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Un homme de 48 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Le 11 mars, lors d’un contrôle, à Pontarlier, il était apparu qu’il était au volant, malgré un permis de conduire qui n’était pas valide et un défaut d’assurance. Le résultat des tests toxicologiques s’est avéré positif au THC. Convoqué au commissariat ce jour, après la confirmation des résultats, le quadragénaire a été placé en garde à vue, après avoir été fixé sur son sort par la justice.

Dans l’affaire, opposant la Ville de Besançon et le Jardin des Vaîtes, le tribunal administratif de Besançon a rejeté le recours introduit par le collectif. L’association demandait l’annulation de la décision par laquelle la présidente de Grand Besançon Métropole a refusé d’inscrire à l’ordre du jour du conseil communautaire l’abrogation partielle du plan local d’urbanisme de la commune de Besançon.

Un homme de 36 ans a été placé sous contrôle judiciaire à Besançon. Le 9 avril dernier, lors d’un contrôle, une patrouille de la police nationale a constaté qu’il conduisait malgré une annulation de son permis de conduire. Le véhicule n’était pas assuré. De plus, le dépistage stupéfiant était positif à la cocaïne. Il a été interpellé et placé en garde à vue. Il a reconnu tous les faits qui lui sont reprochés. Excepté sa conduite sous l’emprise de produits stupéfiants, expliquant qu’il se trouvait sous traitement de codéine, pour des douleurs dentaires.

Marie Guite Dufay, la présidente de la région Bourgogne Franche-Comté, a réagi après le placement en détention provisoire de la maire d’Avallon Jamilah Habsaoui, également conseillère régionale. L’élue socialiste a suspendu la délégation qu’elle lui avait confiée.

Si elle soutient « la lutte contre les trafics de drogue Â», Mme Dufay en appelle également « au respect à la présomption d’innocence Â» et pointe  « la campagne haineuse Â», dont l’élue fait l’objet sur les réseaux sociaux, « souvent basée sur ses origines Â».

Jonathann Daval a dû faire face une nouvelle fois à sa belle-famille. Ce mercredi, il comparaissait devant le tribunal de Besançon pour répondre des faits de « dénonciation calomnieuse Â». Le Procureur général Etienne Manteaux a demandé la relaxe. Le prévenu a, une nouvelle fois de plus, présenté ses excuses à la famille, qui demande également 60.000 euros de dommages et intérêts. La décision a été mise en délibéré au 24 mai prochain.

C’est un jugement historique. La Cour européenne des droits de l’homme a condamné un  Etat, en l’occurrence la Suisse, pour inaction climatique. Cette décision pourrait néanmoins faire jurisprudence dans toute l’Europe. Il est reproché aux autorités helvètes de ne pas suffisamment se mobiliser pour combattre le réchauffement climatique. Il leur faudra désormais trouver de nouvelles mesures pour faire évoluer la situation.

Une militante d’extrême droite, qui avait brandi des banderoles anti-immigration lors du Carnaval de Besançon, dimanche après-midi, a été entendue, ce mardi, par les policiers bisontins. Rappelons que la maire de Besançon, Anne Vignot, a porté plainte pour « incitation à la haine raciale Â». La jeune femme, qui a été placée en garde à vue, est ressortie libre en fin de journée.Une enquête est toujours en cours.

Deux individus ont été interpellés le 8 avril dernier, à 19h, à Besançon, à l’angle des rues Fontaine Argent et du Repos. Une patrouille de police a remarqué que les deux protagonistes étaient impliqués dans un trafic de stupéfiants. Lors du contrôle, un des deux hommes a reconnu spontanément venir acheter un demi gramme de cocaïne au second.

Le vendeur a également admis les faits. Il a expliqué qu’il était venu de Dijon pour rendre service  Ã  un ami, mais il a refusé de donner son nom. Le dossier a été classé sans suite pour l’acheteur. Quant au revendeur, il s’expliquera le 12 septembre devant le tribunal correctionnel de Besançon.

Un homme de 32 ans a été placé en garde à vue dimanche soir à Besançon. Elle est toujours d’actualité ce lundi matin. Le 7 avril, vers 21h, rue de l’Orme Chamars, les policiers ont remarqué que cet automobiliste venait de commettre un refus d’obtempérer. Lors du contrôle, il est apparu qu’il n’était pas titulaire du permis de conduire. Il n’a également pas pu présenter un document justifiant son identité. Par ailleurs, le véhicule n’était pas assuré, le contrôle technique était périmé et le véhicule immobilisé depuis octobre 2021.

Jonathann Daval, qui purge actuellement 25 ans de réclusion pour le meurtre de sa compagne Alexia, comparaîtra, ce mercredi, devant le tribunal de Besançon pour dénonciation calomnieuse Â». En juin 2018, avant de reconnaître le meurtre de sa victime, Daval avait accusé son beau-frère Grégory Gay d’avoir étranglé Alexia au domicile de ses parents. Sa condamnation a été prononcée le 21 novembre 2020. Il risque cinq ans de prison supplémentaire. Précisons qu’il est actuellement incarcéré en Alsace dans la centrale d’Ensisheim.