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Placée en redressement judiciaire en septembre dernier, l’enseigne de prêt-à-porter Naf Naf   voit sa période d’observation prolongée de six mois. Elle sera fixée sur son avenir le 6 septembre prochain. Son placement judiciaire avait été décidée car la marque présentait des dettes trop importantes, notamment liées à des loyers impayés durant l’épidémie de Covid-19

Un homme a été condamné à six mois de prison avec sursis. Il a été placé sous contrôle judiciaire. Le 5 mars dernier, vers 18h, à hauteur de Micropolis, pour impressionner les passagers d’un autre véhicule, il a brandi un pistolet « gomme cogne Â». Alertée, la police s’est rendue sur place. Il a été interpellé.

Une priorité non respectée serait à l’origine de ce différend. Au cours de son audition, il est apparu que cet individu était en défaut de permis de conduire, suite à une annulation administrative, en date du 10 juin 2021.

Concernant la lettre anonyme, évoquée hier par Frédéric Péchier, l’anesthésiste bisontin, soupçonné de 31 empoisonnements volontaires, dont 12 mortels, Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, n’y voit aucune information nouvelle dans ce dossier. D’autant plus que cette missive est connue depuis 2020.  Â« Elle reprend mots pour mots l’argumentation de M. Péchier Â» explique-t-il. L’écrit fait référence à un complot, entendu,  contre le médecin.

Et de poursuivre : « Je peux facilement écrire des lettres anonymes. C’est le propre de la lettre anonymes. On ne sait pas qui est son rédacteur Â». M Manteaux n’en dira pas plus. « Je m’exprimerai sur ce dossier au moment où le parquet communiquera son réquisitoire définitif. Donc, la synthèse de la globalité des investigations qui ont été faites et des propositions de suites judiciaires à apporter à ce dossier Â».

Réaction d'Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

Le médecin généraliste de 66 ans, soupçonné d’agressions sexuelles, qui officiait, une fois par semaine,  Ã  Morteau, qui était installé à Etalans, avant de prendre sa retraite, a été mis en examen ce mardi, à l’issue de sa garde à vue.Il a été placé sous contrôle judiciaire. Au total, la justice a retenu 20 faits pouvant être poursuivis pénalement, ainsi qu’un viol. Si ces faits sont confirmés,  il encourt 7 et 20 ans d’emprisonnement. D’autant plus qu’il agissait, par autorité, de par sa profession. Les agressions présumées les plus récentes ont été commises le 27 février  dernier, la plus ancienne date du 25 avril 2023.  Six enquêteurs ont été mobilisés. 280 patients ont été contactés téléphoniquement. Deux plaignantes sont âgées d’une cinquantaine d’années. Les autres personnes sont âgées de moins de 30 ans. Ces sont parfois des jeunes femmes âgées de 19 et 20 ans.  

Caresses, séduction et viol

La gendarmerie de Morteau a reçu plusieurs plaintes. Le 27 février, deux plaignantes se sont présentées à la brigade de gendarmerie de Morteau pour dénoncer de nouveaux faits. Dans la foulée, le médecin a été placé en garde à vue. Une perquisition a été menée à l’endroit où il exerçait, une fois par semaine, à Morteau. On lui reproche des caresses et des remarques déplacés, qui s’apparentent à de la séduction, ainsi qu’un fait de viol.

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux, Procureur de la République de Besançon

Appel à victimes

Pour l’heure, le sexagénaire nie les faits qui lui sont reprochés. Il réfute toute intentionnalité malveillante. Il parle de gestes mal interprétés,  Ã  finalité thérapeutique. Les investigations se poursuivent. Un appel à victimes est lancé par le parquet bisontin, qui demande à ces personnes de se rapprocher au plus vite des brigades de gendarmerie de Morteau ou de Pontarlier.

L'interview de la rédaction / Colonel Lionel James, commandant le groupement de gendarmerie du Doubs

Ce matin, invité sur RTL, Frédéric Péchier, l’ancien anesthésiste bisontin, soupçonné de 30 empoisonnements, dont 12 mortels, a évoqué, pour la première fois, une lettre anonyme, qui a été versée au dossier. Dans cette missive, l’auteure explique avoir été témoin d’une scène, dans un local de l’hôpital où travaillait le médecin, de propos émanant d’un couple qui affirmait que « tout avait bien fonctionné, et que Péchier aura du mal à se défendre, et qu’ils seraient bientôt débarrassés de ce salopard Â». Cette lettre a été envoyée fin janvier 2020, et un procès-verbal a été dressé par la police judiciaire de Besançon quelques jours plus tard. Est-ce suffisant pour relancer l’enquête ? Affaire à suivre.

GIFI demande un rééchelonnement de sa dette à ses créanciers. Selon l’enseigne, cette option lui permettrait de décaler ses remboursements. Néanmoins, elle a précisé que l’emploi n’était pas menacé, tout en indiquant qu’elle continuait de payer ses fournisseurs. Précisions également que le distributeur a dernièrement sollicité le Comité interministériel de restructuration industrielle, un service du ministère de l’économie, qui accompagne les entreprises en difficulté.

L’info de l’Est Républicain a été confirmée par les autorités. Un médecin, qui exerçait ponctuellement au cabinet médical éphémère de Morteau,  a été placé en garde à vue. Cet homme, âgé d’une soixantaine d’années, est soupçonné d’avoir commis des agressions sexuelles sur certaines de ses patientes. Selon le quotidien régional, « des jeunes femmes Â» ont porté plainte pour des gestes inappropriés. Les investigations sont en cours.

Un homme a été placé en détention provisoire, en attendant son audition en comparution immédiate, qui se tiendra ce lundi. Cet individu, domicilié à Pontarlier, est soupçonné d’avoir violenté sa compagne, sur fond d’alcool. Les investigations, menées par les policiers pontissaliens, ont permis d’enregistrer des antécédents pour des faits similaires. L’homme ne reconnaît pas les faits qui lui sont reprochés. Quant à sa victime, elle s’est vu prescrire 21 jours d’ITT.

La perspicacité des policiers pontissaliens a payé. Le 7 février, des hommes ont été aperçus, fuyant l’enseigne Décathlon, avec des sacs, contenant des articles pour un préjudice de 320 euros. La plaque d’immatriculation de la voiture a pu être notée. Le forces de l’ordre sont remontées à un premier individu, qui avait prêté son véhicule à une deuxième personne, qui, elle-même, l’avait laissé à un autre interlocuteur. Le dernier utilisateur a pu être identifié. Il a été entendu avec ses comparses. Ces derniers ont reconnu les faits. La justice a décidé d’un classement de l’affaire, après indemnisation de la victime, en l’occurrence l’enseigne.

Hier, le tribunal de commerce de Paris a validé le plan de sauvegarde de Casino. La destinée du groupe a été confiée  Ã  un consortium, formé par l’homme d’affaires tchèque milliardaire Daniel Kretinsky et le Français Marc Ladreit de Lacharrière. Au total, ce sont 288 magasins qui seront revendus à Auchan et Intermarché.