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 Après sa victoire sur le Tour du Limousin, le Bisontin Romain Grégoire participe à compter de ce samedi à la Vuelta, le Tour d’Espagne. A 20 ans, le jeune espoir de Groupama-FDJ participe au premier grand Tour de sa jeune et prometteuse carrière. Trois semaines de compétition l’attendent. Cela commence ce samedi par un contre-la-montre par équipes de près de 15 kilomètres à Barcelone.

La ville de Pontarlier fait savoir que pour cause de maintenance technique et travaux, la piscine municipale Georges Cuinet sera fermée à partir du dimanche 27 août à 12h jusqu'au lundi 11 septembre inclus.

National

Red Star 2 – 0  FC Sochaux Montbéliard

National 2

Jura Sud 0 – 0 Grasse

Biesheim 1 – 0 Racing Besançon

National 3

ASM Belfort 3 –2 Raon l’Etape

Besançon Football 2 – 0 Jura Dolois

Pontarlier 1 – 0 Rumilly/ Vallières

FC Sochaux Montbéliard (2) 0 – 1 Vesoul

2è tour de la Coupe de France

Tournus (D3) 0  – 5 Sud Revermont (D1)

Lessard en Bresse (D1) 0 – 1 Bresse Jura (R1)

Triangle d’Or (R3) 2 – 3 Clesse (D1)

Varennes le Grand (D2) 0 – 1 Arcade Foot (R3)

Le Châteleu 0 - 9 La Joux Nozeroy

Sornay (R2) – Poligny (R2)

Coteaux de Seille (R3) 3 – 1 Lons RC (R1)

Aiglepierre (D2) 2 – 1 Aromas (D3)

Pleure (D2) – Pouilley les Vignes (R3)

Auxon Dessous (D2) – RC Saônois (D2)

Besançon Clémenceau (D2) – Marnay (D1)

Mirebeau (D1) 1 – 2 Saint Vit (R1)

Saint Aubin (D3) 1 – 2 Arc les Gray (D1)

Dole Crissey (D2) – Saint Apollinaire (R1)

Orchamps OP (D3) 1 – 1 Perrouse (R2) ( 1 TAB 4)

ASC Velotte (D1) – Chevigny Saint Sauveur (R2)

Autrey les Gray (D1) – Rochefort (R3)

Montrapon (D3) 3 – 5 Tilles (D1)

Jura Stad (D1) – Genlis (D1)

FC Neuilly (D2) 2 – 3 Grand Besançon (D2)

Remilly ou Echenon (D3) – Mahoraise Besançon (D1)

Les Fins (D1) 0 – 5 Ornans (R1)

Entre Roches (D1) – Val de Loue (R3)

Mont Sous Vaudrey (R1) 3 – 0 Roche Novillars (R2)

Le Châteleu (D2) – La Joux Nozeroy (R2)

Haut Lison ou Villeneuve d’Amont (D3) – Château de Joux (R2)

Saint Claude (D3) – Saône Mamirolle (R3)

FC Haut Jura (D1) 3 – 3 Macornay (D1) ( 4 TAB 1)

Frasne (R3) 2 – 3 Champagnole (R1)

Doubs (D1) 0 – 1 Levier (R2)

Sporting Besançon (D3) 1 – 2 Jura Lacs (R1)

Villers le Lac (D1) 4 – 1 Monts d’Usiers (D2)

Vaux les Saint Claude (D2) – Grandvaux (D2)

Saint Lupicin (D2) – Mouchard (D2)

Montfaucon Morre Gennes (R2) 1 – 2 Morteau Montlebon (R1)

Avoudrey (D2) – Melisey (R2)

Sous Roches (D2) – Vesoul Agglo (D1)

Héricourt (R3) 1 – 2 Pays Maîchois (R2)

Plaimbois du Miroir (D2) 0 – 1 Audincourt (R1)

Le Russey (D2) 0 – 4 Lure (R2)

Pays Minier (R3) 1 – 3 Valdahon Vercel (R1)

Les Ecorces (R3) 1 – 3 Grandvillars (R1)

Les 3 Cantons (D1) – Baume les Dames (R1)

Esse 8 - 1 Val de Loue

Lougres 0 - 3 Baume les Dames

Suite à un contexte politique particulier, nécessitant de nouvelles élections,  après plusieurs démissions au sein du conseil municipal de Mignovillard, la préfecture du Jura annonce que le premier tour des élections municipales partielles, prévues le 10 septembre prochain, n’aura pas lieu.

A l’issue du dépôt de candidatures pour le 1er tour, aucun candidat ne s’est manifesté. Les personnes qui souhaitent candidater pour le second tour peuvent encore le faire. Dans ce cas, elles doivent déposer leur déclaration de candidature en Préfecture du Jura, les lundi 11 et mardi 12 septembre prochains.

Pour de plus amples informations : https://www.jura.gouv.fr/index.php/contenu/telechargement/27267/212907/file/Convocation%20des%20%C3%A9lecteurs%20sur%20la%20commune%20de%20MIGNOVILLARD.pdf

Le Grand Besançon Doubs Handball a terminé, ce vendredi soir, ses matches de préparation sur un match nul. Le groupe bisontin et Annecy se sont quittés sur le score nul de 33 à 33. Place désormais aux 16ès de finale de la Coupe de France. Ce mardi 29 août, à 20h30, les handballeurs bisontins affronteront Limoges. La rencontre se jouera au Palais des Sports Ghani Yalouz.

Pour son retour à la compétition, après de longues semaines d’inquiétude, le FC Sochaux Montbéliard s’est incliné sur le score de 2 buts à 0 face au Red Star, ce vendredi,  dans le cadre de la 3è journée de championnat en National. Les buts ont été inscrits par les Parisiens durant le 1er quart d’heure, à la 3è minute de jeu, puis à la 13è. Les hommes d’Oswald Tanchot ont craqué à deux reprises avant de montrer un visage plus rassurant, notamment en seconde période.

Ce vendredi 25 août, le FC Sochaux-Montbéliard a définitivement été cédé au groupe d’acteurs économiques réunis dans le projet "FCSM 2028. Le nouveau Conseil d'Administration du FCSM, réunit ce jour, a également nommé Jean-Claude Plessis Président du FC Sochaux-Montbéliard, Pierre Wantiez Président Délégué et Gérald Maradan Vice-Président. Â»

 

C’est un métier qui fait partie du pastoralisme du massif du Jura. Les bergers sont des acteurs indispensables au bon fonctionnement de l’agriculture française et à la protection de l’environnement. Dans le massif du Jura franco-suisse, ils sont environ 150 à œuvrer sur un large territoire allant des Hôpitaux, au Mont de l’Herba, en passant par la Dôle et la Suisse. En fonction des exploitations agricoles qui les emploient, leurs missions peuvent évoluer, mais tous ont une même passion pour leur métier, les animaux et le milieu naturel dans lequel ils évoluent. Rencontre avec Babeth Roy, membre de la Confédération Paysanne et de l’association des bergers Franco-Suisse.

La bergère (62 ans), qui travaille dans la partie suisse du Mont d’Or, s’est découvert cette passion il y a plus d’une vingtaine d’années. Après une pause de vingt ans pour notamment élever son enfant, elle a décidé de reprendre du service. « Habiter sur son lieu de vie, être dans la nature, être libre et autonome, … Â» sont autant de privilèges qui l’ont convaincue de repartir en alpage. « Le contact avec les vaches et la nature est beaucoup plus ressourçant que dans un bureau avec des collègues Â» explique-t-elle. Et de poursuivre : « on est maître de son travail. On est seul. On organise nos journées comme on veut Â». Depuis la fin mai, et jusqu’à la fin septembre, Babeth Roy travaille pour un éleveur suisse. Chaque jour, elle surveille et s’occupe de 46 vaches et veaux et un taureau, sur un espace de 99 hectares, réparti sur cinq pâtures. « J’interviens comme si c’était mes animaux Â» ajoute-t-elle.

« Des coordinateurs de la montagne Â»

C’est ainsi que se définit Babeth Roy. Elle apporte une protection à son troupeau et permet aux différents acteurs de la montagne de cohabiter le mieux possible. Chaque jour, elle parcourt entre 5 et 10 kilomètres. Ses missions : le contrôle des vaches, le soin des animaux, la gestion du sel et de l’eau, … .  Babeth le reconnaît, les bergers sont de moins en moins nombreux. Aujourd’hui la moyenne d’âge est d’environ une cinquantaine d’années. Pour sensibiliser aux enjeux du métier et assurer sa pérennité, elle s’emploie, avec l’association des bergers franco-suisse Â»,  Ã  former la nouvelle génération. « En 1986, il y avait presque un berger dans chaque chalet Â» explique l’agricultrice. « Aujourd’hui, les chalets, logements de fonction du berger, ne sont presque plus occupés. Ce qui n’est pas sans poser problème pour l’entretien et le devenir de ce beau patrimoine d’alpage Â». Et de préciser : « de toute façon, s’il n’y a plus de vache, le paysan monte en voiture et les bois ne sont plus pâturés. Ce qui représente un danger pour l’environnement et l’aménagement du territoire Â».

« Vivre avec moins Â»

Être berger est une véritable philosophie de vie. A travers son activité professionnelle, Babeth s’engage également dans la protection de l’environnement. Elle veut donner du sens à son activité professionnel. Elle veut sensibiliser le grand public qu’elle croise sur son chemin. « Je suis contente de démontrer, que l’on pourrait vivre avec moins. Je prends un litre d’eau pour me laver tous les jours. J’ai un petit panneau solaire pour recharger mon portable. On peut vivre sans électricité. On chauffe l’eau avec du bois. On s’éclaire avec des lampes solaires. On peut vivre comme cela Â». « Pendant cinq mois de l’année, mon empreinte écologique est faible. Si tout le monde avait un peu conscience de cela, peut être que nous n’en serions pas là au niveau de la planète Â» poursuit notre hôte. Et de terminer : « Ã  l’alpage, on prend le temps de vivre, de regarder les choses, d’observer. On voit la vie différemment. On essaie de consommer mieux. On fait du jardin. Il y aussi le marché et les producteurs bio qui exercent dans le secteur. On peut consommer local facilement Â».

L'interview de la rédaction