Un individu a été placé en rétention. Ce jeudi, à Pontarlier, il a été interpellé à l’issue d’une joute verbale avec une passante. C’est une tierce personne qui a donné l’alerte. Lors des investigations, il est apparu que cet homme faisait l’objet d’une fiche de recherche pour violence avec arme en récidive. Il avait été condamné à une peine de 4 ans de prison.
Ce vendredi matin, à la salle d’escalade Marie Paradis, la Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole ont présenté le dispositif mis en œuvre pour séduire les fédérations et les directeurs techniques des délégations sélectionnées aux Jeux Olympiques de Paris en 2024 pour choisir Besançon comme base d’entraînement. Des outils promotionnels ont été conçus pour vanter les atouts du territoire. Infrastructures et équipements sportifs, hôtels, environnement, politique sportive, … la mise en lumière est totale pour assurer la meilleure des promotions.

Au total, les deux collectivités ont recensé six centres, permettant la pratique de 20 disciplines (13 olympiques et 7 paralympiques). Ainsi, le stade des Orchamps, la salle de la Saint-Claude, le Pôles des Montboucons, le Palais des Sports Ghani Yalouz, la salle Marie Paradis, le stade Léo Lagrange et le complexe du Rosemont ont été choisis. L’athlétisme, l’athlétisme paralympique, le basket, le basket fauteuil, le BMX, le cyclisme sur route, le cyclisme sur route paralympique, l’escalade, la gymnastique artistique et rythmique, l’haltérophilie, l’haltérophilie paralympique, le handball, le judo, le judo paralympique, la lutte, le rugby à 7, le rugby fauteuil, le triathlon, le triathlon paralympique et le cross-country olympique.
Le Ville de Besançon et le Grand Besançon Métropole ont confié la mission d’aller porter la bonne parole aux ambassadeurs sportifs et non sportifs du territoire. A eux désormais de mouiller la chemise. Comme l’a rappelé Anne Vignot , « c’est en agissant collectivement que le Grand Besançon gagnera son pari ».
L'interview de la rédaction / Anne Vignot
Un nouveau rassemblement pour soutenir le peuple ukrainien et s’opposer « à l’agression russe » se tiendra ce samedi 26 février, à 15h, sur la place Pasteur au centre-ville de Besançon. Au cours de ce rassemblement, les participants entendent exprimer également leur émotion et leur inquiétude. A Besançon, c’est notamment le collectif « Ensemble ! Doubs » qui relaie ce vendredi après-midi cet appel national interorganisations.
Il y a du handball ce vendredi soir. Dans le cadre de la 19è journée de championnat en proligue, le Grand Besançon Doubs Handball (13è) reçoit Billère (10è). Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h15.
La nuit dernière, vers 00h30, à Besançon, une patrouille de la BAC a interpellé un mineur de 15 ans qui était au volant d’un véhicule. Il se trouvait rue Pesty. L’adolescent a été placé en garde à vue.
Ce jeudi après-midi, dans les bureaux de la Communauté de Communes du Grand Pontarlier, s’est tenu un nouveau comité de pilotage relatif à l’aménagement de la RN57 au sud de Pontarlier, entre la Cluse-et-Mijoux et Pontarlier. Rappelons que ce projet concerne un des points noirs du trafic routier entre la France et la suisse voisine. L’objectif est de fluidifier la circulation sur ce secteur, et plus particulièrement entre le carrefour des Rosiers et la gare de Pontarlier. Pour ce faire, il est prévu de créer une voie entrante supplémentaire, entre la Cluse et Pontarlier, et une deuxième, dans le sens France/Suisse, avec la création de chaque côté d’espaces consacrés au mode doux de déplacement.
Lancement d’une enquête d’utilité publique
Comme l’exige la loi, une enquête publique, indépendante, pilotée par un commissaire enquêteur, sera ouverte à compter de ce lundi. Elle permettra de recueillir les avis de la population sur, par exemple, les contours et les impacts d’un tel projet. Chacun pourra faire connaître ses remarques par écrit, mais également oralement, en rencontrant le commissaire enquêteur, qui tiendra des permanences dans les mairies de la Cluse-et-Mijoux et de Pontarlier. A l’issue de ce temps, jusqu’au 31 mars, ce dernier fera connaître ses conclusions et donnera un avis.
Si le projet voit le jour, les travaux pourraient débuter au cours du 1er trimestre 2023 pour une livraison dans le courant du 1er semestre 2025. Que les automobilistes, et les frontaliers se rassurent, la RN 57 ne devrait pas être fermée durant ces 18 mois de travaux.
L'interview de la rédaction : Patrick Genre ( maire de Pontarlier - Président de la Communauté de Communes du Grand Pontarlier
Les cuisses de grenouilles vont petit à petit apparaître sur les cartes des restaurants de la région. C’est un plat très prisé en Franche-Comté. C’est la raison pour laquelle, le commandant Trousseau, le patron de la police de Pontarlier, appelle les raniculteurs à respecter les règles en vigueur. Comme chaque année, des contrôles seront effectués pour vérifier que les quotas imposés sont bien respectés. Comme le souligne le policier, il s’agit aussi de préserver la nature et d’assurer la pérennité de l’espèce.
Trop souvent, dans un but mercantile, la législation n’est pas respectée. Des pièges sont installés frauduleusement pour capturer ces batraciens et assurer des ventes plus généreuses.
L'interviexw de la rédaction
Une deuxième journée de guerre a débuté ce vendredi en Ukraine. A Besançon, comme partout ailleurs en France, la communauté ukrainienne et une partie du peuple français sont inquiets. Sur place, les Ukrainiens retiennent leur souffle. Ils essaient de fuir ou de se protéger dans des abris anti-bombes. La situation est inquiétante. Certains gardent espoir, en espérant que le peuple ukrainien et son armée parviendront à faire face. Ils attendent aussi de la communauté internationale une réaction plus forte. Selon les expatriés et les personnes sur place, les sanctions économiques sont insuffisantes pour faire reculer les troupes de Vladimir Poutine. « Nous sommes prêts à combattre. C’est notre force d’être ensemble » explique une jeune ukrainienne, qui vit actuellement à Besançon.
Pour elles, le président russe est « malade et dangereux ». « Il doit être hospitalisé, isolé et éloigné du pouvoir ». « Cette guerre n’est pas que le problème de l’Ukraine » indique-t-elle. Elle regrette que la situation actuelle n’ait pas été davantage prise au sérieux par la communauté internationale. Notamment, lorsqu’en 2014, la Crimée a été annexée par l’armée russe.
L'interview de la rédaction