Hier, en fin d’après-midi, la police bisontine s’est rendue au collège Victor Hugo pour prendre en charge deux élèves mineurs porteurs d’arme de catégorie D. A l’intérieur d’un sac, il a été découvert une hachette, cinq couteaux suisse et un pistolet air soft avec des munitions. Le deuxième était en possession d’un couteau suisse. Dans un casier, divers objets, déclarés volés dans l’établissement, ont été découverts. Une plainte pourrait être déposée par le principal pour les vols et les dégradations. C’est en faisant vider le sac d’un des élèves, qui venait d’allumer un briquet chalumeau, qu’un assistant d’éducation a découvert tout cet attirail.
Comme chaque semaine, le rectorat de Besançon communique les nouveaux chiffres sur la situation épidémique dans l’académie. A la date de jeudi après-midi, quatre structures scolaires sont fermées et 477 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique. 13.667 élèves et 552 personnels sont confirmés à la Covid-19 en cumul sur les sept derniers jours.
De quoi s'agit-il ?
Dès lundi 31 janvier, les voyageurs souhaitant utiliser les lignes de bus et de tram bénéficieront d’un nouveau service sur les lignes du réseau Ginko : la validation de leur voyage avec leur carte bancaire se fera directement sur le valideur. Il s’agit d’une première phase de déploiement de l’open payment sur les lignes urbaines. Une seconde phase interviendra avec le déploiement de cette solution sur les lignes périurbaines en septembre 2022.
Comment ça marche ?
Tout comme avec la carte Voyages Ginko, la multivalidation est possible jusqu’à 9 accompagnants et le voyageur doit valider en correspondance. Le calcul des trajets se fait sous quelques heures de façon centralisée et l’usager voit son compte bancaire débité de trajets effectués, généralement à l’issue de la journée. De plus, une plate-forme dédiée au service, accessible depuis le site ginko.voyage, permet le suivi de la consommation après création d’un compte personnel ou du numéro de carte bancaire. En cas de contrôle, le voyageur aura simplement à présenter sa carte bancaire au contrôleur Ginko.
Selon nos informations, en raison des conditions météo du jour, des perturbations sont à prévoir au niveau des ramassages scolaires. Les pluies verglaçantes du moment expliquent cette situation. On nous signale par exemple que les ramassages scolaires ne peuvent se tenir dans le secteur du Val de Morteau.
Les sapeurs du Doubs sont intervenus hier, vers 18h, à Levier pour une intoxication au monoxyde de carbone dans un logement individuel. Un dysfonctionnement s’est produit au niveau du conduit d’évacuation de fumées. Une femme de 23 ans et son bébé de 6 mois ont été légèrement intoxiqués. Ils ont été transportés à l’hôpital. En parallèle, les secouristes ont procédé à l’arrêt du dispositif et à la ventilation des locaux.
Un conducteur sera déféré ce vendredi, à 10h, à Besançon. Jeudi après-midi, lors d’un contrôle, pratiqué avenue Clémenceau, dans la cité comtoise, il est apparu que le conducteur n’était pas en possession d’un permis de conduire valable. Sa garde à vue est toujours en cours ce jeudi soir.
En raison d’un mouvement social, à l’initiative des syndicats CFE CGC, CFTC et FO, la société Keolis indique que des perturbations sont à prévoir ce vendredi sur le réseau Ginko à Besançon. 86% des services seront assurés.
Un bûcheron de 33 ans a été transporté à l’hôpital Nord Franche-Comté. Ce jeudi, vers 15h, à Dasle, l’homme est resté bloqué sous un arbre. L’action combinée des sapeurs-pompiers et du GRIMP a permis d’extraire la victime. Souffrant d’une déformation de l’épaule, le trentenaire a été pris en charge par les sapeurs-pompiers.
Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus à Saint-Vit ce jeudi après-midi, vers 15h. Il s’agit d’un feu de cheminée à bois avec propagation dans la toiture. Le sinistre concerne une habitation mitoyenne de 150 m2 sur deux niveaux. Deux adultes et deux enfants ont été relogés dans leur famille.
Ce sont près de 500 manifestants qui étaient mobilisés ce matin dans les rues de Besançon, comme dans de nombreuses autres ville de France. Le secteur social et médico-social, en première ligne, s'est positionné symboliquement en tête du cortège. Un mouvement, pour revendiquer une augmentation des salaires ainsi qu'une amélioration des conditions de travail, qui s'accompagnait d'une grève générale et interprofessionnelle à l'appel de plusieurs syndicats.