En quête de points, le Grand Besançon Doubs Handball se déplace sur le parquet de Paul Billère ce vendredi soir dans le cadre de la 4è journée de championnat en ProLigue. Avec zéro point, en ce début de compétition, la formation bisontine affronte une équipe qui en présente quatre de plus.
Alors que le CA Pontarlier traverse un début de saison compliqué en National 3, le club enregistre l’arrivée d’un renfort au milieu de terrain. Reda Tahar, 23 ans, débarque en provenance de Raon l’Étape pour la saison 2025-2026. Le collectif compte sur sa nouvelle recrue pour apporter stabilité et impact dans l’entrejeu d’une équipe fanion en quête de rebond.
La Gendarmerie du Jura met en garde contre une nouvelle escroquerie ciblant les particuliers de l’arrondissement de Saint-Claude. Un individu se présente au domicile en prétendant livrer un colis, exige un paiement de 50 centimes, puis subtilise la carte bancaire pour effectuer des retraits frauduleux. Trois faits ont été signalés, dont une tentative. Les autorités appellent à la vigilance et rappellent que les frais de port sont toujours réglés à la commande. En cas de doute, il est conseillé de refuser la transaction et de contacter immédiatement le 17.
Les élections municipales se préparent à Lons-le-Saunier. Comme partout en France, le scrutin se tiendra les 15 et 22 mars prochains. Le Jurassien Cyril Brero, habitué à l’exercice, se prépare pour un nouveau combat politique. Avec sa formation, baptisée « une énergie nouvelle pour Lons », il a d’ores et déjà fait connaître ses intentions. Il y a quelques jours, il a présenté ses premiers colistiers. Sept personnalités : trois hommes et quatre femmes sont mobilisés à ses côtés et travaillent à l’élaboration du programme qui sera proposé aux Lédoniens et Lédoniennes le printemps prochain.
Ce vendredi, les agriculteurs du Doubs se mobilisent contre l’accord de libre-échange avec le Mercosur et contre la loi Duplomb. Ils ont prévu de se mobiliser ce jour à Besançon. Tout d’abord, au Carrefour Besançon Valentin, où une opération d’étiquetage est prévue sur les produits importés. Puis, au centre-ville, place du 8 septembre, pour une dégustation de produits régionaux. Objectif : alerter les citoyens sur les distorsions de concurrence et promouvoir une alimentation de qualité, produite en France.
Après avoir été condamné à 28 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de Narumi Kurosaki, Nicolas Zepeda a vu sa condamnation annulée par la Cour de cassation. Cette décision ouvre la voie à un troisième procès, prévu pour mars 2026, devant la cour d’assises du Rhône. Ce nouveau procès permettra de réexaminer les faits dans leur intégralité, avec une nouvelle composition de la cour et une défense qui entend contester les éléments à charge. L’enjeu reste majeur pour les proches de la victime, qui espèrent une condamnation définitive, et pour Zepeda, qui continue de clamer son innocence.
Ce vendredi, à Besançon, les agriculteurs du Doubs se mobilisent contre l’accord de libre-échange avec le Mercosur et contre la loi Duplomb. Les Écologistes de Franche-Comté annoncent leur soutien, dénonçant « une concurrence jugée déloyale » : des importations agricoles produites avec des pesticides interdits en Europe, comme l’acétamipride, pourraient inonder le marché.
Pour les écologistes, il s’agit aussi d’obtenir l’abrogation de la loi Duplomb, votée au printemps, qui affaiblit selon eux « la protection des paysages, des rivières et de la santé publique ». Ils appellent « à défendre une agriculture locale, respectueuse de l’environnement et des citoyens ».
La Nuit des chercheurs revient, ce vendredi, à l’université Marie et Louis Pasteur, à Besançon, et cette année, le mot d’ordre est clair : donner de la voix. Un thème à double sens qui résonnera tout au long de la soirée, entre débats scientifiques, expériences sonores et dispositifs ludiques. Cette année, l’évènement, entièrement gratuit, se tiendra de 19h à 23h à la Cité des arts, au Frac Franche-Comté.
La parole des scientifiques au cœur de la soirée
Rencontrer un chercheur, c’est souvent lever un coin du voile sur un métier à la fois mystérieux et très concret. L’événement veut mettre en lumière cette diversité : jeunes femmes, jeunes hommes, doctorants venus d’ailleurs ou chercheurs confirmés… tous seront présents pour échanger avec le public. « Donner de la voix, c’est donner toute sa place à la parole scientifique dans notre société, mais aussi s’amuser, chanter, écouter, expérimenter », résume Lucie Vidal, chargée de projets à l’université bisontine.
L'interview de la rédaction : Lucie Vidal, chargée de projets à l’université Marie et Louis Pasteur de Besançon
Des dispositifs participatifs pour faire vibrer la science
Parmi les temps forts :
Une fête ouverte à toutes et tous
Le rendez-vous est fixé au FRAC Bourgogne Franche-Comté. Gratuite et ouverte au public, la Nuit des chercheurs se veut avant tout conviviale. Entre deux rencontres ou ateliers, chacun pourra profiter d’une buvette et d’un espace de petite restauration dans le Passage des Arts. À travers chants, récits et jeux, l’université entend rappeler que la science se partage aussi par la voix et par l’émotion.