Une automobiliste de 34 ans devra s’expliquer le 2 mars prochain devant la justice. Lundi après-midi, vers 13h, à Besançon, les forces de l’ordre ont constaté qu’elle ne portait pas sa ceinture de sécurité. Le contrôle plus approfondi a permis d’établir qu’elle faisait l’objet d’une suspension de son permis de conduire. Au cours de sa garde à vue, elle a reconnu les faits.
Hier, lors d’une nouvelle assemblée départementale, les élus jurassiens, ont inscrit la somme de 700.000 euros au budget de la collectivité pour le SDIS du Jura. La structure doit faire face aux coûts exceptionnels qu’ont engendrés les feux de forêts cet été dans le département. Au cours de son discours introductif, le Président Clément Pernot a rappelé qu’une délégation de pompiers jurassiens avait été reçue le 28 octobre dernier à l’Elysée par Emmanuel Macron, qui avait organisé une cérémonie pour féliciter tous ceux qui se sont mobilisés pour combattre les flammes. Le Président Pernot juge les propositions présidentielles, formulées à cette occasion, « insuffisantes ».
Un homme de 24 ans a été placé sous contrôle judiciaire après avoir été déféré le 6 novembre. Cet individu s’en est pris à une soignante le 3 novembre dernier à l’hôpital de Pontarlier. Il s’agissait de sa compagne. Au cours de sa garde à vue, il a expliqué avoir conscience de sa jalousie maladive. Il a nié les violences. Et ce, malgré les témoignages.
Un accident de la route s’est produit ce lundi après-midi, vers 16h, à Santans (39). Un véhicule a percuté un poteau électrique. La victime a été héliportée par Dragon 25 sur un centre hospitalier. Son pronostic vital n’est pas engagé.
Le 6 novembre dernier, les policiers pontissaliens ont été alertés par leurs confrères allemands qu’une victime présumée était séquestrée et menacée par son compagnon dans un appartement de la capitale du Haut-Doubs. Ce sont les parents de la jeune femme qui ont donné l’alerte.
Les fonctionnaires se sont rendus sur place. L’homme a été interpellé. Alors que la femme se trouvait aux urgences de l’hôpital de Pontarlier. Aucune ITT n’a été prescrite par les médecins. L’agresseur présumé a été placé en garde à vue. L’homme a nié les faits, reconnaissant à peine une bousculade. Cet individu de 32 ans s’expliquera le 3 janvier prochain devant le délégué du Procureur.
Anne Vignot fait partie des 14 élus de la gauche qui ont signé une tribune dans le JDD dans laquelle ils appellent les banques à cesser de financer les énergies fossiles. La maire bisontine rappelle que cette démarche est plus que symbolique, la ville ayant été « l’une des premières à questionner ces établissements sur leur relation avec ces entreprises ». Et de continuer : « il était important de démontrer que nous n’étions pas isolés, que toutes les grandes villes sont en train de s’emparer de ce levier-là . Si on veut arriver à une décarbonation de notre territoire, il faut le faire de façon cohérente, avec des partenaires qui sont dans cette démarche ».
Et la COP 27 ?
La COP 27 a débuté ce dimanche en Egypte. Anne Vignot dit « suivre attentivement » ce nouveau rendez-vous. L’édile espère qu’il ne s’agira pas « d’un jeu de dupes ». Mme Vignot attend « des mesures extrêmement fortes ». Elle rappelle que la France « fait partie des pays européens les plus touchés ». L’Est de la France et le Sud-Ouest sont plus particulièrement concernés.
Mme Vignot, femme, maman et grand-mère, prévient qu’elle s’est engagée en politique pour « défendre la planète ». « L’avenir se construit aujourd’hui. Si on ne prend pas les mesures radicales nécessaires, nous allons transmettre quelque chose qui est insupportable, insoutenable, avec une crise sociale et économique majeure ».
L'interview de la rédaction / Anne Vignot
Selon le Journal du Dimanche, Emmanuel Macron n’écarterait pas l’idée de procéder à la dissolution de l’Assemblée nationale. Certains y voient un coup de bluff. Hier, l’hebdomadaire relatait les propos de Stéphane Séjourné, le secrétaire général de « Renaissance », le parti présidentiel. Cette décision politique peut être lourde de conséquences pour le pouvoir en place. En 1997, Jacques Chirac, alors Président de la République, avait procédé à la dissolution de l’Assemblée Nationale, conduisant à la victoire des socialistes. Ce qui avait provoqué une nouvelle cohabitation. Marie Christine Dalloz, la députée LR du Jura, s’exprime au micro de Plein Air sur cette situation politique.
La parlementaire « ne croit pas une seconde qu’Emmanuel Macron a un intérêt à la dissolution ». Elle se base sur le contexte politique du moment dans lequel Renaissance est bien seul. Rappelons que le parti de la majorité présidentielle ne dispose pas de la majorité absolue au sein de l’Hémicycle, ce qui ne lui permet pas de faire passer en toute quiétude ses projets de loi. Marie Christine Dalloz rappelle que « le 49-3, qui a été utilisé à plusieurs reprises par Elisabeth Borne, ne s’applique que pour les textes financiers, ce qui ne peut être le cas pour les autres ».
Marie Christine Dalloz, comme bon nombre de députés, y voit plutôt un moyen de pression effectué par le Président de la République pour rappeler à l’ordre ses alliés du Modem et d’Horizon qui ont dernièrement pris leur liberté sur certains amendements.
L'interview de la rédaction / Marie-Christine Dalloz
Un homme de 70 ans a été conduit au commissariat de police ce dimanche soir, vers minuit, à Besançon. Cet homme, alcoolisé, n’avait pas marqué l’arrêt à un feu rouge fixe, situé à l’angle du Boulevard Diderot et de la rue de la Mouillère. Il présentait un taux de 1,16 gramme d’alcool par litre de sang. Il a été laissé libre et pris en charge par sa fille. Il sera convoqué ultérieurement.