des Dijonaises, positionnées actuellement à la 5è place.
Un individu, âgé de 22 ans, a été interpellé par les policiers bisontins ce mercredi après-midi, vers 16h30, rue des Causses. Un autre a pris la fuite. Ces deux hommes ont été aperçus sur un point de deal. Ils effectuaient un échange de stupéfiants de main à main. L’individu interpellé a été trouvé porteur d’un couteau et de 430 euros. Ce dernier a reconnu que l’argent découvert sur lui provenait de la vente de produits stupéfiants. Il était toujours en garde à vue ce mercredi, en fin d’après-midi.
Un homme, âgé de 29 ans, devra s’expliquer le 28 février prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 2 novembre, lors d’un contrôle routier, il a multiplié les infractions. Interpellé car son véhicule était démuni de la vignette du contrôle technique, il a utilisé une fausse identité pour échapper aux sanctions. Plus tard, les policiers ont constaté qu’il était au volant malgré une annulation du permis de conduire. Il a été placé en garde à vue.
Le 2 novembre dernier, vers 16h30, les policiers bisontins se sont rendus au centre commercial de Chateaufarine à la suite d’un appel dénonçant un homme, âgé de 20 ans, qui aurait exhibé son sexe aux passants dans la galerie commerciale. Il a été intercepté par des vigiles. L’un d’eux a reçu un coup de poing au visage par cet homme. Ce dernier a été conduit au commissariat et placé en garde à vue. Il s’expliquera en janvier prochain devant la justice. La victime a déposé plainte. Aucun passant n’a été identifié.
Demain soir, lors du prochain conseil municipal, les élus bisontins vont devoir se positionner sur l’engagement de la ville de Besançon dans l’aide apportée aux réfugiés. Il s’agit de la mise en place d’un Contrat Territorial d’Accueil et d’Intégration des Réfugiés. Il doit permettre de répondre aux besoins des primo-arrivants et des réfugiés.
La Ville compte ainsi favoriser leur intégration à Besançon, mais également créer des temps de partage avec les locaux. Il est signé avec les services de l’état. Sa durée est d’un an et peut être renouvelé deux fois. L’état apporte 150.000 euros dans les domaines de la prise en charge de la santé mentale, la jeunesse, le logement, l’accès à la culture et l’insertion professionnelle, notamment dans les métiers en tension. Philippe Cremer, élu en charge de l’accueil des sans-abris et l’accompagnement des migrants est au micro de la rédaction.
L'interview de la rédaction : Philippe Cremer, élu en charge de l’accueil des sans-abris et l’accompagnement des migrants
Entre le 31 octobre et le 2 novembre, les policiers pontissaliens ont enregistré quatre conduites sous l’effet de stupéfiants et d’alcool. Des défauts d’assurance ont également été constatés. Deux rétentions de permis de conduire ont été effectuées. Les contrevenants seront convoqués ultérieurement lorsque les résultats de tous les dépistages seront connus. Les mis en cause sont âgés de 19 et 21 ans.
Bonjour Kelly Maitrepierre. Tout d’abord, qu’est-ce qui vous a donné envie d’écrire ce livre ?
J’ai écrit ce livre il y a quelques années, intitulé « Laissée pour morte » qui résume ce que j’ai vécu en mars 2002 à Saint-Vit. C’est-à -dire une agression par mes soi-disant deux meilleures amies à l’époque. Je pense d’abord que j’en avais besoin au plus profond de moi. Et puis également pour relater un peu les faits auxquels on peut être confronté aujourd’hui dans cette société. C’est-à -dire de la violence gratuite. Dès le départ, j’avais le projet d’adapter ce livre au cinéma, donc c’est pour ça que je suis passée par toutes ces étapes. Un livre, et je l’espère, une adaptation au grand écran.
C’est un film qui va raconter tous les événements que vous avez vécus ?
Effectivement, il retracera entièrement ce qu’il s’est passé. Tout sera révélé. Il n’y aura pas de fiction, ce sera vraiment la réalité des faits. Comme tout s’est produit, avant, pendant, et après. Le moment où l’on s’est rencontré, la descente aux enfers, ce fameux jour où j’ai été torturé, l’hôpital, le tribunal et le suivi judiciaire. Ça va être un film très complet.
C’est quelque chose qui vous tenait à cœur ?
Ce qui me tient vraiment à cœur, c’est que grâce à la parution de celui-ci au grand écran, j’espère pouvoir ouvrir des débats concernant la violence. C’est pour cette raison que j’ai aussi créé une association, « Sans défense », qui a vraiment pour but d’aider et d’accompagner les personnes victimes de violences au sein d’un foyer ou même de harcèlement scolaire. Malheureusement, quand on regarde les infos, on entend de plus en plus parler de ce genre d’actes. En espérant que ça puisse faire bouger les choses, qu’on en parle ouvertement à la télé.
Ces derniers temps, nous avons été confrontés à beaucoup d’événements tragiques. Ça vous touche particulièrement je pense.
Bien sûr. Quand j’entends qu’une adolescente se pend à 14 ans à cause du harcèlement scolaire, et que pas un jour ne passe sans qu’on entende des choses comme ça, je suis touchée. Et puis même qu’il s’agisse d’enfants maltraités, de femmes battues, et parfois pour lorsque l’on s’en rend compte, il est trop tard. Je ne suis personne pour pouvoir changer le monde, j’en suis bien consciente, mais si grâce à mes débats et à travers mon histoire on peut peut-être revisiter un petit peu certaines lois pour être un peu plus sévère, ou bien se rendre compte des choses un peu plus tôt afin de pouvoir agir avant un drame, j’aurai déjà accompli une très belle mission.
C’est désormais un combat de tous les jours pour vous, notamment à travers votre association.
Oui, et j’espère vraiment que mon association sera amenée en haut de l’affiche, et que les gens vont oser s’ouvrir à moi. Il ne faut pas hésiter si une psychologue veut se porter bénévole ou bien des personnes qui sont plus calées que moi au niveau juridique, concernant ces actes de violences. Ils sont les bienvenus dans mon association. Parfois, je rassure les personnes comme je peux, en leur donnant un peu de force à travers mes mots. Mais j’ai des lacunes sur certains domaines, et je ne peux répondre à toutes les questions.
Une cagnotte a été lancée pour financer la bande annonce de votre film ?
J’ai créé une cagnotte Leetchi, qui s’appelle « Solidarité Réalisation Film Laissée pour morte ». Car pour réaliser ce film, il faut que mon producteur et moi, nous fassions une bande annonce afin de la présenter aux investisseurs. Donc ça serait avec plaisir d’avoir un petit geste. Et j’organise également mon premier événement, une bourse aux jouets, le week-end du 6 et 7 novembre à la salle des fêtes de Saint-Vit. C’est dédié aux enfants, il y aura jouets, puériculture, habits pour enfants. Donc venez nombreux !
Actuellement, le Palais des Sports Ghani Yalouz de Besançon accueille les championnats de France de badminton. La crème française de la discipline se défie actuellement à Besançon. Ils sont environ 200, venus de toute la France, à convoiter le titre suprême. Ce mercredi et ce jeudi se dérouleront les épreuves de qualification. Les quarts de finale se disputeront vendredi matin. S’enchaîneront ensuite les demi-finales l’après-midi. Avant de laisser place aux différentes finales samedi. Se disputeront alors les finales simple homme et dame, les doubles homme et dame et le double mixte.
Malgré la pression qui pèse sur leurs épaules, le Volant Bisontin et sa présidente Edwige konetzki ne cachent pas leur satisfaction de pouvoir organiser un tel évènement à Besançon. Ils y voient plusieurs intérêts. Tout d’abord, être l’acteur d’un évènement sportif majeur, proposer du sport de haut niveau et mettre en lumière un sport encore confidentiel.

Une compétition soutenue par la ville de Besançon
La Ville de Besançon soutient cet évènement. Abdel Ghezali, 1er adjoint, en charge des sports, explique que la cité comtoise se doit d’accueillir des évènements sportifs d’une telle ampleur. Ils apportent de la notoriété. D’ailleurs, à ce sujet, le palais des sports de Besançon renouera en ce mois de novembre avec les grandes soirées européennes de handball féminin. Des évènements qui rassemblent toujours un très large public.
