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Une femme devra s’expliquer en mai prochain devant la justice. Le 11 avril, vers 18h, rue Léonard de Vinci, à Besançon, alors que la police avait été alertée sur son comportement – elle déféquait notamment à la vue du public – elle a insulté les fonctionnaires et a craché sur l’un d’eux.

Elle était également porteuse d’un couteau. Elle a été placée en garde à vue différée. Lorsque la raison est revenue, elle a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Précisons que, sur instruction d’un magistrat, le couteau a été détruit.

Un individu, de nationalité algérienne, en situation irrégulière, a été interpellé,  le 10 avril dernier, à la gare Viotte à Besançon. Ivre, au moment du contrôle mené par les agents, il a laissé tomber, de sa poche, une savonnette de 100 grammes de résine de cannabis. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Après dégrisement complet, il a expliqué que les stupéfiants découverts en sa possession constituaient sa consommation personnelle. Une ordonnance lui a également été notifiée pour le 26 avril prochain.

A Besançon. Un mineur de 16 ans devra s’expliquer le 24 mai devant le Juge des Enfants. Le 10 avril, il a été trouvé en possession de 26 grammes de résine de cannabis. Le contrôle a été réalisé à l’angle de la rue de la République et de la Grande Rue. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu vendre des produits stupéfiants. Ce que les policiers avaient constaté lors de l’exploitation de son téléphone portable. Sur instructions du magistrat de permanence, les stupéfiants ont été détruits.

Un homme de 48 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Le 11 mars, lors d’un contrôle, à Pontarlier, il était apparu qu’il était au volant, malgré un permis de conduire qui n’était pas valide et un défaut d’assurance. Le résultat des tests toxicologiques s’est avéré positif au THC. Convoqué au commissariat ce jour, après la confirmation des résultats, le quadragénaire a été placé en garde à vue, après avoir été fixé sur son sort par la justice.

Dans l’affaire, opposant la Ville de Besançon et le Jardin des Vaîtes, le tribunal administratif de Besançon a rejeté le recours introduit par le collectif. L’association demandait l’annulation de la décision par laquelle la présidente de Grand Besançon Métropole a refusé d’inscrire à l’ordre du jour du conseil communautaire l’abrogation partielle du plan local d’urbanisme de la commune de Besançon.

Un homme de 36 ans a été placé sous contrôle judiciaire à Besançon. Le 9 avril dernier, lors d’un contrôle, une patrouille de la police nationale a constaté qu’il conduisait malgré une annulation de son permis de conduire. Le véhicule n’était pas assuré. De plus, le dépistage stupéfiant était positif à la cocaïne. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Il a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés. Excepté sa conduite sous l’emprise de produits stupéfiants, expliquant qu’il se trouvait sous traitement de codéine, pour des douleurs dentaires.

Marie Guite Dufay, la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, a réagi après le placement en détention provisoire de la maire d’Avallon Jamilah Habsaoui, également conseillère régionale. L’élue socialiste a suspendu la délégation qu’elle lui avait confiée.

Si elle soutient « la lutte contre les trafics de drogue », Mme Dufay en appelle également « au respect à la présomption d’innocence » et pointe  « la campagne haineuse », dont l’élue fait l’objet sur les réseaux sociaux, « souvent basée sur ses origines ».

Jonathann Daval a dû faire face une nouvelle fois à sa belle-famille. Ce mercredi, il comparaissait devant le tribunal de Besançon pour répondre des faits de « dénonciation calomnieuse ». Le Procureur général Etienne Manteaux a demandé la relaxe. Le prévenu a, une nouvelle fois de plus, présenté ses excuses à la famille, qui demande également 60.000 euros de dommages et intérêts. La décision a été mise en délibéré au 24 mai prochain.

C’est un jugement historique. La Cour européenne des droits de l’homme a condamné un  Etat, en l’occurrence la Suisse, pour inaction climatique. Cette décision pourrait néanmoins faire jurisprudence dans toute l’Europe. Il est reproché aux autorités helvètes de ne pas suffisamment se mobiliser pour combattre le réchauffement climatique. Il leur faudra désormais trouver de nouvelles mesures pour faire évoluer la situation.

Une militante d’extrême droite, qui avait brandi des banderoles anti-immigration lors du Carnaval de Besançon, dimanche après-midi, a été entendue, ce mardi, par les policiers bisontins. Rappelons que la maire de Besançon, Anne Vignot, a porté plainte pour « incitation à la haine raciale ». La jeune femme, qui a été placée en garde à vue, est ressortie libre en fin de journée.Une enquête est toujours en cours.

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