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Durant trois jours, à compter de ce mardi 12 novembre, et jusqu’au 14 novembre, l’ambulance, mitraillée à Kharkiv par les Russes, en avril 2022, sera exposée à Besançon. Ce mardi, elle sera présente, de 9h30 à 19h30, sur la place du 8 septembre.  Un concert de chants ukrainiens sera donné à 18h.

Le 13 novembre, le véhicule sera présent sur la place de la Révolution de 9h30 à 19h30. Au menu : de 10h30 à 12h : atelier sur les gestes d’urgence et intervention du Dr Christophe Lambert, formateur au Centre d’enseignement des soins d’urgence (CHU de Besançon). Toute la journée : échanges avec Sébastien et Patricia, bénévoles partis en Ukraine il y a quelques mois. L’après-midi : Concert de chants ukrainiens. Le 14 novembre, l’ambulance sera présentée au CHU de Besançon de 8h30 à 18h30. A 18h : concert de chants ukrainiens.

Le projet “Ambulance Mitraillée France” s’inscrit dans la continuité du projet "Ukraine is Calling" lancé en 2022 par l’Ukraine et honoré du Prix du Citoyen Européen du Parlement Européen en 2023. L’ambulance a ainsi déjà parcouru 7 pays d’Europe et permis de récolter des fonds pour l’achat de 77 ambulances. En France, près de 50 associations, dont UKRaide, se sont réunies pour sensibiliser à ce qui se passe en Ukraine et poursuivre la collecte de fonds. Le projet “Ambulance Mitraillée France” a démarré en France en octobre dernier et durera jusqu'à la fin avril 2025. Depuis le début de l’année, 258 ambulances ont été détruites par l'armée russe qui ne respecte pas les termes de la Convention de Genève. Il est aussi possible de participer à cette collecte par des dons en ligne grâce à la cagnotte lancée par l'Union des Ukrainiens de France.

Dans le cadre d'une tournée nationale organisée par l'association « Soutenez les orphelins ukrainiens », UKRaide accueillera deux grands virtuoses ukrainiens pour un concert en soutien aux orphelins de guerre. Le concert se tiendra à Besançon en l’Église Saint-Joseph, 18 avenue Villarceau, le 10 octobre,  à 20h00, à Besançon. L’entrée est de 10 euros. Pour réserver sa place : https://www.billetweb.fr/besancon-exceptionnel-concert-aux-bougies-les-3-vies-du-violoncelle&src=agenda

Hier soir, Emmanuel Macron a pris la parole lors d’une interview télévisée. Selon lui , la guerre en Ukraine est « une menace existentielle » pour l’Europe. « La sécurité de l’Europe et des Français se joue là-bas » a-t-il expliqué. Et de compléter  : « nous sommes prêts à mettre les moyens » pour apporter un soutien à l’Ukraine, après avoir rappelé le possible envoi de troupes occidentales.

Plus de 112 millions de Russes sont appelés aux urnes à compter de ce vendredi. Il s’agit du 1er tour de l’élection présidentielle. Un scrutin qui devrait permettre à Vladimir Poutine, accroché au pouvoir, de remporter un cinquième mandat à la tête de ce pays, qu’il dirige depuis 25 ans. Il est âgé de 71 ans.

Le député Laurent Croizier organise une table ronde sur le thème du conflit en Ukraine ce vendredi 31 mars.  Un an après le début du conflit, plusieurs invités échangeront sur la situation actuelle et les perspectives d’évolution possibles. Il est annoncé la présence de Frédéric Petit (député des Français d’Europe centrale), Patrice Gayet et Pierre-Charles Henry ( chirurgiens fondateurs de l’association Ukraide) et Darya Cadalen ( franco-ukrainienne).

Le rendez-vous est donné à 20h à la salle polyvalente de Dannemarie-sur-Crête. Entrée gratuite. Un appel aux dons sera organisé au profit de l’association Ukraide. Pour des raisons d’organisation, les participants sont invités à s’inscrire à : laurent.croizier@assemblee-nationale.fr

Un rassemblement pour la paix s’est tenu ce samedi à Besançon. Une trentaine de personnes, issues de plusieurs associations, se sont rassemblées aux côtés du « mouvement pour la paix ». Toutes partagent le même idéal de paix, mais certaines dissidences se font sentir sur la manière de l’atteindre. La question de l’armement était au cœur des discussions. Pour les militants de la cause ukrainienne, cette problématique mérite d’être, en partie, abordée avec nuance. « Je ne suis pas d’accord avec les organisateurs de cette manifestation sur le mot d’ordre de cessation des livraisons d’armes » explique ce militant. Et de poursuivre : « C’est triste de devoir faire la guerre. Cependant, il ne faut surtout pas arrêter les livraisons d’armes à l’Ukraine. Nous savons très bien que si nous arrêtons,  Poutine arrivera à Kiev. Il renversera Zelenski et instaurera un régime à la Biélorusse. On ne peut pas être d’accord »

L'interview de la rédaction 

Des rangs clairsemés

Il y a un an, à Besançon, lorsque l’Ukraine a été envahie par la Russie, de nombreuses personnes étaient venues dénoncer l’exaction du président russe. Douze mois plus tard, la mobilisation s’est essoufflée. Et ce, même si les associations continuent d’accompagner les ressortissants sinistrés accueillis sur le sol franc-comtois. « Le peuple ne se sent pas concerné par cette guerre pour des raisons qui sont liées à la situation sociale et politique dans notre pays » nous explique-t-on. « Néanmoins, je considère que c’est notre guerre. Moralement, nous sommes en guerre. Moralement, nous sommes aux côtés de l’Ukraine » ajoute ce militant bisontin. A Besançon, comme ailleurs, l’accompagnement des refugiés se poursuit. Un soutien lié à l’apprentissage de la langue française, mais également un soutien moral. Une démarche indispensable. Ils sont plusieurs millions à avoir quitté leur pays pour rejoindre d’autres destinés européennes. Des hommes, des femmes et des enfants pour lesquels l’avenir s’écrit en pointillés. « Ils sont dans un état d’esprit d’intégration provisoire. Tous souhaitent rentrer dans un pays pacifié, mais pas dans un pays poutinisé » conclut notre interlocuteur.

L'interview de la rédaction

 

Ce vendredi marque le premier anniversaire de l’offensive de l’armée russe en Ukraine. Un an après le déclenchement du conflit, la sous-préfète de l’arrondissement de Saint-Claude, Caroline Poullain, se rendra ce vendredi 24 février, à 14h, au centre d’accueil des réfugiés ukrainiens à Gizia (39). Elle sera accompagnée des maires investis dans cette action de solidarité. La représentante de l’état et les élus ont choisi de rendre hommage « au courage du peuple ukrainien et à l’élan de solidarité dont la France a fait preuve ».

Après plusieurs jours de mobilisation, le graffeur Nacle et l’artiste ukrainien Andrii Naboka viennent de mettre un terme à la fresque, dénonçant la guerre en Ukraine, qu’ils ont réalisé dans le square Xavier Marmier. Cette réalisation combine les moyens d’expression et les techniques de l’artiste bisontin et ceux du peintre ukrainien.

Le choix d’un square n’est pas inopportun. Les artistes ont voulu mettre en perspective l’enfance des jeunes français, heureusement épargnés par la guerre, et celle des petits ukrainiens, obligés de quitter leur pays ou d’apprendre à vivre sous les balles et les assauts des belligérants. Cette fresque colorée, arborant  les couleurs jaune et bleu ukrainiennes, rouge du drapeau nationaliste ukrainien et noir et blanc, représente un enfant, insouciant, jouant à se battre  ou faisant la guerre, encadré par une série de mots, au champ lexical guerrier. Des inscriptions qui ont pu susciter quelques réactions, mais que Nacle assume complètement.  « Il est normal qu’une réalisation interpelle. C’est aussi sa vocation » explique-t-il

Un artiste engagé

Le travail engagé de Nacle est connu et reconnu. On se rappelle par exemple la fresque réalisée sur les murs de l’hôpital Minjoz pour rendre hommage à tous les soignants, mobilisés tout au long de la crise sanitaire liée au Covid 19. Concernant la guerre en Ukraine, l’artiste explique qu’il est sensible à tout ce qui se passe dans le monde et pas seulement en Ukraine. « C’est assez déplorable de voir que la situation s’enlise » explique-t-il. Il invite tout un chacun « à s’inquiéter sur ce qui se passera dans l’avenir, mais aussi à répondre aux inquiétudes et enjeux du moment ».

L'interview de la rédaction / Nacle

 

La préfecture du Jura indique dans un communiqué de presse que, dans le cadre du plan de résilience, prévu par l’état pour faire face aux conséquences économiques de la guerre en Ukraine, un premier guichet pour soutenir les éleveurs est ouvert. Ce dispositif d’aides pour l’alimentation animale s’élève à 308 millions d’euros. Le dépôt des dossiers s’effectue sur le portail de FranceAgriMer,  et ce jusqu’au 17 juin prochain.

Triste date anniversaire. Ce mardi marquait les trois mois du début de la guerre en Ukraine. A cette occasion, un rassemblement était organisé à Besançon sur la place du 8 septembre. Peu de personnes ont répondu à l’invitation du collectif Solidarité Ukraine de Besançon. La mobilisation de l’hiver dernier s’essouffle. Le constat est bien réel,  le conflit et l’invasion du pays par Vladimir Poutine semblent malheureusement désormais faire partie du quotidien. D’ailleurs, la guerre a quasiment quitté les unes de la presse écrite et parlée nationale.

Pour les participants, le danger de banalisation est bien réel. D’où l’importance de poursuivre aussi régulièrement que possible ces rassemblements, même si pour certains ils ont peu d’impact. En attendant, le conflit se poursuit et des civiles perdent la vie face aux assauts du dictateur russe.

Le reportage de la rédaction

Le Collectif Solidarité Ukraine de Besançon organise un rassemblement ce mardi 24 mai sur la place du 8 septembre. Le rendez-vous est fixé à 18h. « Le peuple ukrainien a plus que jamais besoin de notre soutien dans cette phase difficile d'une guerre barbare. Nous ne devons pas nous habituer à l'horreur » conclut le communiqué.

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