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Un homme de 32 ans devra s’expliquer en mars prochain devant la justice. Jeudi, lors d’une dispute avec sa compagne, âgée d’une trentaine d’années, il l’a retenue avec force. La victime a déposé plainte. Aucune ITT n’a été prononcée. Le mis en cause a été interpellé et placé en garde à vue.

Un homme comparaîtra en mars prochain devant la justice. En mai dernier, il a donné des appels téléphoniques malveillants et menaçants à l’encontre d’un proche. Lors de son audition, au commissariat de police de Pontarlier, il a reconnu les faits, expliquant que lorsqu’il boit, il dévie. Il a été placé en garde à vue, avant d’être laissé libre.

Deux vendeurs de drogue ont été interpellés à Besançon. Les policiers ont constaté qu’ils effectuaient des transactions sur le secteur « Parc Urbain Â». Ils ont été placés en garde à vue. Au niveau d’un banc, un sachet plastique contenant 10 grammes de cocaïne et 47 grammes d’héroïne ont été découverts par les policiers. Le premier vendeur était également en possession de 110 euros. Au cours de leur audition, les deux individus, âgés de 15 et 16 ans,  ont refusé de s’expliquer sur les faits. L’un d’eux a été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement. Le deuxième a été placé sous contrôle judiciaire.

A Besançon. Un jeune homme de 20 ans devra s’expliquer le 5 décembre prochain devant le délégué du Procureur, en vue d’une ordonnance pénale. Le 2 octobre dernier, lors d’un contrôle, mené faubourg Tarragnoz, il est apparu qu’il était au volant, alors qu’il se trouvait en récidive de défaut de permis de conduire. Il a été interpellé et placé en garde à vue.

Les policiers pontissaliens ont interpellé un motard, âgé de 27 ans, qui pratiquait le rodéo. Ce dernier excédait la population. Certaines personnes l’ont d’ailleurs fait savoir mercredi soir lors d’une réunion de quartier. Les policiers sont parvenus à relever sa plaque d’immatriculation et à l’interpeller le lendemain. Il a été placé en garde à vue. Il s’expliquera le 21 décembre devant le tribunal judiciaire de Besançon. Son engin a été saisi et placé en fourrière. Selon le commissariat de police, d’autres procédures identiques sont en cours.

Hier matin, un homme de 38 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Alcoolisé, il s’est tristement illustré sur le quai de la gare Viotte. Démuni de titre de transport, il a craché sur des agents de la SNCF. Lors de son menottage par les policiers, il a porté un coup de pied à la cheville d’un agent. Une policière a, elle aussi, reçu deux coups de pied au niveau de la jambe gauche. Des faits d’outrages ont également été recensés par les forces de l’ordre.

L’individu, qui avait dégradé sept véhicules à Pontarlier, le 11 septembre dernier, est dans l’attente d’une réponse pénale. Dans un premier temps, son état de santé n’était pas compatible avec le régime de la garde à vue. Il avait été hospitalisé. Depuis, la situation s’est inversée. Entendu, il a reconnu les faits. Cet homme avait cassé des rétroviseurs et des essuis glaces, détérioré des plaques d’immatriculation et rayé des carrosseries.

Trois jeunes hommes, qui étaient entrés frauduleusement dans les locaux de l’usine Knauf à Pontarlier le 13 septembre dernier, sont dans l’attente d’une réponse pénale. Ils sont soupçonnés d’avoir dégradé trois caméras de vidéosurveillance. Ils ont été mis en fuite par le gardien. Sa description précise des casseurs a permis aux policiers de les interpeller. Le coup du préjudice s’élève à environ 700 euros. Au cours de leur audition, les trois individus ont reconnu les faits.

Concernant l’affaire de la pancarte « un flic, une balle Â» apparue samedi dernier lors de la manifestation bisontine contre les violences policières et le racisme systémique, il apparaît que la  jeune femme de 20 ans, qui était en possession de cette pancarte,  a donné une fausse adresse la concernant au moment de son interpellation.  Ce qui n’a pas empêché les forces de l’ordre de l’interpeller le 26 septembre dernier à son domicile.

Lors de son audition, elle a expliqué que ce slogan signifiait pour elle que « les policiers armés étaient susceptibles de présenter un danger pour la société Â». Sa garde à vue s’est terminée, le 26, en fin d’après-midi. Sur instruction du magistrat, une composition pénale avec exécution d’un travail non rémunéré pour des faits de dissimulation volontaire du visage sans motif légitime afin de ne pas être identifié lors de manifestation sur la voie publique, faisant craindre des atteintes à l’ordre public, a été prononcée.

Hier, le Conseil d’Etat, saisi par trois associations, la Voix lycéenne, le Poing levé et Le syndicat Sud Education, a, une nouvelle fois encore, validé l’interdiction de l’abaya, mise en place par le ministre de l’Education nationale pour cette rentrée scolaire. Selon la plus haute juridiction, « il n’existe pas de doute sérieux sur la légalité de l’interdiction Â». Le 7 septembre dernier, l’association « Action droits des musulmans Â» avait déjà été retoquée. Le Conseil d’Etat avait alors estimé que le port de cette robe traditionnelle répondait « d’une logique d’affirmation religieuse Â».