Besançon vient d’être de nouveau labellisée “Ville Active & Sportive” avec 4 lauriers, la plus haute distinction décernée par le Conseil National des Villes Actives et Sportives, sous l’égide du ministère des Sports. Une reconnaissance nationale qui salue l’engagement de la ville pour une pratique sportive accessible, inclusive et tournée vers le bien-être. Grâce à ses équipements, ses associations dynamiques et son projet “Grandes Heures Nature”, Besançon confirme son statut de terre de sport et de passion.
Toujours pas de victoire pour le BesAC. Les basketteurs bisontins n’y arrivent pas. Hier soir, ils ont été vaincu par Beck, sur le score de 68 à 91, au Palais des Sports Ghani Yalouz. Une nouvelle déconvenue qui, forcément, inquiète. Ce vendredi, dans le cadre de la 11è journée de championnat en nationale 1 masculine, le collectif reçoit Pays Salonais, la lanterne rouge, avec l’obligation de prendre les points de la victoire.
C’est une affaire qui glace le sang. Samedi dernier, à Fédry en Haute-Saône, un pêcheur a découvert sur les berges de la Saône le corps d’un homme coupé en deux. Depuis, l’enquête progresse. Ce mardi, le parquet de Vesoul confirme qu’une personne a été interpellée. Il pourrait s’agir d’une Française de 39 ans, mise en examen en Suisse pour le meurtre présumé du propriétaire de son appartement dans le canton de Vaud, selon des information de la radio RTL.
Les premières constatations médicales révèlent des plaies multiples et une brûlure dans le dos de la victime. Les enquêteurs tentent désormais de faire le lien avec la disparition d’un homme de 75 ans, signalée le 1er novembre à Sainte-Croix, côté suisse.
Ce mardi 4 novembre, au palais de justice de Besançon, le procès de Frédérick Péchier, ex-anesthésiste bisontin accusé de 30 empoisonnements dont 12 mortels, a connu un nouveau rebondissement. Alors que la neuvième semaine d’audience se poursuit devant les assises du Doubs, l’accusé a reconnu l’existence d’un dixième cas d’empoisonnement parmi les vingt déjà examinés. Interrogé longuement sur deux décès survenus en 2014 à la clinique Saint-Vincent, Péchier a admis la réalité de l’acte sans en revendiquer la responsabilité, maintenant sa ligne de défense. Ce procès hors norme, entamé en septembre, devrait se poursuivre jusqu’au décembre prochain.
Un important dispositif de gendarmerie déployé
Ce mardi 4 novembre, en fin de matinée, un important dispositif de gendarmerie a été déployé à La Chenalotte, commune du Haut-Doubs de 500 habitants, située près de Morteau.
Un habitant du village, retranché dans sa maison, a tiré en direction d’agents municipaux avec une arme présumée être une carabine à plomb. Face à la situation, les gendarmes ont rapidement établi un large périmètre de sécurité et mobilisé un négociateur pour tenter d’entrer en contact avec l’individu.
Le témoignage de la rédaction : Frédérick
Une école confinée par précaution
À proximité immédiate du domicile du suspect se trouve l’école communale. Par mesure de précaution, les enfants et le personnel ont été confinés dans la salle des fêtes du village, située à quelques dizaines de mètres de là. Aucun blessé n’est à déplorer.
Témoignage d’un habitant
Frédérick, un habitant de La Chenalotte, se souvient d’une journée inhabituelle : « Les gendarmes ont bouclé entièrement le village. On pouvait sortir, mais pas franchir le périmètre de sécurité. On ne comprenait pas trop ce qui se passait. C’était assez surréaliste. » Selon lui, l’homme interpellé était connu dans la commune : « On savait qu’il avait parfois des difficultés avec certains voisins. Ce n’est pas quelqu’un qu’on voyait souvent, mais on ne s’attendait pas à un tel dérapage. »

Un différend de voisinage à l’origine ?
D’après les premiers éléments recueillis, l’incident aurait débuté après une altercation liée à la taille d’une haie voisine. L’homme aurait alors perdu son sang-froid et ouvert le feu à l’aide de son arme. Après plusieurs heures d’intervention, les gendarmes ont réussi à interpeller le suspect, vers 16h30, sans usage de la force. « Vers 16h30, tout est rentré dans l’ordre », précise Frédérick. « C’est un événement qu’on n’oubliera pas. Dans un petit village comme le nôtre, on ne s’attend pas à vivre ça. »
L’individu en garde à vue
L’homme, défavorablement connu, a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Morteau. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes des faits et la nature de l’arme utilisée.
Depuis la fin de matinée ce mardi 4 novembre, un important dispositif de gendarmerie est déployé à La Chenalotte, petite commune du Haut-Doubs, près de Morteau. Un homme, retranché chez lui depuis 11h avec une arme présumée être une carabine à plomb, aurait tiré en direction d’agents municipaux. Les forces de l’ordre ont bouclé une partie du village et mobilisé un négociateur. Les enfants de l’école, située à proximité, ont été confinés dans la salle des fêtes, proche de l’habitation. La sécurité des habitants reste la priorité des autorités, qui poursuivent leur intervention avec prudence.
Le 3 novembre dernier, au SYDOM du Jura, à Lons-le-Saunier, les Douanes et l’INPI, l’Institut National de la Propriété Industrielle, ont supervisé la destruction de 70 000 produits contrefaits. Parmi eux : parfums, vêtements de sport, jouets et cartes à collectionner, majoritairement importés d’Asie.
Cette opération, menée par la direction régionale des Douanes de Besançon, s’inscrit dans une mobilisation sans faille pour « protéger les consommateurs contre des produits dangereux ou trompeurs, défendre les artisans, les entreprises innovantes et le savoir-faire français et assurer une économie loyale et respectueuse du travail de chacun ».
Une centaine de personnes se sont rassemblées ce mardi matin devant la préfecture du Jura à Lons-le-Saunier, à l’appel de la Confédération paysanne. Les manifestants dénoncent la gestion sanitaire dans les élevages bovins et les pratiques d’euthanasie jugées excessives dans certains troupeaux dans le cadre de la crise sanitaire actuelle, concernant la dermatose nodulaire contagieuse bovine. Sous le slogan « Stop au carnage ! », les participants ont exprimé leur colère face à ce qu’ils estiment être une dérive administrative et sanitaire.
Une délégation a été reçue par le préfet du Jura et la DDETSPP (Direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations). Les représentants syndicaux ont demandé des mesures concrètes pour protéger les éleveurs et mettre fin aux abattages systématiques en cas de suspicion de maladie.