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Hier soir, au Stade Bonal, le FC Sochaux Montbéliard s’est imposé 2-0 contre le Stade Briochin lors de la 4e journée du championnat National. Les Lionceaux ont ouvert le score dès la 29e minute grâce à Aymen Boutoutaou, avant que Martin Lecolier ne double la mise à la 67e minute.

Les sapeurs-pompiers du Jura interviennent actuellement sur un incendie généralisé touchant deux bâtiments agricoles de 1 500 m². Grâce à leur réactivité et à la solidarité locale : 400 bovins ont été évacués. Un poulailler de 30 000 volailles a été préservé. La propagation aux bâtiments voisins a été évitée.  Plus de 40 pompiers sont engagés, épaulés par les agriculteurs pour assurer l’approvisionnement en eau. Cette coopération s’inscrit dans le travail mené avec la Chambre d’agriculture du Jura.

Une histoire familiale et commerçante

Bisontin de souche, Pierre Dieterlé porte en lui une mémoire profondément enracinée dans l’histoire du commerce local. Arrière-petit-fils de commerçants, il rappelle que sa famille a tenu, jusqu’en 2007, un magasin de meubles en centre-ville, rue Gustave Courbet, au cœur du quartier du marché. Son père, Jean-Charles Dieterlé, fut lui-même commerçant et, de 1988 à 2007, président de l’Union des Commerçants de Besançon. À ce titre, il initia plusieurs rendez-vous emblématiques de la vie bisontine : les Instants Gourmands, le Marché de Noël, la Braderie d’Automne ou encore les Samedis Piétons. Aujourd’hui, Pierre Dieterlé est chargé d’affaires à la direction de l’économie de Grand Besançon Métropole, mais il a choisi de renouer avec cet héritage en coécrivant, avec son père, un ouvrage ambitieux : Besançon, mémoire du commerce. Boucle et Battant, 1950-2000.

L'interview de la rédaction : Pierre Dieterlé 

Un travail de mémoire inédit

Fruit de près de trois années de recherches, ce livre propose un recensement minutieux des commerces bisontins du centre-ville – la Boucle et le quartier Battant – entre 1950 et 2000. Plus de 5 000 acteurs du commerce y sont répertoriés. Il contient également 1 500 photographies et illustrations (publicités, documents d’archives, fonds privés). Une approche rue par rue, numéro par numéro a été menée.  Certaines adresses, comme celles de la rue des Granges ou de la Grande Rue, ont vu se succéder plusieurs dizaines de commerçants. Ce travail confère à l’ouvrage une valeur documentaire rare.

 

AFFICHE DIETERLE

 

Entre histoire et nostalgie

Au-delà du simple inventaire, l’ouvrage cherche à restituer l’expérience sensible du commerce de centre-ville. Pierre Dieterlé insiste : chaque boutique, chaque café ou salon de coiffure est un réservoir de souvenirs personnels et collectifs. L’achat d’un premier vélo, le choix d’un costume de mariage, les moments partagés autour d’un verre : autant de repères qui jalonnent des vies et s’ancrent dans la mémoire affective des habitants Â».

L'interview de la rédaction : Pierre Dieterlé 

 

Le choix de la période 1950-2000

Le périmètre temporel retenu n’est pas anodin. Les années 1950 à 1990 représentent l’âge d’or du commerce de centre-ville, avant l’essor de la grande distribution et l’émergence du commerce en ligne. L’année 2000 constitue un point de bascule : déjà assez éloignée pour susciter la nostalgie, mais encore proche pour parler à plusieurs générations de lecteurs.

Un ouvrage attendu

La parution de « Besançon, mémoire du commerce Â» suscite déjà un vif intérêt. Nombreux sont ceux qui se reconnaissent dans cette histoire : anciens commerçants, enfants ou petits-enfants de familles commerçantes, habitants attachés à leurs souvenirs de quartier. Le livre sera présenté en avant-première au salon Livres dans la boucle, du 19 au 21 septembre  au parc Chamars, à Besançon. Il sera ensuite disponible dans les librairies de la ville et sur les plateformes spécialisées.

Une préface signée Philippe Labro

L’ouvrage bénéficie d’une préface prestigieuse, rédigée par Philippe Labro, homme de médias, écrivain et réalisateur. Très attaché à Besançon par des liens familiaux, il a accepté d’accompagner ce projet avec une plume sensible et chaleureuse. Disparu avant la parution du livre, il laisse à travers ce texte un témoignage précieux de son amour pour la ville et pour son patrimoine vivant.

L'interview de la rédaction : Pierre Dieterlé 

Avec Besançon, mémoire du commerce, Pierre et Jean-Charles Dieterlé offrent à la ville un ouvrage patrimonial et affectif, qui célèbre non seulement l’histoire commerciale mais aussi la mémoire collective de générations de Bisontins. Un livre pour se souvenir, transmettre et raviver ces lieux de vie qui ont façonné le cœur de Besançon.

Ce vendredi 29 août, vers 10h, un incendie s’est déclaré dans les hangars d’une exploitation agricole, touchant du fourrage, à Dammartin-Marpain (39).  Une trentaine de sapeurs-pompiers ont été mobilisés. Une intervention de longue durée est attendue. L’origine du sinistre demeure inconnue.

À partir de septembre, la façade du 10 rue Maurice Ravel, à Palente-Orchamps, accueillera Le murmure des forces, une fresque hommage aux luttes sociales des usines Timex-Kelton des années 1970-80. Imaginée par Vincent Small et KMG, cette œuvre allie abstraction et récit figuratif pour faire vivre la mémoire ouvrière bisontine et le lien historique avec Dundee. Portée par l’association Muralistes associés, sa création sera rythmée par des rencontres et échanges avec les habitants du quartier.

Le tribunal administratif de Besançon a suspendu, le 29 août, les arrêtés préfectoraux autorisant la chasse de la Bécassine des marais dans le Doubs et le Jura. Saisi en urgence par la LPO, il a estimé que cette pratique mettait en péril les dernières populations nicheuses de France, déjà en voie d’extinction. Moins de soixante couples subsistent aujourd’hui, dont près de la moitié dans le bassin du Drugeon (Doubs). L’association appelle désormais à un moratoire durable, à la restauration des zones humides et à plus de transparence sur les prélèvements cynégétiques.

À l’heure où les mobilités douces se multiplient dans les centres urbains, la Ville de Besançon prend une décision forte pour encadrer leur usage dans son cœur historique. Un arrêté municipal, en vigueur à compter du 1er septembre, interdit temporairement la circulation des engins de déplacement personnels motorisés dans plusieurs rues très fréquentées du centre-ville.

Une interdiction ciblée pour préserver la sécurité

Dans un souci de protection des piétons et de meilleure cohabitation entre les usagers de l’espace public, la municipalité bannit jusqu’au 31 décembre  les trottinettes électriques, gyropodes, hoverboards et monoroues des axes suivants :

  • Grande Rue (du Pont Battant à la place du 8 Septembre)
  • Rue des Granges (de la place de la Révolution à la rue de la République)
  • Rue Luc Breton
  • Rue Battant (de la place Jouffroy d’Abbans à la rue Champrond)
  • Place Pasteur et rue Pasteur
  • Rue d’Anvers

Dans ce périmètre, les utilisateurs devront impérativement descendre de leur engin et le conduire à la main ou emprunter un autre itinéraire. Le non-respect de cette réglementation expose les contrevenants à une amende forfaitaire de 135 euros

Une réponse à l’évolution des usages

La décision s’appuie sur plusieurs constats : l’essor rapide des mobilités électriques, la recrudescence des infractions au code de la route, et les tensions croissantes dans les zones piétonnes. L’objectif affiché est clair : renforcer la sécurité, notamment pour les personnes à mobilité réduite, et préserver la tranquillité du centre historique..

Rappel des règles pour le reste de la ville

En dehors du périmètre concerné, les règles de circulation des engins motorisés restent strictes :

  • Vitesse limitée à 25 km/h (20 km/h en zone de rencontre, 6 km/h en aire piétonne)
  • Interdiction d’utiliser téléphone ou écouteurs en roulant
  • Circulation sur les trottoirs interdite
  • Freins, éclairage et sonnette obligatoires
  • Assurance exigée
  • Transport d’un passager interdit

La députée de la 2ᵉ circonscription du Doubs, Dominique Voynet, invite ses concitoyens à participer à une « semaine de grande écoute », du lundi 1ᵉʳ au vendredi 5 septembre. À quelques jours du vote de confiance demandé par le Premier ministre François Bayrou, prévu le 8 septembre, l’élue souhaite consulter les habitants sur les orientations budgétaires 2026 et plus largement sur l’action du gouvernement.
Permanences, contributions écrites, messages vocaux ou échanges via les réseaux sociaux : plusieurs canaux sont proposés pour recueillir avis, critiques et propositions. « À situation politique exceptionnelle, dispositif exceptionnel », souligne Dominique Voynet, qui veut porter la voix de ses électeurs avant de se prononcer à l’Assemblée nationale.

Pour participer, vous pouvez :

Venir à la permanence au 19 rue Krug à Besançon : son  Ã©quipe vous recevra tout au long de la semaine, du lundi 1er au vendredi 5 septembre, entre 9h et 18h, pour recueillir votre parole ou, si vous préférez le faire à l’écrit, vous proposer des cahiers destinés à accueillir vos contributions et idées.

Envoyer vos contributions par mail à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par courrier à la permanence 19 rue Krug, 25000 Besançon.

Enregistrer un message vocal ou vidéo au 06 86 07 75 41, y compris via WhatsApp ou Telegram ; ou via les réseaux sociaux de la députée Facebook @DominiqueVoynet25 et Instagram dominique_voynet Laisser votre numéro de téléphone en demandant à être rappelé.