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Un homme de 51 ans est toujours en garde à vue ce jeudi soir. Dans l’après-midi, vers 15h, dans une galerie marchande, rue Char, à Besançon, il a dérobé des cosmétiques dans une pharmacie et des vêtements et des articles pour enfants dans une deuxième enseigne. Les agents de sécurité sont parvenus à le maîtriser. On ne déplore aucun blessé.

La garde à vue d’un homme de 35 ans a été prolongée. Il sera déferré ce vendredi matin. Dans la nuit de mercredi jeudi, à Besançon, cet homme a refusé de se soumettre à un contrôle routier, à hauteur de la rue Gounod. Une fois interpellé, il a été conduit au commissariat. Il présentait un taux de 1,6 gramme d’alcool par litre de sang. Il était également dépourvu de son permis de conduire. Il est apparu qu’il faisait l’objet d’une mesure de contrôle judiciaire, lui interdisant de tenir une arme. Une bombe lacrymogène a été trouvée en sa possession. Au cours de son audition, il a reconnu le refus d’obtempérer, le défaut de permis et la conduite sous alcool.  

Un an de prison avec sursis a été requis contre Eric Dupont Moretti, le ministre de la Justice, par le procureur de la Cour de justice de la République, pour prise illégale d’intérêt. Ce qu’il réfute. Ce jeudi, la défense prendra la parole. La décision sera connue plus tard. Rappelons qu’en cas de condamnation, le Garde des Sceaux sera contraint de démissionner.

Deux individus, âgés de 20 et 19 ans ont été condamnés à 10 mois de prison, assortis du sursis probatoire pendant deux ans, avec une interdiction de paraître sur Besançon, sauf pour motif professionnel. Le 7 novembre dernier, rue du Trey, lors d’un contrôle, ces deux jeunes gens ont été trouvés en possession d’une liasse de billets, pour un montant de 1.150 euros, pour l’un d’eux, et 275 euros pour le deuxième.

De la résine de cannabis, plusieurs sachets d’herbe de cannabis et six grammes de cocaïne étaient également en possession de l’aîné. Lors de la perquisition menée au domicile de ce dernier, une somme de 620 euros a également été découverte, ainsi qu’un téléphone portable, appartenant à une troisième personne, qui n’a pas été poursuivie, malgré sa présence à leurs côtés ce jour-là.

Quatre jours après une première garde à vue, une jeune fille de 15 ans s’est de nouveau illustrée à Besançon. Le 8 novembre dernier, vers 17h45, elle a tenté de dérober une veste de marque Lacoste. Le préjudice s’élevait à 145 euros. Cependant, la vêtement, dégradé au niveau de la capuche, ne pouvait pas être remis en rayon. L’adolescente a été interpellée et placée en garde à vue. Au cours de son audition, elle a reconnu les faits. Avant sa comparution devant la justice, elle a été remise à son civilement responsable.

Le Conseil d’Etat a annulé, ce jeudi, la dissolution du collectif écologiste « les Soulèvements de la Terre », prononcée, en juin dernier, par Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur. Selon l’instance, cette mesure, porte une atteinte grave à la liberté d’association ». Et de signifier que cette dissolution ne constituait pas « une mesure adaptée, nécessaire et proportionnée à la gravité des troubles susceptibles d’être portés à l’ordre public ».

Un automobiliste de 19 ans devra s’expliquer en mars prochain devant la justice. Lors d’un contrôle de police, menée Avenue Edgar Faure, à Besançon, les policiers ont aperçu un sachet au pied du conducteur. Le jeune homme confirma qu’il était en possession d’un morceau de résine de cannabis. Le chien spécialisé a permis la découverte sous le siège conducteur d’un morceau de cannabis et d’une capsule contenant une poudre blanche pouvant être de la cocaïne. Au total, les policiers ont découvert 52 grammes de cannabis et 1 gramme de cocaïne. Des stupéfiant qu’il a reconnu avoir acheté dans le quartier Planoise pour la somme de 300 euros.

Jean-Christophe Quenot, originaire de Besançon, poursuivi devant la cour criminelle départementale de Paris, a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle hier, après trois jours de procès. Il était jugé pour avoir abusé sexuellement de 25 enfants en Malaisie, âgés de 10 à 17 ans, entre 2014 et 2017.

Lundi, cet enseignant professeur de français avait tenté de minimiser les faits, en expliquant que « la vulnérabilité ( de ses victimes) n’était pas apparente ». L’individu avait été interpellé en mars 2019, à Besançon, chez sa mère, après avoir pris la fuite de Thaïlande ou il avait été interpellé.  Il se trouvait dans une chambre d’hôtel avec deux jeunes garçons. Il avait réussi à échapper à des poursuites en payant une caution.

Le procès de Jean-Christophe Quenot, originaire de Besançon, se poursuit devant la cour criminelle départementale de Paris. Le prévenu est jugé pour avoir abusé sexuellement de 25 enfants en Malaisie, âgés de 10 à 17 ans, entre 2014 et 2017. Hier, cet enseignant professeur de français a tenté de minimiser les faits, en expliquant que « la vulnérabilité ( de ses victimes) n’était pas apparente ». La justice devrait prononcer son verdict ce mardi.

Un homme de 45 ans devra s’expliquer en janvier prochain devant la justice. Cet individu, au volant d’une voiture accidentée, a suscité la curiosité des policiers le 3 novembre dernier, rue de Dole. D’autant plus qu’il semblait dissimuler son visage avec des lunettes de soleil et une capuche. Les forces de l’ordre ont eu du flair car il s’est avéré que son permis de conduire était suspendu. Lors du contrôle, il a présenté celui de son frère, pensant tromper les policiers. Interpellé, il a été conduit au commissariat. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu les faits.