Ce vendredi matin, à la salle d’escalade Marie Paradis, la Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole ont présenté le dispositif mis en œuvre pour séduire les fédérations et les directeurs techniques des délégations sélectionnées aux Jeux Olympiques de Paris en 2024 pour choisir Besançon comme base d’entraînement. Des outils promotionnels ont été conçus pour vanter les atouts du territoire. Infrastructures et équipements sportifs, hôtels, environnement, politique sportive, … la mise en lumière est totale pour assurer la meilleure des promotions.
Au total, les deux collectivités ont recensé six centres, permettant la pratique de 20 disciplines (13 olympiques et 7 paralympiques). Ainsi, le stade des Orchamps, la salle de la Saint-Claude, le Pôles des Montboucons, le Palais des Sports Ghani Yalouz, la salle Marie Paradis, le stade Léo Lagrange et le complexe du Rosemont ont été choisis. L’athlétisme, l’athlétisme paralympique, le basket, le basket fauteuil, le BMX, le cyclisme sur route, le cyclisme sur route paralympique, l’escalade, la gymnastique artistique et rythmique, l’haltérophilie, l’haltérophilie paralympique, le handball, le judo, le judo paralympique, la lutte, le rugby à 7, le rugby fauteuil, le triathlon, le triathlon paralympique et le cross-country olympique.
Le Ville de Besançon et le Grand Besançon Métropole ont confié la mission d’aller porter la bonne parole aux ambassadeurs sportifs et non sportifs du territoire. A eux désormais de mouiller la chemise. Comme l’a rappelé Anne Vignot , « c’est en agissant collectivement que le Grand Besançon gagnera son pari ».
L'interview de la rédaction / Anne Vignot