Dans le cadre de la 3è journée de championnat en nationale 1 masculine, le BesAC (10è) se déplace à Andrézieux (11è). Après une victoire à Toulon (76-77), les Bisontins se sont inclinés, au Palais des Sports, face à Mulhouse (70-80) la semaine dernière. Une issue heureuse est à la portée du groupe de Joseph Kalambani ce soir.
Depuis lundi, un chantier de forage d’un puits géothermique est mené place Granvelle à Besançon. L’objectif est d’évaluer le potentiel géothermique de la nappe du Doubs à cet emplacement dans l’optique de couvrir une partie de besoins de chaleur du musée du Temps, du Kursaal, du théâtre Ledoux et éventuellement d’autres bâtiments riverains.
En 2021, six piézomètres avaient été implantés par la Ville de Besançon pour connaître la caractéristique de la nappe qui est rattachée au Doubs. Cette opération avait permis de révéler que cette dernière présentait un niveau suffisant pour envisager un pompage. Ainsi, à 12 mètres de profondeur, une nappe de 4 mètres d’épaisseur est apparue. Désormais, il s’agit de définir le volume d’eau qui peut être pompé de manière continue pour un usage thermique.
Si le résultat est concluant, cette eau, dont la température est estimée autour d’une dizaine de degrés toute l’année, passerait dans une pompe à chaleur pour concentrer les calories et distribuer une eau à une trentaine de degrés.
L'interview de la rédaction / Annaick Chauvet, adjointe en charge de la transition énergétique, des bâtiments, des moyens techniques de la ville.
Mardi après-midi, les policiers bisontins ont été pris à partie par un groupe d’individus rue Gounod. Alors qu’ils procédaient à l’interpellation de deux hommes, impliqués dans un trafic de stupéfiants, ils ont reçu des cailloux et des canettes en verre, lancés depuis un immeuble. Un attroupement hostile d’une dizaine d’individus s’est formé atour d’eux. Aucun policier n’a été blessé, mais ils ont porté plainte.
Les deux individus, soupçonnés d’être impliqués dans un trafic de stupéfiants, ont été conduits au commissariat et placés en garde à vue. Dans une sacoche jetée à terre, 915 euros, plus de 1 gramme de cocaïne, 60 grammes de résine de cannabis et 11 grammes d’herbe ont été retrouvés à l’intérieur.
Les deux perquisitions effectuées aux domiciles des mis en cause se sont révélées négatives. Au cours des auditions, l’un d’eux a réfuté les faits de violences qui lui sont imputés. En revanche, il dénonce des violences policières. Il reconnaît une consommation personnelle de drogue. L’argent correspondrait à son travail. La garde à vue des deux hommes a été levée jeudi. Ils s’expliqueront respectivement en octobre et février prochain devant la justice.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce matin à Villeneuve d’Amont pour le feu de toiture d’une ancienne ferme de 500 m2, détruite à 60%. Deux lances ont été déployées pour éteindre les flammes. On ne déplore aucun blessé.
Un homme de 23 ans devra s’expliquer en 2023 devant la justice. Mardi, vers 22h45, il a été interpellé sur un parking de la rue de Picardie, dans le quartier Planoise, à Besançon, alors que, depuis une voiture, il semblait s’adonner à un trafic de stupéfiants. Les policiers ont découvert près de 10 grammes de cocaïne, 500 grammes de résine de cannabis, 80 grammes d’herbe de cannabis et 1.430 euros en numéraire. Au cours de son audition, il a nié être revendeur de stupéfiants. Il a expliqué être seulement le gardien d’une sacoche pour la somme de 130 euros et être consommateur de cannabis à raison de 5 à 6 joints par semaine.
Le Grand Besançon Doubs Handball n’est pas parvenu à enchaîner une deuxième victoire consécutive. Hier soir, dans le cadre d’une nouvelle journée de championnat en ProLigue, le groupe de Benoît Guillaume s’est incliné à Nancy sur le score de 29 à 35.
Ce jeudi, les policiers pontissaliens sont partis à la recherche d’une personne qui avait disparu des radars des services de soin de la ville. L’individu se trouvait entre l’hôpital et son domicile lorsqu’il a été identifié. C’est lors de transfert à l’hôpital par le SMUR que la situation a dégénéré. Ce grand gaillard a voulu s’échapper du véhicule. Il a fait usage de sa force. Les policiers ont utilisé leur taser pour le maîtriser. Il a été conduit à l’hôpital psychiatrique du Grandvallier.
Les vacances d’automne se préparent à Pontarlier. Durant trois jours, les 26, 27 et 28 octobre prochains, les collégiens et lycéens du secteur sont invités à participer au projet cultures urbaines que leur propose le collectif ParlonCap.
Ainsi, dans le cadre de la mission éducative qu’ils se sont fixés, Eric Louvrier, le coordinateur de cette structure, qui regroupe les quatre établissements sociaux de la cité du Haut-Doubs ( la Maison de Quartier des Pareuses, la Maison Pour Tous des Longs Traits, la MJC des Capucins et le Centre Social Berlioz), et les directeurs permanents veulent intéresser les adolescents à tous les domaines artistiques. Rien de mieux que d’aborder ce milieu, parfois éloigné des jeunes, par le prisme des cultures urbaines. Pour Eric Louvrier, « la culture doit s’adresser au plus grand nombre et ne pas être réservée qu’à une élite ». Autrement dit, savoir casser les codes et les barrières pour susciter de l’intérêt et se découvrir des talents et des compétences.
Des professionnels avec la jeunesse
Pour cette nouvelle édition, les organisateurs ont associé le Musée de Pontarlier, qui accueillera des participants. Les cinq ateliers seront animés par des artistes et des professionnels, désireux de partager leur savoir faire et leur passion. Les jeunes s’investiront sur un même domaine durant trois jours. Au programme : hip-hop, beatbox/rap/dj, customisation sur baskets et casquette, graff sur planche de skate et dessin de son autoportrait.
Une exposition finale, programmée le 28 octobre, mettra en lumière les travaux réalisés. Quelques places sont encore disponibles. Pour obtenir de plus amples renseignements, n’hésitez à contacter l’une des quatre structures organisatrices.
L'interview de la rédaction / Eric Louvrier