Choix du secteur :
Se connecter :
 

C’est une information qui ne passe pas inaperçue. Nordhal Lelandais est devenu père en prison. Le meurtrier de la petite Maëlys aurait multiplié les conquêtes depuis sa détention. Alors qu’il a été condamné à une peine de réclusion à perpétuité, Lelandais a eu cet enfant avec une femme connue quand il était détenu en Isère. Un contexte qui a provoqué l’écœurement des familles de ses victimes.

Nordhal Lelandais a été condamné, hier, à un an de prison ferme pour l’agression sexuelle, en 2017, d’une petite cousine, âgée de 14 ans au moment de faits, par le tribunal de Charleville-Mézières. Une agression qui remonte à quelques mois seulement avant le meurtre de Maëlys, pour lequel il a été condamné à la perpétuité.

Un homme de 37 ans a été placé sous contrôle judiciaire, avec sursis probatoire pendant deux ans. Le 11 janvier dernier, vers 15h45, à Besançon, rue Duvernoy, il a été interpellé lors d’une transaction de drogue. Sur lui, les policiers ont découvert une liasse de billets, pour un montant de 2145 euros.

Dans un camion qui lui appartenait, les fonctionnaires ont également découvert 42 grammes de cannabis, 38 grammes d’héroïne et 28 grammes de cocaïne. A son domicile, ce sont 52 grammes de résine de cannabis, 43 grammes de cocaïne, 18 grammes d’héroïne et 1315 euros en numéros qui ont été retrouvés. Lors de son audition, il expliqua que ces produits ne lui appartenaient pas. Tout en précisant qu’il s’agissait de stupéfiants qu’il devait vendre pour financer sa propre consommation et des recettes émanant de ses transactions.

Un homme, âgé de 25 ans, a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Le 11 janvier, vers 15h30, à Besançon, rue du Muguet, il est apparu qu’il était au volant, alors qu’il était dépourvu de son permis de conduire. Les vérifications d’usage ont permis d’établir qu’il était sous contrôle judiciaire, avec interdiction de paraître à Besançon. Par ailleurs, la voiture, qui ne lui appartenait pas, n’était pas assurée. Elle a été mise en fourrière.

Deux individus ont été interpellés le 10 janvier sur le parking d’une enseigne de sport dans la zone commerciale de Chateaufarine à Besançon. Ils se trouvaient à l’intérieur d’un véhicule. 30 grammes de cocaïne et 320 euros ont été découverts par les policiers. L’exploitation du téléphone portable du passager mettait en évidence des messages en lien avec la vente de produits stupéfiants ainsi qu’une comptabilité des transactions.

Lors de son audition, cet individu indiqua aux policiers qu’il dormait dans une chambre d’hôtel proche. La perquisition du lieu a porté ses fruits puisque 2190 euros, en numéraire, ont été découverts. Au cours des échanges, il admit également percevoir une rémunération comprise entre 150 et 200 euros par jour. Néanmoins, il ne donna aucune information sur un éventuel donneur d’ordre.  Le conducteur, quant à lui, a été mis hors de cause dans le trafic de stupéfiants. Il a néanmoins reconnu être consommateur régulier d’héroïne et de cocaïne.

Le premier homme, âgé de 53 ans, a été condamné à 12 mois d’emprisonnement, dont six mois ferme. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Le deuxième individu, âgé de 28 ans,  devra s’expliquer, en mai prochain,  devant le tribunal judiciaire de Besançon.

Jonathann Daval a de nouveau rendez-vous avec la justice. La justice bisontine doit se prononcer, ce vendredi, sur les faits de dénonciation calomnieuse. En tout cas, elle doit fixer la date du prochain procès en ce sens. Daval ne sera pas présent ce jour. Néanmoins, il devrait honorer sa convocation lors du déroulement du procès à venir. Rappelons qu’il a été condamné à 25 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa compagne Alexia Daval en 2017.

Le corps sans vie d’un individu a été découvert mercredi par les policiers à son domicile de Pontarlier. Il se trouvait dans son lit. L’alerte a été donnée par sa compagne. Les trois hommes, avec lesquels il avait eu maille à partir avant son décès, ont été interpellés.

Entendus, leur audition n’a rien donné de probant. Les enquêteurs se dirigeraient vers une mort sans l’intervention d’un tiers. Au cours des investigations policières, il est apparu que les trois gardés à vue étaient en possession de vélos volés. Ils devront respectivement s’expliquer, pour recel,  devant le tribunal judiciaire de Besançon et le tribunal judiciaire de  proximité de Pontarlier.

Un jeune homme de 21 ans a été condamné à neuf mois de prison. Il a été incarcéré à la maison d’arrêt de Besançon. Mardi, rue de Dole, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il était en défaut de permis. Il a spontanément expliqué aux policiers qu’il allait faire des livraisons de stupéfiants, qu’il avait dans son véhicule. 170 euros ont été trouvés sur lui, avec 2 grammes de cannabis, 2 grammes de cocaïne et 2 grammes d’héroïne. Il a gardé le silence durant son audition. L’argent et le téléphone ont été saisis.

Abdelhamid Hakkar, une figure connue du monde carcéral, qui avait retrouvé la liberté en 2012, après 27 ans de détention, notamment pour le meurtre d’un fonctionnaire de police en 1984, a été mis en examen pour blessures involontaires. Lundi, à Besançon, il a renversé une femme de 48 ans. Le pronostic vital de la victime est engagé. Les investigations ont permis d’établir que son permis de conduire avait été annulé, en 2017, faute de points.

Le conducteur d’un camion devra s’expliquer le 7 mai prochain devant le délégué du procureur, en vue de la notification d’une ordonnance pénale. Le 9 janvier, son véhicule s’est renversé sur la chaussée à hauteur de la route de Gray à Besançon. Au cours des investigations, il est apparu que le quinquagénaire n’était plus titulaire du permis de conduire. Un défaut d’assurance et des pneus lisses ont été constatés. L’individu, qui n’a pas été blessé, a été placé en garde à vue.