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Un homme de 25 ans sera convoqué le 13 janvier prochain devant le tribunal correctionnel de Besançon. Le 19 août, à Besançon, lors d’un contrôle, mené place Leclerc, il est apparu qu’il conduisait malgré une annulation de son permis de conduire. Il présentait également un taux de 0,74 gramme d’alcool par litre de sang. Au cours de son audition, il a expliqué qu’il « n’était pas au courant qu’il ne possédait plus le permis de conduire Â». Il ne reconnaît pas également le franchissement du feu rouge.

Plusieurs Saisies de drogues ont été réalisées par les douaniers franc-comtois durant la semaine du 15 août. Au total, ce sont 12 kilos d’herbe de cannabis, plus de 4 kilos de cocaïne et plus de 30.000 euros issus du trafic qui ont été saisis.  

Le 14 août, les agents de la brigade des douanes de Montbéliard ont contrôlé un véhicule immatriculé en Allemagne, dans lequel se trouvaient deux individus, originaires de Macédoine et d’Albanie. Le 15 août, la brigade des douanes de Besançon interceptait un véhicule conduit par un individu résidant à Besançon sur la RN 57. Enfin, le 16 août, les agents de Delle mettaient un terme au périple d’une résidente suisse, qui avait conditionné plus de 3 kilos de cocaïne dans des sacs de crevettes séchées.

Mardi soir, vers 19h15, un homme de 47 ans a été interpellé au centre-ville de Besançon après un vol commis au préjudice du magasin Galeries Lafayette. Le montant du larcin s’élève à 820 euros. L’individu a porté son dévolu sur des vêtements. Il a été placé en garde à vue. Il a reconnu les faits. Au cours de son audition, il déclara être sans revenus et ne pas pouvoir se vêtir.

Un automobiliste de 31ans devra s’expliquer en janvier prochain devant la justice. Le 13 août dernier, vers 11h10, à Besançon, lors d’un contrôle, mené rue du Polygone, il est apparu qu’il conduisait sous l’effet de l’alcool. Il a également avoué avoir consommé de la cocaïne. Ce que les tests de dépistage ont confirmé. Un taux de 1,32 gramme d’alcool dans le sang a été enregistré.  Il a été placé en garde à vue avec droits différés. Entendu après total dégrisement, il a reconnu les faits.

Dans la nuit de lundi à mardi, vers 00h30, un homme de 47 ans a été interpellé à Besançon, rue Tristan Bernard, après que les policiers constatèrent qu’il était au volant, malgré une annulation judiciaire de son permis de conduire. Le véhicule n’était pas assuré. Il portait également un couteau.

Il s’agissait d’une personne dont l’aménagement de peine était totalement révoqué. Il avait été condamné par le tribunal judiciaire de Besançon à huit mois d’emprisonnement pour des faits de détention de produits stupéfiants. Au cours de son audition, il a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Sur instruction du magistrat, son véhicule a été confisqué et le couteau découvert détruit. Il s’expliquera en décembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon.

Un mineur non accompagné de 17 ans, suivi par les services du conseil départemental du Doubs, originaire du Mali, est soupçonné d’avoir tué un homme de 27 ans, défavorablement connu de la police et de la justice, dimanche, vers 23 heures, 21 rue de l’Amitié, à Besançon. Les deux individus se connaissaient. Ils vivaient dans le même immeuble, au pied duquel le drame s’est produit.  A l’origine de cette rixe mortelle, une banale et futile histoire concernant l’occupation d’un fauteuil, qui avait été installé pour permettre aux locataires de ce bâtiment de profiter de la fraîcheur de la nuit.

Deux coups mortels

Selon les propos tenus par Ibrahima, le meurtrier présumé, lors de sa garde à vue, une violente altercation aurait précédé l’acte ultime. Il aurait été violemment pris à partie par son opposant, arguant la légitimité du fauteuil tant convoité. Selon ses dires, il aurait reçu des coups de poing et de l’essence. Ce que les enquêteurs tentent de vérifier. Après s’être absenté, durant 15 minutes, et  changé, le jeune malien revient sur le lieu de la discorde et assène au moins deux coups de couteau à sa victime. L’un est donné au niveau dorsal, sur une profondeur de 16 centimètres, touchant un poumon, une veine cave et le foie. Grièvement touché, le blessé perdra la vie à l’hôpital de Besançon.

Une interpellation houleuse

L’arme, en l’occurrence un couteau, a été retrouvée dans l’appartement, dans lequel s’était réfugié l’agresseur présumé et deux autres personnes, qui ont rapidement été mises hors de cause. L’interpellation du trio s’est déroulée avec beaucoup de tension. Des renforts ont été appelés. Grâce à un cordon de sécurité, constitué d’une vingtaine de policiers, les suspects ont pu être pris en charge et conduits au commissariat de la Gare d’Eau. Durant cette opération, une voiture de police a été dégradée et un policier a été blessé au niveau du nez, suite à une béquille.

Déféré cet après-midi

Le jeune malien de 17 ans a été déféré ce mardi. Le Parquet de Besançon a demandé son placement en détention provisoire pour « meurtre Â». Dans la soirée, le juge d’instruction doit, à son tour,  se positionner sur ce drame, qui a conduit au décès d’un homme,  pour un seul différend , portant sur l’ occupation d’un fauteuil un soir d’été à Besançon.

Un individu alcoolisé a été interpellé la nuit dernière, vers minuit, à Besançon. Il a été surpris entrain de commettre des dégradations, notamment sur des arrêts de bus. Le mis en cause a été placé en dégrisement, avant de terminer la nuit en garde à vue. Il s’expliquera prochainement devant la justice.

Deux femmes, âgées de 22 et 19 ans, comparaîtront le 20 septembre prochain devant le Délégué du Procureur de la République, en vue de la notification d’une ordonnance pénale. Elles sont soupçonnées d’avoir dérobé pour plus de 660 euros de marchandises au préjudice de cinq enseignes de la zone commerciale de Chateaufarine à Besançon. L’une d’elle a été retrouvée en possession d’un sac à main, doublé d’une couche en aluminium, afin d’y dissimuler les articles dérobés. Elles ont été conduites au commissariat de la Gare d’Eau, avant d’y être placées en garde à vue.

Un homme a été placé en garde à vue à Pontarlier. Il est soupçonné d’avoir créé de faux documents pour obtenir illégalement le droit au chômage.  Il s’est fait passer pour un travailleur frontalier. Lui permettant de percevoir des sommes plus élevées. Il transmettait ces fausses fiches de paie à France Travail. Le préjudice s’élève à 21.600 euros.

L’ancien anesthésiste de Besançon Frédéric Péchier (52 ans) a de nouveau rendez-vous avec la justice. On a appris hier qu’il est renvoyé devant la cour d’assises du Doubs pour les empoisonnements de 30 patients, dont 12 mortels. Les deux juges d’instruction ont signé ce lundi l’ordonnance de mise en accusation devant la cour d’assises. Soit un document de plus de 360 pages, qui résume plus de sept années de procès. Frédéric Péchier  encourt la réclusion criminelle à perpétuité.