Actuellement, et jusqu’au 29 février, à Pontarlier, le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma rend hommage à Albert Dupontel sous la forme d’une exposition d’affiches de ses films. Ce rendez-vous s’inscrit dans le cadre du 60è anniversaire de l’acteur, scénariste et humoriste français. Rendez-vous dans le Hall de l’Hôtel de ville.
Une prise d’otage s’est produite ce jeudi, vers 18h30, dans un train de la ligne, reliant Baumes à Yverdon-les-Bains, en Suisse voisine. Le véhicule a été immobilisé à hauteur de la halte d’Essert-Sous-Champvent. Une quinzaine de personnes étaient retenues à l’intérieur. L’homme de 32 ans serait un requérant d’asile iranien. Il était armé d’une hache et d’un couteau. L’assaut a été donné, vers 22h15. Les otages ont retrouvé la liberté sains et saufs. Quant à l’individu, il a été mortellement touché durant l’intervention
L’ESBF tient sa première recrue pour la prochaine saison sportive. L’actuelle Dijonnaise Ilona Di Rocco rejoint le club de handball bisontin pour les deux prochaines saisons. Agée de 24 ans, la jeune femme évolue au poste d’arrière gauche. Elle a fait le choix de l’ESBF pour passer un nouveau cap dans sa formation, afin de progresser encore plus
La mort de Robert Badinter suscite de nombreuses réactions. Dans le Doubs, par la voix de sa première secrétaire fédérale, Myriam El Yassa, le parti socialiste explique que « la France perd un homme dont l'héritage se mesure non seulement à travers ses réformes politiques, mais aussi à travers les cas emblématiques qu'il a défendus et son rôle de gardien des principes constitutionnels »
On sait encore peu de chose sur sa venue. En tout cas, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur est attendu demain après-midi à Besançon. Plus précisément dans le quartier Planoise, où les forces de l’ordre ont été fortement mobilisées ces derniers jours dans le cadre de l’opération « place nette ».
Des armes lourdes, d’importantes quantités de stupéfiants, notamment de l’héroïne, et des personnes en situation irrégulière ont été interceptées et interpellées sur place. Pendant trois jours, les forces de l’ordre ont mené de nombreux contrôles et investigations dans la rue, dans des immeubles et des commerces du quartier.
L’opération « place nette » se poursuit à Besançon. Ce matin, les forces de police ont ciblé le quartier Planoise et des commerces de ce secteur pour vérifier la légalité de la situation des personnes exerçant et des produits vendus, repérer d’éventuelles contrefaçons et contrebandes organisées de tabac, et vérifier si toutes les démarches administratives réglementaires ont été effectuées. Si en termes de contrefaçon et de contrebande, aucune infraction n’a été relevée, les policiers ont repéré des irrégularités concernant la situation de certaines personnes. Au moins une d’entre elle n’était pas autorisée à résider sur le sol français. Une des enseignes visitées a dû fermer ses volets.
L'interview de la rédaction : Commissaire Sylvain Leblanc

Pour les policiers, le succès de ces opérations résulte de l’excellente coordination qui existe entre les différents services qui composent la police nationale et les forces intérieures. C’est ainsi que sur l’opération de ce matin se sont retrouvés sur le terrain des agents de police de Besançon, mais aussi des douanes, de la Police aux Frontières, du GIR, le Groupe d’Intervention Régional et d’autres services de l’état, comme les impôts et la répression des fraudes.
L'interview de la rédaction / Christian Soldièse, adjpint au directeur régional des douanes de Franche-Comté
Parmi la centaine d’évènements que la Ville de Pontarlier et le monde associatif pontissalien organisera en 2024, il y a le Carnaval. Cet évènement incontournable se tiendra le 2 mars prochain.
Après une édition 2023 mouvementée, pour laquelle la cité avait reçu quelques messages de mécontentement, parfois désobligeants, que seuls les réseaux sociaux ont le secret , les élus ont écouté, lu et étendu les messages les plus intelligibles pour donner un second souffle à ce rendez-vous familial et populaire.
Trois temps forts
Trois temps forts seront proposés, dont le retour du défilé, mais, qui, faute d’associations et de particuliers en capacité de se mobiliser, se déroulera sans char. « Comme l’année dernière, il a été difficile de mobiliser » expliquent Philippe Besson, adjoint à la ville de Pontarlier, en charge des sports, et Arnaud Baverel, élu à la commission sport et vie associative. C’est la raison pour laquelle il a été opté pour un défilé participatif, auquel une dizaine d’associations seront associées, dont les maisons de quartier de la ville. En compagnie du public, elles animeront les rues du centre-ville, entre 15h30 et 16h30. La mascotte, réalisée lors du chantier de jeunes des prochaines vacances, se trouvera également en bonne place. 20.000 euros ont été prévus par les élus pour cet évènement de fin d’hiver.
Animations, ateliers et musique
Peu avant, à partir de 14h, des animations et des ateliers seront proposés sous la halle Pasteur. Au programme : sculptures sur ballon, maquillage, animations musicales, … . De 16h30 à 18h, place à la mini-disco, aux Capucins. Cette belle journée festive se terminera par un bal déguisé gratuit, de 21h à 3 heures du matin, à l’Espace Pourny, en présence de Let Dzur et DJ Didich. Malgré la violence de certains propos l’an dernier, les élus n’ont pas baissé les bras. Ils ont tenu compte des doléances pour proposer un évènement le plus fédérateur et convivial possible. L’année 2024 ne fait que commencer à Pontarlier.
L'interview de la rédaction : Arnaud Baverel
C’est un ambition projet immobilier, répondant à plusieurs enjeux qui est sur le point de voir le jour à Pontarlier. Les objectifs sont multiples : répondre à une forte tension locative sur le territoire, renforcer l’attractivité de l’hôpital pontissalien et vendre un bien inoccupé, permettant d’engendrer des recettes, indispensables pour l’avenir.
Inoccupés et représentant une charge financière, les locaux de l’ancien hôpital de Pontarlier vont subir une cure de jouvence. Les 2.500 m2 de surfaces habitables seront transformés en 52 logements sociaux. 24 logements sont prévus pour accueillir des locataires de plus de 65 ans, quand 28 autres seront destinés aux jeunes actifs de moins de 30 ans, dont la moitié pour le personnel de l’hôpital. Si tout se déroule comme prévu, les travaux pourraient être lancés à la fin de l’année 2025. L’accueil des premiers résidents est programmé pour 2027. « Nous aboutissons à un projet gagnant/gagnant » explique Patrick Genre, le Maire de Pontarlier. Et de poursuivre : « L’hôpital va se libérer de charges de fonctionnement importantes. La vente de ce bien assurera également une recette à l’hôpital, qui sera en capacité de proposer une offre de logements pour une partie de ses actifs. C’est un élément d’attractivité pour l’hôpital ». Enfin, ce projet est intéressant pour la Ville de Pontarlier, qui se dote d’une offre de logements supplémentaires. « Cela va permettre à la ville d’équilibrer son offre de logements en direction des seniors » complète l’édile. Rappelons qu’un projet identique s’est développé au sein de l’îlot Saint-Pierre.
L'interview de la rédaction : Patrick Genre
Extinction de l’offre médicale sur Pontarlier
En parallèle de ce projet, l’hôpital pontissalien va également se restructurer. « Si l’établissement veut tirer son épingle du jeu, il faut qu’il accroisse son activité. Autrement dit, qu’il dispose de mètres carrés supplémentaires » explique M. Genre. Ainsi, il est prévu une extension des urgences, avec la construction d’un nouveau bâtiment, au-dessus de la rampe actuelle d’accès aux urgences. Une autre opération va consister « à sortir certains pôles logistiques et activités » du site historique du centre-ville pour les externaliser vers l’Ehpad de Doubs. « Ces projets ont été retenus dans le Ségur de l’investissement. Dans les dix ans qui viennent, ces trois projets devraient se construire. Ils devraient permettre de donner un nouveau souffle dans l’attractivité de l’hôpital et le développement de ses offres » conclut M. Le Maire.
L'interview de la rédaction : Patrick Genre
L’hôpital de Pontarlier : une colonne vertébrale indispensable
En déplacement dans la capitale du Haut-Doubs, et notamment au centre hospitalier, Rémi bastille, le préfet du Doubs, s’est dit « très vigilant » sur le fonctionnement de cet hôpital et sa capacité à répondre aux besoins et attentes de la population. « C’est le pôle majeur sur le Haut-Doubs. On ne peut pas envisager de s’en passer. Sa pérennité est essentielle à l’attractivité du territoire. C’est un gros établissement qui concentre une centaine de médecins » conclut le représentant de l’état.
L'interview de la rédaction : Rémi Bastille, préfet du Doubs
Dans un communiqué de presse, le syndicat SNUipp-FSU du Doubs fait savoir qu’il répond à l’appel national et boycotte, ce vendredi, le Conseil Départemental de l’Education National. L’instance devait entériner la première partie de la prochaine carte scolaire. Ils disent « ne pas vouloir cautionner la politique de la casse de l’école publique, organisée par le gouvernement ». Ils se rassembleront en début d’après midi devant l’entrée, où se tiendra l’instance, à Besançon, avenue de la Gare d’Eau.
Il n’y a pas que les agriculteurs qui sont en colère. Les artisans du bâtiment de Haute-Saône et du Territoire de Belfort montent au créneau ce vendredi. Ils ont décidé d’organiser une opération escargot sur l’A36. Les manifestants ont prévu de se rassembler, vers 13h, à Montbéliard. Ils chemineront ensemble en direction de la préfecture de Belfort.
En pleine crise agricole, la Capeb, le syndicat patronal de l’artisanat du bâtiment, avait dénoncé « une iniquité de traitement » concernant la fin de la hausse de la taxe sur le gazole non routier pour les agriculteurs uniquement. En Franche-Comté, les professionnels manifesteront également contre les charges administratives très lourdes et le nouveau dispositif « ma prime rénov’.