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Un homme de 26 ans a été interpellé dimanche, au petit matin, vers 4h, rue de Pontarlier à Besançon.  Ce dernier a dégradé la porte d’entrée d’un appartement. Il n’a pas supporté que sa compagne l’ait trompé durant ses dernières vacances. Il souhaitait obtenir des explications. Lorsqu’il a été interpellé, il présentait un taux de 0,56 gramme d’alcool dans le sang. La requérante et sa mère ont porté plainte. L’individu a été placé en garde à vue. Il sera reconvoqué lorsque les devis de réparation des portes seront connus.

Un homme de 34 ans a été placé en garde à vue au commissariat de la gare d’eau. Mercredi matin, vers 5h, avenue de Montrapon, les policiers ont remarqué sa conduite très approximative. Interpellé, il a refusé de se soumettre au dépistage d’alcoolémie. Et ce, malgré les signes manifestes de l’ivresse.  

Le cours hôtelier féminin a été placé en liquidation  judiciaire. La structure se trouve en difficulté financière depuis la crise sanitaire du Covid-19. Ses effectifs ont considérablement diminué. Les deux projets de reprise proposés par l’INFA et la CCI du Doubs n’ont pas convaincu. Pour l’établissement, compte tenu du contexte « cette regrettable décision était inévitable Â». Une dizaine d'élèves étaient inscrits pour cette rentrée. L'établissement emploie une dizaine de personnes.

Dans la nuit de samedi à dimanche, un homme de 48 ans, dont la conduite était très approximative, a été interpellé dans la zone des Grands Planchants à Pontarlier. Le contrôle a permis de constater qu’il conduisait avec un taux de 1,16 gramme d’alcool dans le sang. Sa carte grise n’était plus à jour. Son permis de conduire a été retenu. Précisons que le chauffard est originaire de l’Ille et Vilaine.

Un trafic de codes de la route a été démantelé par les gendarmes de Haute-Saône. 1.400 codes de la route ont été illégalement validés.  La fraude était bien orchestrée. Un centre d’examen, situé dans le Val-de-Marne, validait l’épreuve, moyennant une somme allant de 250 à 600 euros. Le gérant a été interpellé et placé en garde à vue mercredi.  Il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Trois Vésuliens, qui animaient le réseau, ont également été appréhendés. Quant au site, il a bien entendu été fermé par les autorités.


Nicolas Zepeda, le tueur présumé de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, a fait l’objet d’une nouvelle expertise psychiatrique. Celle-ci a été réalisée lundi à la maison d’arrêt d’Orléans-Saran. Les conclusions seront versées au dossier. Rappelons que le prochain procès du chilien se tiendra du 4 au 20 décembre à Vesoul. En février dernier, Zepeda, à la surprise générale, avait récusé son avocat, provoquant le renvoi du procès en cours.

L’iPhone 12, sorti en 2020, doit être retiré de la vente en France. La décision provient de l’agence nationale des fréquences (ANFR). Pour l’autorité, l’appareil présente un dépassement des valeurs limites sur les ondes électromagnétiques émises et absorbées par le corps humain. Le communiqué précise qu’Apple doit « mettre en Å“uvre tous les moyens disponibles pour remédier rapidement à ce dysfonctionnement. A défaut, il (lui) appartiendra de rappeler les exemplaires déjà vendus Â».  Le géant américain prévoit de contester les conclusions de l’agence.

C’est le message qu’a souhaité faire passer hier Yves Cellier, le directeur  départemental de la sécurité publique du Doubs. Invité par le Procurer de la république de Besançon à faire le point sur l’interpellation d’un adolescent de 17 ans, qui a cru bon se faire justice lui-même  dans le cadre d’une enquête sur la fugue de sa petite sÅ“ur de 12 ans à Besançon, le policier a expliqué que les forces ont du gérer l’interventionnisme déplacé de badauds ce jour-là, rue de Dole.

Plusieurs personnes, sans connaître l’auteur, ni les raisons de son interpellation, se sont manifestées, en s’opposant physiquement à la patrouille dépêchée sur place.  Â« C’est un phénomène plutôt nouveau à Besançon, même s’il ne l’est pas partout sur le territoire national Â» explique M. Cellier. Et de compléter : «  Le citoyen n’a pas a jugé la manière dont on intervient. Il n’a pas à intervenir dans les opérations qui sont menées sur voie publique. S’il y a des erreurs, ce qui peut être le cas, c’est à l’autorité judiciaire et à l’autorité administrative  d’en juger Â».

M. Cellier demande de la citoyenneté. « Ces opérations sont justifiées. Lorsque la force doit être utilisée, elle est le plus souvent justifiée également Â» conclut le directeur départemental de la sécurité publique du Doubs. Le policier ne cache pas son inquiétude sur ce point. « Les policiers ont besoin du soutien de leurs concitoyens Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction : Yves Cellier, directeur départemental de la sécurité publique

 

Un homme de 35 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Mardi soir, il s’est introduit illégalement dans un appartement, situé rue de Pontarlier,  Ã  Besançon. Sous l’effet de l’alcool, l’individu a reconnu être entré de force dans cet endroit pour y récupérer des affaires personnelles. Lors de son audition, après complet dégrisement, le trentenaire expliqua qu’il s’agissait d’un squat pour SDF. Selon ses dires, les dégradations constatées étaient antérieures à sa venue. Les recherches pour identifier un éventuel locataire ou propriétaire sont vaines ce mercredi matin.

Un drame s’est produit le 2 septembre dernier dans le secteur de Valdahon dans le milieu homosexuel. Une affaire de chemsex est actuellement instruite par la justice. Une enquête  pour homicide involontaire a été ouverte. Elle fait suite au décès d’un homme qui a perdu la vie après avoir ingéré des produits stupéfiants pour améliorer sa performance sexuelle. C’est son partenaire qui a donné l’alerte. Aucune trace de coups n’a été retrouvé sur le corps de la victime, âgée de 44 ans. Des points d’injection ont été constatés lors de l’autopsie. Durant cette nuit, le quadragénaire se serait administré deux injections.

C’est apparemment la victime qui s’est présentée au domicile de son compagnon avec de la drogue, en l’occurrence de la 3-MMC, un excitant, qui modifie également la perception de la réalité. Prise en très grande quantité, elle peut tuer son consommateur. Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon tire la sonnette d’alarme. Il constate une augmentation de ces pratiques sexuelles sous l’effet de drogue. Le partenaire de la victime a été entendu. Pour l’heure, il ne fait l’objet d’aucune poursuite. Il a été laissé libre. L’enquête se poursuit avec deux objectifs ciblés : déterminer tous les produits chimiques qui ont été absorbés par le défunt et savoir d’où proviennent les produits consommés.

L'interview de la rédaction : Etienne Manteaux, procureur de la république de Besançon