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Un feu d’habitation et un hangar agricole d’une superficie de 400 m2 ont pris feu ce jeudi matin à Soulce Cernay (25). 40 vaches ont été évacuées par le propriétaire avant l'arrivée des secours. Quatre lances incendie ont été déployées.

Publié dans Actualités, Fait divers

Les élus bisontins auront droit à un comité d’accueil ce jeudi soir. Le syndicat Sud a décidé d’exprimer son opposition à l’application de la loi sur les 1607 heures. Un rassemblement est prévu à 17h devant la chambre de commerce et d’industrie où se tiendra le conseil municipal. Cette réforme de la fonction publique, votée en 2019, prévoit, à compter du1er janvier 2022, le retour obligatoire aux 1607 heures annuelles de travail.

Pour le syndicat, « L’application des 1607 heures est une véritable régression sociale contraire aux valeurs portées par les partis politiques dont est issue la majorité municipale ». Et de poursuivre : « son application supprime des emplois, dégrade le service public et les conditions de travail ».

Le gouvernement a réagi après la liquidation judiciaire de la fonderie MBF Aluminium prononcée par le tribunal de commerce de Dijon le 22 juin. Elisabeth Borne et Agnès Pannier-Runacher ont réaffirmé que « le gouvernement restera pleinement mobilisé aux côtés des salariés concernés et du territoire pour leur permettre de rebondir ».

Il est ainsi souligné que « pour soutenir l’émergence de nouveaux projets industriels locaux », l’Etat a activé le dispositif « choc industriel ». En parallèle, le fonds d’accompagnement et de reconversion des salariés de la filière automobile sera également mobilisé pour venir en aide aux salariés.

Enfin, il est également prévu que les salariés bénéficient d’un accompagnement renforcé s’appuyant notamment sur la mise en œuvre d’une cellule d’appui à la sécurisation professionnelle, de formations qualifiantes et d’aides à la création d’entreprise ou à la mobilité ou encore d’une prime au reclassement.

 

Un  enfant de 4 ans a perdu la vie ce mercredi après-midi à Besançon. Le petit garçon a été percuté par une voiture qui aurait franchi un feu rouge à hauteur du boulevard Léon Blum. Au volant, une conductrice de 84 ans.

La petite victime aurait lâché la main de sa maman, alors que le feu était vert pour les piétons. Deux autres personnes, choquées, ont été prises en charge par les secours. Une enquête est en cours.

Dans la nuit de mardi à mercredi, vers minuit, rue de Belfort, à Besançon, lors de la surveillance d’un parking, une équipe de la BAC ca constaté l’attitude étrange d’un jeune homme de 16 ans. L’endroit était connu pour abriter un point de deal. Marchant sur la pointe des pieds, l’adolescent s’est mis à fouiller un buisson et a retiré un sac plastique, avant de repartir rapidement.

La patrouille a procédé à son contrôle. Il était alors en possession de 40 grammes de cocaïne et 100 grammes d’héroïne. Le mis en cause a été interpellé et placé en garde à vue. Il comparaîtra le 20 juillet devant le juge des enfants de Metz en vue d’une mise en examen.

Trois individus ont été interpellés le 21 juin dernier rue de l’amitié à Besançon. Ils dégradaient un véhicule en stationnement. Il est apparu que ces individus, âgés de 37 ans et 21 ans, se trouvaient sous l’effet de protoxyde d’azote. A l’intérieur de la voiture se trouvait une centaine de grammes de résine de cannabis. Par ailleurs, l’un des protagonistes avait une interdiction de paraître en Franche-Comté. L’un d’eux s’expliquera le 10 décembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon pour les dégradations et la conduite sans permis en récidive.

Publié dans Actualités, Fait divers

Dans un communiqué de presse, le comité Doubs de Génération.s appelle les électrices et les électeurs à aller voter au second tour des élections régionales le dimanche 27 mai et porter leur voix en faveur du Rassemblement des gauches et des écologistes conduit par Marie-Guite Dufay. Il appelle à la mobilisation pour battre les droites (La République en marche ; Les Républicains) et l'extrême droite ( Rassemblement national).

Concernant les élections départementales dans le Doubs, il les appelle « à apporter leurs suffrages aux binômes des candidats des gauches et des écologistes en lice et, dans les cantons où ils ne sont pas présents, à faire barrage au Rassemblement National là où celui-ci est en mesure de l'emporter."

Publié dans Actualités, Politique

La décision est tombée ce mardi. Le tribunal de commerce de Dijon a prononcé la liquidation judiciaire de MBF Aluminium, la fonderie jurassienne, basée à Saint-Claude. Les 284 salariés et intérimaires vont perdre leur emploi. Jean-Louis Millet, le maire de la cité, ne cache pas sa colère. Il dénonce le comportement de l’état et l’aide très alambiquée de la région. Il parle d’un véritable « assassinat ».

Jean-Louis Millet, le maire san-claudien, s’interroge sur la volonté réelle de l’état et de la collectivité à vouloir sortir de l’ornière cette entreprise au savoir-faire ancestral et reconnu. « Y-a-t-il des tractations secrètes ? Y-a-t-il des choses qui se passent dans notre dos que l’on ignore » déclare-t-il. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle l’édile demande « qu’une enquête pénale soit effectuée vis-à-vis des dirigeants et actionnaires actuels ». Faisant référence aux informations parues dernièrement dans la presse, Mr Millet demande que toute la lumière soit faite sur la situation financière de l’entreprise. « S’il y a quelques millions qui se sont évaporés, je n’en sais rien, je ne suis pas dans le secret des dieux, il faut peut-être investiguer en ce sens » conclut-il.

Une situation économique et sociale catastrophique 

Le coût humain, social et économique après la décision du tribunal de commerce de Dijon est bien réel. Tout d’abord parce que 280 familles, majoritairement domiciliées à Saint-Claude, vont subir de plein fouet cette décision. D’autre part, parce que depuis plusieurs années désormais, la ville de Saint-Claude perd de son attractivité. Les chiffres viennent confirmer cette situation, qui n’est pas sans rappeler les 1500 emplois déjà perdus il y a une quinzaine d’années, faisant nettement tomber la démographie locale. Sans occulter la situation de l’hôpital qui n’est pas des meilleures. « Je suis très inquiet pour l’avenir » ne cache pas Jean-Louis Millet.

Jean-Louis Millet, Maire de Saint-Claude 

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