Nos Lionnes Roses francs-comtoise, Elodie Prévalet et Clémence Descourvières, sont rentrées il y a quelques jours de leur périple au Maroc. Elles ont brillamment porté les couleurs du Haut-Doubs. Rappelons que du 10 au 22 octobre dernier, elles ont participé au trophée « Roses des Sables », aux côtés de 300 autres filles, bien décidées à promouvoir les valeurs d’Octobre Rose » pour sensibiliser les femmes au cancer du sein et aider l’association « enfants du désert » dans son combat pour les enfants les plus en difficulté sur ce territoire marocain. Cette année, plusieurs tonnes de matériel scolaire, d’hygiène et de puériculture ont été offerts au collectif.
Elodie et Clémence reviennent de cette aventure avec plein de souvenirs en tête. Les paysages, les rencontres, les finalités sociales et humanitaires resteront à jamais graver dans leur mémoire. « Cela m’a fait grandir. Cela m’a fait prendre confiance en moi. Je me suis prouvée que j’étais capable de pouvoir réaliser un tel défi, de partir à l’étranger, de quitter ma famille et mes repères. J’en ressorts plus forte que jamais. Cela m’aide aujourd’hui » explique Elodie Prévalet. Comme c’est le cas dans ce genre de périple, il a fallu aussi s’adapter aux aléas mécaniques. Les deux amies s’amusent encore de ces deux jours durant lesquels une des portières est restée bloquée, obligeant la passagère à pénétrer dans le 4X4 par la fenêtre.
On repart ?
Les deux francs-comtoises y ont pris goût. L’envie de revivre de telles émotions est bien réelle. Aucune nouvelle échéance n’est fixée, mais un nouveau projet pourrait prochainement voir le jour. En tout cas, le duo tient à remercier celles et ceux qui l’ont aidé à réaliser et vivre cette belle aventure. Il est vrai que les Lionnes Roses ont su rassembler autour d’elles. De nombreux partenaires et soutiens ont répondu à leurs appels et à leurs initiatives pour récolter des dons et des fonds. Bravo les filles !
L'interview de la rédaction / Elodie Prévalet
Un homme de 40 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Il est soupçonné d’être impliqué dans 27 vols à la roulotte commis sur le parking de l’hôpital Jean Minjoz à Besançon. A ce stade de l’enquête, six vols lui sont formellement imputables. Cinq font l’objet de prélèvements en cours d’identification. L’enquête a également établi que le profil génétique d’un individu, déjà interpellé, en juillet 2022, pour les mêmes faits et convoqué devant la justice, ressortait sur 33 faits constatés.
Le 8 novembre dernier, il est réapparu. Interpellé par un infirmier, il est parvenu à prendre la fuite en le frappant avec un tournevis. Lors d’un contrôle, les policiers réussiront à l’identifier et à le mettre hors d’état de nuire. Il avait dérobé une carte bleue pour se rendre dans un bureau de tabac, situé Avenue Île de France, pour s’acheter cinq paquets de cigarettes.
Les sapeurs-pompiers du Jura interviennent depuis hier soir, vers 22h45, à Villers-Robert pour un feu de hangar agricole d’une surface de 500 m2, à usage de stockage de fourrage. L’extinction était en cours cette nuit, vers 1 heure.
Une femme de 71 ans est actuellement hospitalisée au CHU Minjoz après avoir été agressée ce jeudi matin, peu avant 10h. Un homme de 33 ans, positif aux stupéfiants, l’a violemment poussée pour entrer dans sa maison, située rue des Torcols à Besançon. Peu avant, il avait menacé son mari qui se trouvait au garage. Le trentenaire a pénétré dans une chambre pour ensuite sauter par la fenêtre pour atterrir dans un jardin et prendre la fuite dans la rue. Il a été interpellé par les forces de l’ordre, puis placé en garde à vue. Blessé au pied, il a été conduit à l’hôpital pour des soins. Sa garde à vue a été prolongée.
Trois nouveaux parkings de covoiturage viennent d’être aménagés sur les communes de Chemaudin-et-Vaux, Marchaux-Chaudefontaine et Miserey-Salines. Chaque parking a une capacité de 49 places (47 à Chemaudin-et-Vaux), dont une place réservée aux personnes à mobilité réduite. Il comporte également un abri et un banc pour plus de confort. Réalisées sous maîtrise d’ouvrage Grand Besançon Métropole, ces trois infrastructures sont financées par APRR dans le cadre de son plan d’investissement autoroutier 2018-2022. La communauté urbaine du Grand Besançon en assure l’exploitation et l’entretien.
Ces trois infrastructures complètent l’offre existante sur le territoire du Grand Besançon. L’aire de Morre-La Vèze va s’étendre, passant de 34 places à une capacité de 49 places avant la fin de l’année, en raison d'une forte demande. A cela s’ajoute le parking de covoiturage de la rue de Vesoul à Besançon et celui du pôle d’échanges multimodal de Saint-Vit.
Début 2023, de nouvelles infrastructures sont prévues : une aire de covoiturage route de Franois sur le parking de l’Institut de formation des professions de santé (IFPS) et un parking de covoiturage sur la RN 83 à proximité des communes de Busy et de Larnod. Un autre verra le jour à l’occasion de la réalisation du pôle d’échanges multimodal en projet à Saône (2024)
Ce jeudi 10 novembre, dans la cadre de la journée nationale de lutte contre le harcèlement scolaire, le collège Victor Hugo à Besançon organisait une fresque humaine, composée des 1000 élèves de la 6è à la 3è de l’établissement scolaire, l’équipe éducative et quelques parents. L’objectif est de sensibiliser ces jeunes à ce fléau, que les réseaux sociaux sont venus aggraver.
Cette action s’inscrivait dans le cadre du pHARe, un programme de lutte contre le harcèlement scolaire à l’école. Un dispositif piloté par Olivia Guyon, la principale adjointe du collège bisontin. A l’initiative de cette opération collective, qui en appellera d’autres, Fanny Lonchampt, professeur de mathématiques. Pour l’occasion, élèves et adultes ont été invités à porter un vêtement de couleur verte. Regroupés par classe, ils se sont rendus dans la cour principale pour former les lettres qui composent un message de prévention. « Non au harcèlement au collège Victor Hugo » est alors apparu. De leur côté les adultes ont diffusé les deux numéros de téléphone de la plateforme ( 3020 et 3018), mise en place pour lutter contre le harcèlement des jeunes.
L'interview Mme Lonchampt

Améliorer le climat scolaire
Au collège Victor Hugo, l’amélioration du climat scolaire est une grande cause. Cette thématique s’inscrit dans le projet d’établissement et se décline à tous les niveaux. En fonction de leur âge, les collégiens bénéficient d’actions éducatives qui promeuvent cette valeur. Ces savoir-être et savoir-faire sont déclinés par des enseignants formés à ces approches pédagogiques et des intervenants. On notera par exemple la participation d’un juriste, dont la mission est de communiquer sur les valeurs de citoyenneté et la place qu’occupe chaque jeune dans la société. A travers les temps mis en place et l’implication des adolescents et des familles, la direction entend faire évoluer les mentalités et sensibiliser tout un chacun sur ces faits de société. Prochainement, une évaluation sera effectuée à l’échelle du collège pour apprécier la pertinence des actions menées et les résultats obtenus.
Interview Mme Guyon
Ce vendredi, on célèbre le 104è anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918. De nombreux rassemblements se tiendront dans la région. A Pontarlier, le rendez-vous est fixé à 11h au Monument aux Morts de l’Hôtel de Ville. Le cortège se rendra ensuite au Monument aux Martyrs de la déportation et au Monument aux Morts du cimetière. On notera la présence d’une section du 13ème Régiment de Génie de Valdahon. A Besançon, le rendez-vous est donné à 11h au Mémorial du Souvenir de l’esplanade des Glacis.
La fin des vacances de la Toussaint a donné des envies de neige et d’évasion aux locaux et touristes, bien désireux de profiter du bon air du Haut-Doubs et de ses espaces verts et blancs. Depuis quelques jours, les téléphones ne cessent de sonner dans les différents bureaux des offices de tourisme. Certes, pour l’heure, on vient plutôt chercher des informations, mais les réservations sont en cours également.
Le contexte économique
Difficile d’y passer à côté. Les interrogations portant sur les tarifs pratiqués ou encore l’approvisionnement en essence sont au rendez-vous. Mais sur ces points, les hôtesses sont plutôt confiantes. Les tarifs restent quasiment inchangés et les difficultés pour s’approvisionner en carburant ne sont plus qu’un mauvais souvenir sur le secteur.
Un territoire aux multiples atouts
« Les signes sont au vert » explique Cyrielle Viey, responsable communication de l’office de tourisme du Haut-Doubs. Les hébergements se remplissent régulièrement et les écoles de ski prennent leurs premières réservations. Comme chaque saison à Noël, c’est surtout lors de la 2è semaine de vacances que les touristes et vacanciers seront les plus nombreux. Si la présence de l’or blanc n’est pas la priorité en cette période, elle l’est beaucoup plus en février. C’est la raison pour laquelle tout le monde espère que les prairies du Massif du Jura seront blanches pour accueillir les premiers visiteurs des prochaines vacances d’hiver. Dans le Haut-Doubs, les élus ont anticipé ces conditions incertaines en déclinant une politique tournée vers un tourisme quatre saisons. Le territoire a de toute façon, toute une gamme d’activités à faire valoir. Luge quatre saisons, randonnées, visites, gastronomie, … séduisent chaque année.
A quand le début de saison ?
Les dates sont d’ores et déjà fixées. Si la neige est au rendez-vous, la station de Métabief devrait ouvrir ses pistes dès le 1er week-end du mois de décembre, les 3 et 4 décembre. Concernant le ski nordique, le lancement de la saison peut s’effectuer beaucoup plus vite. Lorsque la quantité de neige sera suffisante, les fondeurs pourront rapidement renouer avec les joies de la glisse.
L'interview de la rédaction / Cyrielle Viey, responsable communication de l’office de tourisme du Haut-Doubs.