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Les sapeurs-pompiers sont intervenus hier à Orchamps-Vennes, au hameau des Ravières,  pour un incendie concernant un hangar agricole d’une superficie de 400 m2. Trois autres maisons ont été protégées par les secours. Neuf lances ont été déployées pour éteindre les flammes et procédé aux opérations de protection. L’électricité a été coupée sur l’ensemble du hameau. Une surveillance a été mise en place pour la nuit. Les opérations de déblai auront lieu ce jeudi. Le propriétaire sera relogé dans la famille.


Un jeune homme de 28 ans devra s’expliquer en novembre prochain devant la justice. Il est soupçonné d’avoir dérobé pour 1700 euros d’articles dans des commerces, dont 680 euros dans une parfumerie de la zone commerciale de Doubs. Il avait caché les cosmétiques dans ses sous-vêtements. La dame de 70 ans qui l’accompagnait n’a pas été inquiétée.

Le 27 juin dernier, un individu de 48 ans a été extrait de sa cellule de la maison d’arrêt de Besançon. Il est soupçonné de s’être introduit dans des propriétés le 6 juin dernier et d’avoir commis des vols. Il aurait également agressé sexuellement une femme d’une cinquantaine d’années. Il aurait prétexté la vente de cosmétiques pour mieux s’approcher d’elle. Il l’a enlacée et embrassée dans le cou. Il finira par prendre la fuite face aux injonctions de la victime.

Voici une idée de sortie. A compter du 5 juillet, et jusqu’au 25 août, le barrage-usine de Saut-Mortier sur la commune de Cernon est ouvert au public. Des visites guidées y sont organisées. Pour y participer, il suffit de s’inscrire auprès de Terre d’Emeraude de Tourisme et ses quatre bureaux d’information, situés à Clairvaux-les-Lacs, Orgelet, Arinthod et Moirans-en-Montagne ou sur www.terredemeraudetourisme.com/boutique. La visite d’une durée de 2h30 vous permettra d’en savoir davantage sur le fonctionnement et l’histoire du barrage-usine, mais aussi sur le projet de développement en cours, concernant également le barrage de Vouglans.

Il y a trois ans jour pour jour, le 28 juin 2020, Anne Vignot succédait à Jean-Louis Fousseret à la tête de la Ville de Besançon. Ce mercredi, son 1er opposant Ludovic Fagaut a dressé le bilan de la maire écologiste bisontine à mi-mandat. Absence d’ouverture, de co-construction, manque d’innovation et de perspectives, dépenses injustifiées, le chef de file de la liste « Besançon Maintenant Â» ne mâche pas ses mots pour tirer à boulets rouges sur la mandature de la maire bisontine.

Pour appuyer ses propos, Ludovic Fagaut avance trois domaines dans lesquels les mesures prises par Anne Vignot et son équipe sont jugées « insatisfaisantes Â». L’élu bisontin regrette que les 150 propositions formulées et les 600 questions posées, durant ces trois ans de gestion, soient restées sans réponse. « Il n’y a pas les sachants d’un côté et les ignares de l’autre Â» ajoute-t-il. Avant de déplorer, l’attitude d’Anne Vignot, « qui ne respecte pas l’opposition Â». « Anne Vignot ne cesse de nous couper la parole. Elle a choisi de retirer les propos préliminaires en début de conseil municipal. Elle s’est même permise de changer le règlement intérieur pour ne plus répondre aux questions qui lui sont posées » ajoute-t-il.

fagaut seul

Environnement, économie et sécurité

En matière d’environnement, Ludovic Fagaut dénonce « une politique punitive Â». « L’environnement n’appartient à personne Â» déclare-t-il. Et de continuer : « l’industrie n’est pas l’ennemi de la civilisation Â». Il pointe Â« une absence totale d’innovation Â», tout en rappelant les différentes propositions formulées par son équipe lors de la campagne des dernières élections municipales en la matière.

L'interview de la rédaction / Ludivic Fagaut

 

La politique économique est également décriée. M. Fagaut relate « l’agacement Â» de certains entrepreneurs, qui se sentent « abandonnés Â».  Il rappelle  les propos tenus par Anthony Poulin, l’élu en charge de l’économie, « qui préfère voire l’artificialisation des sols hors les murs de la ville de Besançon Â», « empêchant la création de richesses sur le territoire bisontin Â». Les autres attaques portent sur l’absence d’engagement pour le centre-ville de Besançon et le site Saint-Jacques. Ludovic Fagaut veut en faire « une entrée majeure du cÅ“ur de ville Â», en s’appuyant notamment sur une politique large en matière de logements, le développement de start-up et les constructions d’un auditorium de 2500 places et d’un grand espace multimodal sportif. Il s’insurge également contre « les 10 millions supplémentaires de masse salariale qui apparaissent dans le budget, l’arrivée de 300 migrants par an sur le territoire bisontin , l’utilisation de la pive pour six élus et les 60.000 euros qu’a coûté la statue en hommage à Colette, implantée à proximité de la gare Viotte Â».

L'interview de la rédaction / Ludivic Fagaut

 

La sécurité. Le groupe « Besançon Maintenant Â» pointe « le désengagement total Â» de Benoît Cypriani, l’élu actuel en charge de la sécurité. Selon M. Fagaut, la majorité a « abandonné la ville aux délinquants Â». Il prône « l’armement aux policiers municipaux Â» et le lien insuffisant avec « les associations locales et les structures sociales de la ville Â».

L'interview de la rédaction / Ludivic Fagaut

« Besançon Maintenant Â» veut remettre la ville de Besançon « Ã  l’endroit Â». Les dix élus demandent « une politique innovante qui ne soit pas basée sur la contrainte Â».

L'interview de la rédaction / Ludivic Fagaut

Dans un communiqué de presse, la Confédération Paysanne dénonce les mises en garde à vue de deux paysans, dont le Jurassien Nicolas Girod, ancien porte-parole du syndicat agricole, pour leur participation à la manifestation de Sainte-Soline, contre les méga-bassines, ces réserves de substitution d’eau . Ils doivent s’expliquer sur l’organisation de la manifestation illégale du 25 mars dernier. Un rassemblement de soutien s’est tenu ce matin devant la gendarmerie de Dole.

Le syndicat pointe « une liberté syndicale et un droit de manifester continuellement bafoués par les autorités publiques, qui refusent l’ouverture d’un dialogue serein et constructif pour une redéfinition démocratique de la gestion de l’eau Â». Il est évoqué « une intimidation gouvernementale Â», qui n’empêchera pas ces militants de « poursuivre leur action Â».

Le coup d’envoi du 120è Tour de France sera donné ce samedi 1er juillet au départ de Bilbao. Pour la première fois dans l’histoire de la Grande Boucle, les coureurs franchiront pas moins de 30 cols durant ces trois semaines de compétition. Cette année encore, la Franche-Comté n’a pas été oubliée. En fin de parcours, le peloton se défiera, le vendredi 21 juillet, entre Moirans-en-Montagne et Poligny. Soit un parcours de 173 kilomètres. La côte d’Ivory, à 30 kilomètres de l’arrivée, pourrait donner des ailes aux sprinters. Le lendemain, le départ sera donné de Belfort. L’arrivée est prévue dans les Vosges, après un parcours de 133 kilomètres.

Pour renforcer son effectif pour la saison prochaine, le BesAC, le club de basket bisontin, vient de s’attacher les services de Thibault Boyer. Agé de 23 ans, le pivot est le deuxième renfort de la formation. Il jouait précédemment en Nationale 2 sous le maillot d’Aubenas, après avoir porté les couleurs de La Pontoise (N2), Sud Drôme (N3) et Montélimar (N3). Le club le présente comme un bel espoir tricolore. A Besançon, il sera la doublure du pivot titulaire qui, selon toute vraisemblance, sera un joueur étranger.