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Météo France a placé les quatre départements francs-comtois en vigilance jaune « vent violent », jusqu’à ce dimanche en fin de matinée. Des rafales maximales de l'ordre de 60 à 80 km/h sont attendues. Toutefois, on pourra atteindre sur le massif des rafales de vent entre 70 et 100 km/h et même très temporairement des rafales de vent entre 110 et 130 km/h en seconde partie de nuit de samedi à dimanche.

Ce samedi, le salon du lycéen et de l’étudiant se tient à Micropolis Besançon. Pour cette nouvelle édition, 75 exposants, organisme de formation et conseillers en orientation sont présents pour répondre aux questions des jeunes et de leurs parents. L’orientation est une véritable question qui concerne toute la famille. A quelques jours du 18 janvier, qui correspond aux étapes d’inscription et de formulation de ses vœux, lycéens et étudiants sont venus obtenir des informations et envisager ou confirmer une inscription dans un établissement scolaire.

Pas toujours facile de se trouver un avenir professionnel. Si pour certains, les choix sont faits, pour d’autres, les interrogations sont encore nombreuses. Résultats scolaires, coût de la formation, déplacements, salaires, durée des études, recrutement, …., autant de questions auxquelles ces publics doivent répondre. C’est d’ailleurs parfois dès le collège que l’on vient se confronter à cette douloureuse réalité. Autant se faire que peut, les jeunes essaient de ne pas subir ce moment déterminant, mais de l’appréhender au mieux pour être complétement acteur de son projet professionnel.

salon etudiants

Jusqu’au 9 mars

Encore un mois et demi pour peaufiner sa réflexion. D’autres événements, comme les journées portes ouvertes des établissements de formation, permettront d’aller encore plus loin dans la réflexion. Lycéens et étudiants ont jusqu’au 9 mars pour confirmer jusqu’à 10 vœux. S’en suivront d’autres étapes jusqu’au 13 juillet, date de la fin de la phase d’admission principale.

Le reportage de la rédaction

 

C’est une tradition qui ne se perd pas dans le Haut-Doubs. Elle remonte au siècle dernier. Jadis, avant de partir faire leur service militaire, les jeunes gens se rassemblaient et faisaient la fête. Cette belle coutume perdure. Certes, le service militaire n’existe plus, mais, chaque année, à pareille époque, les conscrits animent les rues des villages.  En fin d’année, ces garçons et filles d’une même commune vont à la rencontre de la population pour lui présenter leurs meilleurs vÅ“ux. Rencontre avec les jeunes de Boujailles.

Très attachés à leur terroir, ces presque jeunes adultes  perpétuent une tradition que leurs parents et grands parents endossaient déjà. Le plaisir d’échanger, de discuter, de faire des rencontres sont une réalité. La convivialité est le maître mot. La plupart du temps, la rencontre se déroule chez l’habitant, autour d’un verre et parfois d’un bon repas. A Boujailles, les agendas se remplissent progressivement.

Après six ans d’interruption

Cette génération est celle qui fait revivre l’esprit « des conscrits Â» au village. Après six ans d’interruption, cette bande de copains d’enfance , composée de treize jeunes, âgés de 17 et 18 ans, a choisi de relancer la tradition. Ainsi, depuis le 31 décembre dernier et, au moins, jusqu’en février prochain, coiffés d’un chapeau et porteurs d’un T-shirt blanc, sur lequel chacun peut y laisser un message, ils sillonnent les rues de la commune du Haut-Doubs. Respectueux de leurs hôtes, ils n’hésitent pas à faire entendre le son de leur clarinette pour annoncer leur arrivée. Autre ustensile, qui parfois peut se révéler utile, le caddie. Le tout en brandissant le drapeau tricolore. Une sympathique initiative, appréciée dans ce village de 450 âmes.

L'interview de la rédaction

Un résultat de sport de basket pour conclure. Le BesAC a remporté son opposition d’hier soir face à Kaysersberg. Une rencontre comptant pour la 19è journée du championnat de nationale 1 masculine. Une mise en confiance importance avant la réception de Rouen vendredi prochain au Palais des Sports. Les Bisontins occupent la septième place au classement.

Les syndicats et certains partis politiques de gauche, comme la France Insoumise, appellent à la mobilisation la semaine prochaine pour dénoncer la réforme des retraites. Plusieurs rassemblements sont annoncés ce jeudi 19 janvier. Rendez-vous à 14h sur la place de la Révolution à Besançon, à partir de 12h sur la place d’Arçon à Pontarlier, à 10h à Saint-Claude, rue de Rottenbourg, à 10h30 à Dole, Avenue de Lahr et à 15h, sur la place de la liberté, à Lons-le-Saunier.

L’Agence Régionale de la Santé indique dans un communiqué de presse que la circulation du COVID, de la grippe et des bronchiolites ralentit encore ces derniers jours en Bourgogne-Franche-Comté. Concernant le Covid19, La diminution se poursuit dans la région, avec un taux d’incidence en population générale désormais inférieur à 100 cas pour 100 000 habitants et un taux de positivité des tests autour de 10%. Concernant les deux autres virus, la région reste en phase épidémique.

Une journée d’action pour la défense de l’hôpital public est programmé ce samedi à Lons-le-Saunier. Les fermetures de services et les moyens alloués aux centres hospitaliers jurassiens inquiètent la population, mais également les élus. De nombreuses personnes sont attendues dans la rue. Parmi les manifestants, des soignants, des citoyens, mais également des politiques. La députée LR du Jura Marie Christine Dalloz et Clément Pernot, le Président du Conseil Départemental du Jura,  ont annoncé qu’ils feraient le déplacement.

D’ici 18 mois, l’immeuble, situé 12-14 rue du lycée à Besançon, sera entièrement rénové. 20 logements verront le jour dans cet espace que le bailleur social Loge GBM a acquis en juin 2020. Ce bâtiment de caractère de 800 m2 était la propriété de la Congrégation des Sœurs de Jésus Sauveur. Il abritait un foyer de jeunes filles, qui s’est arrêté il y a quelques années seulement. Le coût de la transaction s’élève à 1,2 million d’euros.

Le chantier débutera véritablement en février prochain. Il s’attaquera aux quatre bâtiments existants pour donner naissance à 20 logements, avec des typologies variées, allant de T1 bis à T4. Un local de 40 m2 y sera également présent. Pour l’heure, sa vocation n’a pas encore été définie. Le coût des travaux  s’élève à 3,8 millions d’euros. Plusieurs financeurs sont engagés dans ce projet.

loge gbm rue du lycee 2 besançon

 

Rénover l’existant

A l’image du chantier mené rue de la Madeleine, la Ville de Besançon voit plusieurs intérêts à ce type d’opération. Elle apprécie cette démarche qui consiste à régénérer l’habitat d’une ville. C’est-à-dire à repenser les espaces vacants pour leur donner une seconde vie. « C’est ainsi que l’on réfléchit la ville du futur Â» a expliqué Anne Vignot, la Maire de Besançon. Ce nouveau lieu de vie bisontin permettra également, grâce à l’application de prix modérés, d’instaurer une véritable mixité sociale. Pour Anne Vignot et Carine Michèle, la Présidente de Loge GBM, l’objectif est également de prévoir un habitat répondant aux enjeux énergétiques du moment. Un immeuble labellisé BBC, Bâtiment Basse Consommation, assurant notamment une isolation optimisée.

loge gbm vignot

L'interview de la rédaction / M. Boichard, directeur développement et patrimoine à Loge GBM