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Un jeune homme de 18 ans a été condamné à 24 mois de prison, dont 18 mois ferme. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Le 1er novembre dernier, place de l’Europe, dans le quartier Planoise,  il a été interpellé par une patrouille. A la vue des policiers, il a tenté de prendre la fuite, en compagnie d’un acolyte.

En courant, il s’est délesté d’un sac plastique, contenant des produits stupéfiants. Conduit, non sans difficulté au commissariat, les policiers découvriront, sur lui,   24 grammes de cocaïne, 10 grammes d’herbe de cannabis et 39 grammes de résine de cannabis. La perquisition à son domicile n’a rien donné. Lors de sa garde à vue,  le mis en cause a reconnu  l’intégralité des faits reprochés. Il a expliqué  Â« revendre pour rembourser une dette de 400 €, mais sans lien avec les stupéfiants Â».

Lundi soir, dans le cadre du prochain conseil municipal de Besançon, les élus se prononceront sur un vÅ“u, déposé par la majorité municipale, portant sur les mineurs non accompagnés déclarés « non mineurs Â». Les élus s’insurgent contre la situation de 78 jeunes, originaires d’Afrique, présentant des papiers les reconnaissant mineurs, mais que les autorités françaises, en l’occurrence le conseil Départemental du Doubs et la Préfecture contestent. L’affaire est actuellement dans les mains de la justice. Une partie de ces jeunes migrants ont été entendus mardi dernier par un juge des enfants.

Hébergés à Planoise

Pour l’heure, 41 des 78 jeunes en question ont été mis à l’abri dans des appartements appartenant à Loge.GBM à Planoise. Ils occupent, en compagnie d’une quarantaine d’autres demandeurs d’asile, un espace de sept étages, comprenant 27 logements. Ils sont pris en charge par la ville et le milieu associatif local,  Ã  la suite du démantèlement du camp qu’ils avaient installé rue d’Arène. Anne Vignot et son équipe demandent, par ce vÅ“u, que le vide juridique qui ne reconnait ni la minorité, ni la majorité de ces personnes, soit comblé. Il est demandé « une loi plus claire en la matière et que l’état prenne ses responsabilités Â». C’est d’ailleurs la raison pour laquelle ce document sera envoyé au préfet, aux ministres concernés et aux parlementaires.

L'interbiew de la rédaction : Anne Vignot

Nordhal Lelandais va comparaître le 27 novembre devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières. Le meurtrier de Maëlys et du caporal Arthur Noyer est accusé « d’agression sexuelle sur mineur Â» et « menace de mort Â» sur l’une de ses  cousines, âgées de 14 ans au moment des faits en 2017. Les faits se seraient produits le jour de l’enterrement du père de l’enfant. Rappelons que Lelandais a été condamné également pour des agressions sexuelles commises sur deux autres petites cousines.

Un individu, qui a maintenu au cours de sa garde à vue être mineur, devra s’expliquer en avril prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Dans la nuit du 29 octobre dernier, avec plusieurs personnes, il a pénétré dans un magasin, situé rue Marulaz à Besançon. Malgré sa tentative de fuite, il a pu être interpellé. Mauvaise pioche, l’intérieur de l’endroit,  occupé illégalement, était en cours de création et les étagères étaient vides.

Au cours de son audition, il a expliqué qu’il avait bu et qu’il cherchait un lieu où passer la nuit. Le mise en cause était en garde à vue pour la deuxième fois de la semaine pour les mêmes faits. La victime a déposé plainte

La garde à vue d’un homme de 23 ans a été prolongé à Besançon. Dimanche après-midi, il s’est tristement illustré, tout d’abord au volant d’une voiture, en tentant de fausser compagnie aux policiers, puis à pied. Le mis en cause a été interpellé, non sans difficulté, dans le hall d’un immeuble, rue de Picardie, dans le quartier Planoise à Besançon.

Au cours de sa garde à vue, l’homme a reconnu la conduite sans permis de conduire. Concernant l’absence d’assurance, il a tenté de se justifier en expliquant qu’il voulait vendre le véhicule pour pièces. Par ailleurs, il a nié la rébellion, le refus d’obtempérer et la conduite sous stupéfiants. Il sera déféré ce mardi matin.

Un jeune homme de 16 ans a été pris en charge par les services du centre départemental de l’enfance et de la famille. Le 26 octobre dernier, vers 5h15, rue Lamartine, à Besançon, il a été interpellé, lampe allumée,  Ã  proximité d’un lieu où un vol avait été commis. Les policiers ont découvert plusieurs articles à proximité d’un box. Au cours de son audition, le jeune homme a réfuté les faits et les dégradations qui lui sont reprochés. Et ce, malgré des faits probants, comme sa tentative de se dissimuler sur la terrasse d’une propriété. Deux victimes ont déposé plainte.

Le 3 octobre dernier, sur l’A36, les douanes de Lons-le-Saunier ont découvert près de 250 kilos de cannabis dans un poids-lourd espagnol. Les big-bags, censés contenir des copeaux de bois, étaient remplis d’herbe de cannabis. Les douaniers ont également découvert 2.680 euros en espèce.

Le chauffeur a été placé en garde à vue, avant d’être remis aux services du Peloton motorisé de Courlaoux. Jugé le 26 octobre, il a été déclaré coupable des infractions reprochées. Il a été condamné à deux ans d’emprisonnement ferme, 5 ans d’interdiction du territoire français et à une amende douanière de 1 million d’euros.

Le 22 octobre dernier, îlot du Minotaure, à Besançon, au niveau du Pont Schwint, deux individus ont été interpellés et conduits au commissariat de police. Les forces de l’ordre ont constaté qu’ils étaient engagés dans une transaction de produits stupéfiants. Ils ont été placés en garde à vue. Plus de 35 grammes d’herbe de cannabis, 54 grammes de résine de cannabis et 44 grammes de cocaïne ont été retrouvés sur eux. Ces produits ont été détruits. L’acheteur, originaire de Besançon, âgé de 27 ans, a été laissé libre dans l’attente de son jugement, le 12 février prochain. Le vendeur, âgé de 33 ans, a été condamné à 12 mois d’emprisonnement avec incarcération immédiate.

Un homme et une femme, âgés de 34 ans, ont été interpellés par les policiers bisontins le 23 octobre dernier. Ils sont soupçonnés d’avoir commis un vol, durant cette nuit,  dans un entrepôt de la rue de la Mouillère à Besançon. Au commissariat, il a été constaté qu’ils avaient dérobé trois bouteilles de vin. Dans un sac à dos, il a également été découvert d’autres objets volés, provenant d’un larcin commis le 21 octobre dans un bureau du théâtre de l’Espace.

Au cours de son audition, la femme a reconnu avoir utilisé les chèques CADOC volés pour acheter de la nourriture et de l’alcool. Elle a également donné aux enquêteurs le surnom de celui à qui elle avait revendu, 40 euros, le Mac Book Air, contenu dans le sac. Les deux individus s’expliqueront en mars prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon.

Un lycéen, d’origine syrienne, scolarisé dans un établissement scolaire de Pontarlier, a été placé sous contrôle judiciaire, après avoir été présenté au Parquet de Besançon. La semaine dernière, il a été interpellé par les services de la police nationale de la ville. Le jeune homme a proféré des menaces très explicites à  d’autres lycéens, qui ont signalé cet incident à la direction de ce lycée professionnel. Il voulait « tuer Â» un de ses professeurs et « mettre le feu Â»  Ã  son établissement.  Il a été interpellé en fin de semaine dernière.