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Hier soir, le BesAC disputait les matches retour de la 2è phase de championnat en nationale 1. Les basketteurs bisontins ont vaincu Cergy Pontoise, aux Montboucons, sur le score de 54 à 48. Une victoire qui permet au groupe de Nicolas Faure d’espérer pouvoir poursuivre l’aventure des play-offs.

Ce samedi, l’ESBF dispute son match retour des quarts de finale de la Coupe d’Europe. Les Engagées affrontent Bietigheim. Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 16h. A l’aller, les Bisontines se sont inclinées sur le score de 23 à 29.

La deuxième semaine de procès de l’affaire Zepeda débutera ce lundi à 10h aux assises du Doubs.  Une semaine que la famille de l’étudiante japonaise redoute énormément. Cette dernière a été déstabilisée à plusieurs reprises par les réponses de Zepeda lors des différents interrogatoires auxquels il a été soumis. C’est lundi à 17h que l’accusé sera de nouveau interrogé sur les faits. Les parties civiles, au nombre de cinq, assistées par maîtres Galley et Schwerdorffer, seront auditionnées mercredi. Maître Galley est au micro de la rédaction.

L'interview de la rédaction / Maître Galley

 

Concernant l’épidémie de Covid-19, la circulation du virus a continué d’augmenter fortement ces 7 derniers jours en Bourgogne-Franche-Comté, où la grippe reste par ailleurs en phase épidémique pour la troisième semaine. La COVID-19 est responsable de 50 décès supplémentaires ces 7 derniers jours en Bourgogne-Franche-Comté.

A la 5ème place de Ligue 2, le FCSM est en bonne posture pour prétendre à la montée en Ligue 1. A huit matchs du terme de la saison, les Sochaliens n’ont plus le droit à l’erreur. En déplacement demain, ils sont favoris face à Quevilly-Rouen, 17ème de Ligue 2. Seulement 5 points les séparent de la 2ème place, ce qui leur permettrait de ne pas passer par les phases de barrage. Tout est encore possible pour les jaunes et bleus.

Une dernière ligne droite pour les coéquipiers de Yann Kitala. Le numéro 9 du FCSM se dit confiant quant aux chances de promotion. Mais reste tout de même conscient de la difficulté de l’œuvre. Considérant l’équipe comme armée pour la montée et débordante de détermination, l’ancien de l’Olympique Lyonnais n’oublie qu’il va falloir de la réussite dans les rencontres à venir. En prenant en compte qu’aucun match ne sera facile, c’est huit finales qui attendent les sochaliens. C’est demain, samedi 2 avril, face à que Quevilly-Rouen que le périple commence.

Le mental d’un champion

Longuement blessé après son arrivée à Sochaux en 2020, Yann Kitala s’est vu écarter des terrains pendant toute une saison après une fracture au tibia péroné à la suite d’un violent choc face à Auxerre. Deux années plus tard, remis depuis plusieurs mois et désormais à 100%, le jeune buteur à la confiance de son coach Omar Daf. Les longues blessures sont souvent difficiles à surmonter pour les sportifs de haut niveau. Pour Yann Kitala, cela a été une leçon de vie très importante : « Ça a forgé ma personne, je vois les choses différemment Â». Un gros travail a été fait sur lui-même et il s’est rendu compte de la chance de pouvoir pratiquer ce métier exceptionnel en bonne santé. Avec une envie décuplée d’être décisif et d’apporter à l’équipe, Yann Kitala va être un élément important de ce sprint final pour la montée en Ligue 1.

L'interview de la rédaction / Yann Kitala

Ce samedi 2 avril se déroule l'événement sportif caritatif « 24h d'Hugo pour Leony Â» organisé par Jean Charles Gigon au profit de l'association « Je m'appelle Leony tout court Â». Objectif de cet événement, courir pendant 24h dans le but de récolter des fonds afin d'aider un enfant de Morteau atteint d'une maladie orpheline.

Un défi caritatif

Ce projet sportif est né lorsque Jean Charles Gigon a appris qu'un jeune enfant, du nom de Leony, scolarisé dans la même classe que sa fille, souffrait d'une maladie orpheline : l'Amyotrophie Spinale de type 1. Cette même maladie qui avait emporté son fils Hugo, il y a 10 ans, alors qu'il était âgé de 8 mois seulement.

C'est donc tout naturellement que Jean Charles Gigon a décidé de se greffer à l'association « Je m'appelle Leony tout court Â» afin de créer cet événement dans le but de récolter des fonds pour l'association.

De nombreux soutiens

Comme l'a précisé l'organisateur, cette action est ouverte à tous ceux qui souhaitent participer, que ce soit pour une heure ou plus. De nombreuses personnes ont répondu présentes. Les bénévoles du Doubs Sud Athlétisme  de Morteau, auquel Jean Charles Gigon est licencié, seront au rendez-vous. L’objectif est « qu'il y ait toujours des participants  Ã  mes côtés, que ce soit de jour comme de nuit Â». Plusieurs entreprises se sont proposées pour être partenaires de l'événement. Grâce à elles,  des produits et des t-shirts  seront mis en vente au profit de l’association.

L'interview de la rédaction / Jean-Charles Gigon

Nicolas Zepeda a été placé dos au mur en ce quatrième jour d’audience, le dernier de cette première semaine de procès qui s’achève. Auditionné, le commandant Touris a d’ailleurs insisté sur le fait que le téléphone de Narumi a effectué le même trajet que Nicolas Zepeda après sa disparition, comme en témoigne les différentes connexions identifiées en Espagne, mais surtout au Chili. Or, Nicolas Zepeda est bel et bien rentré seul sur le territoire chilien. Ces éléments accablants pourraient bien faire vaciller le Chilien. 

Le commandant a également dû faire face aux questions des avocats. Il a répondu à des interrogations concernant le corps de Narumi, en émettant des hypothèses sur la manière dont il aurait pu être transporté depuis la chambre,  jusqu’à l’endroit où il serait caché. Le commandant a également fait part de la difficulté de la recherche du corps, car les recherches ont véritablement commencé des mois après la disparition, rappelant qu’un corps en pleine nature pouvait être altéré par des animaux. 

La défense a également posé des questions au policier, en essayant tant bien que mal  de lui faire émettre l’hypothèse que Narumi pourrait être en vie. Soulignant le fait qu’il aurait été difficile pour Zepeda de transporter un corps, ainsi que sa valise,  jusqu’à sa voiture. Il n’est pas allé dans ce sens, et a rappelé que, «  lors d’un incident de ce type, il est très probable que l’accusé ait été en mesure de transporter tout cela, sous le coup de l’adrénaline Â». 

La fin de l’audience du jour s’est articulée sur un point judiciaire extrêmement technique. Mais au-delà de la forme, c’est le fond de ce débat qui va avoir un impact fort sur le procès lors des prochains jours. En effet, de nouvelles images de vidéosurveillance devraient être dévoilées lors de l’audience. Découverte tardivement par le chef d’enquête de police, ces images pourraient être accablantes pour Nicolas Zepeda. Le débat de fin d’audience entre la défense et les avocats de la partie civile concernaient d’ailleurs ces vidéos. Les deux parties étaient d’accord sur leur diffusion, qui figurent au dossier d’instruction et qui sont légitimement diffusables. Cependant, la défense trouvait que cette manÅ“uvre était irrégulière, et qu’il était souhaitable de solliciter un supplément d’information pour respecter un principe de droit. 

L’audience a été suspendue vers 14h, et reprendra lundi matin à 10h. 

Concernant l’épidémie de Covid-19, le rectorat de Besançon fait le point sur la situation sanitaire dans l’académie de Besançon. A la date de jeudi après-midi, aucune structure scolaire n'est fermée et 116 classes à distance bénéficient de la continuité pédagogique dans l'académie. 2084 élèves et 202 personnels sont cas confirmés à la Covid-19 en cumul sur les 7 derniers jours