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L’ARS Bourgogne-Franche-Comté en appelle à la vigilance face à la recrudescence de la rougeole. A ce jour, sur les trois premiers mois de 2025, 12 cas de rougeole ont été enregistrés par l’ARS Bourgogne-Franche-Comté, quand 11 cas étaient recensés sur toute l’année 2024. Ce chiffre témoigne à lui seul de l’accélération de la circulation du virus, d’autant que le début du printemps reste une période propice à sa propagation.

Fièvre, toux, fatigue, écoulement nasal, conjonctivite, suivis d’une éruption cutanée, sont les symptômes les plus courants de la rougeole. L’ARS Bourgogne-Franche-Comté rappelle que la vaccination est une mesure de prévention indispensable assurant une protection individuelle, mais également collective, en permettant de réduire la circulation du virus.

Dans un communiqué de presse, le Député du Doubs Laurent Croizier se félicite du soutien de l'Agence Régionale de Santé à sa demande de création d'une maison médicale de garde à proximité immédiate du CHU de Besançon. Selon le parlementaire, « ce projet est  une réponse concrète à l’engorgement des urgences et aux besoins de la population » . Il demande désormais à l’ARS que « ce projet aboutisse le plus rapidement possible ».

La lutte contre le moustique-tigre fait partie des priorités de santé publique en Bourgogne-Franche-Comté, signale l’Agence Régionale de Santé. Cet insecte est le vecteur des virus de la dengue, du chikungunya ou du Zika, implanté dans 7 des 8 départements de Bourgogne Franche-Comté.

Le moustique tigre est apparu dans le Doubs et le Jura en 2020. En 2023, le nombre de communes colonisées a plus que doublé dans la région, passant de moins de 60 à près de 125. Entre décembre 2023 et mi-avril 2024, près de 70 cas d’arboviroses, autrement dit de maladie virale, liées à des piqûres, ont été déclarés dans la région.  

C’est une information qui avait fuité depuis plusieurs jours. Elle est confirmée ce matin par nos confrères de l’Est Républicain. Sans que nous en connaissions la raison précisément, l’Agence Régionale de Santé a décidé de suspendre, pendant au moins quatre mois, Jean-David Pillot, arrivé l’année dernière  à la tête du centre hospitalier de Pontarlier. Selon le papier de nos confrères, l’intérim est assuré par le CHU Minjoz de Besançon.

L’Agence Régionale de la Santé de Bourgogne Franche-Comté a un nouveau directeur général. Précédemment directeur général de l’ARS Pays-de-Loire, Jean-Jacques Coiplet succède à Pierre Pribile nommé secrétaire général des ministères chargé des affaires sociales au mois de septembre. M. Coiplet prendra ses fonctions le 21 novembre prochain.

Selon des chiffres récents de l’Agence Régionale de Santé, l’épidémie continue son recul progressif dans tous les départements de Bourgogne-Franche-Comté. Néanmoins, l’ARS indique que « le niveau de circulation du virus exige encore une forte attention collective ».

Avec une incidence en population générale en baisse de 40% par rapport à la semaine précédente, le repli de l’épidémie se confirme en Bourgogne-Franche-Comté. Le taux de positivité des tests, toujours proche de 30%, montre néanmoins que le risque n’est pas levé et requiert le maintien de la prudence dans la vie quotidienne.

L’impact sur l’hôpital, qui reste élevé, invite à rester mobilisé sur la prévention et le respect des consignes d’isolement.

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