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La neuvième vague de COVID-19 se confirme à l’échelle régionale où elle n’épargne aucun des huit départements.  A l’échelle régionale, le taux de positivité des tests de dépistage du COVID-19 dépasse désormais 30%, en hausse de plus de 3 points par rapport à la précédente période. Cette reprise épidémique commence à avoir un net impact hospitalier, s’ajoutant à celui des bronchiolites, avec une hausse des personnes hospitalisées.

Après son  match compliqué contre Metz en Championnat, l’ESBF affronte les espagnoles de Bera Bera ce samedi soir, au Palais des Sports, pour le compte du 3è tour aller de la Ligue européenne. L’adversaire n’est pas un inconnu des joutes européennes. Rappelons que la saison dernière, cette même équipe avait sorti les Parisiennes au 2è tour en Coupe d’Europe. Malgré la faiblesse du championnat espagnol, Bera Bera reste néanmoins sur des statistiques convaincantes. L’équipe a terminé en tête à huit reprises lors des dix dernières saisons. Sébastien Mizoule, le coach bisontin, présente « un collectif solide, qui marque beaucoup de buts Â».

Retrouver son niveau de jeu

L’entraîneur bisontin espère que son groupe montrera un autre visage que celui qu’il a proposé face aux Lorraines. Il compte sur une équipe rageuse, déterminée et engagée qui saura renverser son adversaire. Sébastien Mizoule veut également que son effectif retrouve du plaisir. Un enthousiasme qu’il a perdu et qui, pourtant, est le plus souvent une des clés du match. Le message est passé. L’ESBF doit s’imposer ce samedi soir. Peu importe l’écart avant le match retour.

Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h au Palais des Sports Ghani Yalouz.

L'interview de la rédaction / Sébastien Mizoule

C’est un évènement qui se déroulera sur les deux prochaines années. En 2023 et 2024, l’université de Franche-Comté va célébrer ses 600 ans. Tout au long de ces 24 mois, l’établissement, en collaboration avec de nombreux partenaires et institutions, proposera un riche programme de rendez-vous. L’ensemble des campus universitaires francs-comtois sont concernés : Vesoul, Lons, Dole (ville berceau de l’université), Belfort et Besançon.

Pour l’université, l’objectif est triple : mettre en lumière son riche passé, évoquer le présent et porter une réflexion sur l’avenir. Les enjeux de demain, toute une démarche intellectuelle à mener pour penser les formations et les enseignements du futur, répondant aux grandes questions sociétales des trente prochaines années. Macha Woronoff, la présidente de l’université de Franche-Comté, ne veut pas d’un évènement porté vers le passé, mais d’une date anniversaire « qui va projeter l’Université de Franche-Comté vers l’avenir Â».

Un évènement grand public

Pas question de faire de cette commémoration, un rendez-vous élitiste, où seuls les sachants auraient leur place. Bien au contraire. Aux côtés de Macha Woronoff, Hugues Daussy, vice-président recherche et valorisation, et Maryse Graner travaillent sur une manifestation grand public ou les Francs-Comtois seront associés. Les festivités débuteront en janvier prochain. Il y en aura pour tous les goûts : colloques scientifiques, conférences, visites guidées, … . L’université a prévu également d’éditer un livre historique qui anglera sur le passé historique de l’université, les étapes majeures de son évolution et les personnalités les plus emblématiques de son histoire. Un site internet, entièrement dédié à ces 600 ans, est également en ligne.  Au fur et à mesure de leur labellisation, il contiendra notamment tous les évènements à venir. Pour le consulter : 600ans.univ-fcomte.fr

Petit rappel historique

L’Université de Franche-Comté est née en 1423 à Dole. En 1691, Louis XIV acte son transfert définitif à Besançon. Obligée de fonctionner clandestinement durant la Révolution Française, l’université franc-comtoise reprendra officiellement son  activité en 1808. S’en suivront d’autres étapes importantes comme la construction de l’Observatoire astronomique de la Bouloie entre 1882 et 1884, la création des facultés de médecine, pharmacie, de droit et de IUT de Besançon et Belfort entre 1967 et 1968 et le développement des autres campus de l’université à partir de 1991.

L'interview de la rédaction / Macha Woronoff ( présidente de l'université de Franche-Comté)

 

Un jeune homme de 18 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Hier soir, les forces de l’ordre se sont rendues à la FNAC, dans la zone commerciale de Chateaufarine, pour prendre en charge le mis en cause, qui aurait dérobé pour près de 350 euros de marchandise. Le malfrat présumé a été interpellé par les agents de sécurité après les caisses de l’enseigne.

Un jeune homme de 19 ans a été placé en garde à vue, avant d’être déféré ce vendredi matin au tribunal judiciaire de Besançon pour un placement sous contrôle judiciaire. Les faits ont été enregistrés à Pontarlier. Il est soupçonné d’avoir donné un coup de tête à sa compagne, âgée de 23 ans mercredi soir. Le jeune homme a cherché à minimiser les faits lors de son audition.

Un jeune suisse de 26 ans devra s’expliquer le 30 mars prochain devant la justice. Mercredi soir, à Pontarlier, tout en roulant, il a dégradé trois véhicules. Le contrôle a permis d’établir qu’il conduisait avec 1,62 gramme d’alcool par litre de sang. Il devra également répondre des faits de refus d’obtempérer et délit de fuite.

Un jeune homme de 19 ans a été placé en garde à vue, avant d’être déféré ce vendredi matin au tribunal judiciaire de Besançon pour un placement sous contrôle judiciaire. Les faits ont été enregistrés à Pontarlier. Il est soupçonné d’avoir donné un coup de tête à sa compagne, âgée de 23 ans mercredi soir. Le jeune homme a cherché à minimiser les faits lors de son audition.

L’actualité sociale est chargée en cette fin de semaine. Samedi après-midi, à 14h, AC ! Agir contre le chômage organisera un rassemblement sur la place Pasteur à Besançon. La nouvelle réforme de l’assurance chômage ne passe pas. Les manifestants demandent « le retrait de cette réforme et des précédentes, le partage du temps de travail à 32 heures hebdomadaires, tous les chômeurs indemnisés et des indemnités au SMIC revalorisé et l’arrêt de la précarité sous toutes ses formes Â».