La mort de Robert Badinter suscite de nombreuses réactions. Dans le Doubs, par la voix de sa première secrétaire fédérale, Myriam El Yassa, le parti socialiste explique que « la France perd un homme dont l'héritage se mesure non seulement à travers ses réformes politiques, mais aussi à travers les cas emblématiques qu'il a défendus et son rôle de gardien des principes constitutionnels »