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Un homme de 26 ans a été placé en garde à vue différée la nuit dernière au commissariat de police de la Gare d’Eau à Besançon. Lors d’un contrôle, mené place Leclerc, vers 3h40, il est apparu qu’il était au volant malgré un défaut d’assurance et de permis de conduire. Il conduisait également sous l’emprise de l’alcool. Soit un taux de 1,78 gramme d’alcool dans le sang.

Un individu, âgé de 20 ans, devra s’expliquer en décembre prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 8 août, à Besançon, lors d’un contrôle, pour mettre fin aux agissements d’individus qui jetaient des pétards rue Champrond,  le jeune homme, qui a pris la fuite, a été retrouvé en possession d’un sachet de pétards, d’une matraque télescopique et d’une bombe lacrymogène. Il a été placé en garde à vue. Au cours de son audition, il a reconnu les faits, précisant que la matraque et la bombe lacrymogène lui servait à se défendre.

Depuis ce mercredi, les quatre départements francs comtois sont en alerte « crise Â» sécheresse. Les niveaux des cours d’eau et des nappes phréatiques sont au plus bas. Actuellement, cinq communes du Doubs sont alimentées en eau par des camions-citernes : Abbenans, Arc-Sous-Cicon, Sourans, Uzelle et Valoreille. Huit font appel à des besoins exceptionnels et d’autres sont interconnectées à d’autres réseaux pour continuer de pouvoir délivrer de l’eau potable à leur population.

Par ailleurs, il a été constaté que le débit de la cascade de la source du Doubs à Mouthe s’est considérablement amoindri ces derniers jours. En trois semaines, il est passé de 200 litres par seconde à 20 litres par seconde.

Jusqu’au 17 septembre, à Besançon, la médiathèque Pierre Bayle accueille les associations Sirocco Skate Club et Fragile Skateboard. A cette occasion, les visiteurs peuvent découvrir une exposition, assister à des démonstrations, participer à des rencontres et des projections. Cette présence s’inscrit également, dans un contexte de soutien de la Ville de Besançon à la pratique des cultures urbaines. Effectivement, la cité comtoise et l’ASEP travaillent à la création d’un skate parc de 500 m2 à la pointe de la modernité.

Dans le Jura. Les sapeurs-pompiers interviennent pour un feu de forêt qui s’est répandu sur les communes de Cernon et Vescles. D’importants moyens ont été déployés sur place. Aucune habitation n’est menacée.

Les sapeurs-pompiers du Jura sont intervenus pour un feu de végétation ce mardi soir à Montbarrey (39). Le feu intéressait une surface de 1,5 hectare. L’intervention rapide des secours a permis de préserver une pâture de 7 hectares et une dizaine de bovins. Six véhicules et 17 sapeurs-pompiers se sont rendus sur place.

Un couple de Jurassiens apparaîtra ce dimanche dans le magazine Capital sur M6. « Vacances au camping : comment ils vous attirent pour l’été Â» est le titre de ce nouveau numéro. Laurie et Julien sont originaires de Haute-Savoie. Avec leurs deux enfants, en novembre 2019, ils plaquent tout pour s’installer dans le Jura et devenir propriétaire de leur premier camping à Bonlieu.

La situation est préoccupante. Les niveaux de la ressource en eau sont au plus bas. Ce qui a contraint le préfet du Doubs a placé, à compter de ce mercredi 10 août,  l’intégralité du département en état de « crise Â». C’est le niveau le plus haut en termes d’alerte. La gravité de cette situation climatique est supérieure à celle des années 1976, 2003 et 2018. Et ce ne sera pas la dépression pluvio orageuse attendue ce dimanche et les prochains jours, jusqu’au 18/19 août, qui changera la donne.  La situation ne va pas s’améliorer à moyen terme. Actuellement, cinq communes du Doubs sont alimentées en eau par des camions-citernes : Abbenans, Arc-Sous-Cicon, Sourans, Uzelle et Valoreille. Huit font appel à des besoins exceptionnels et d’autres sont interconnectées à d’autres réseaux pour continuer de pouvoir délivrer de l’eau potable à leur population.

Le classement en « crise Â» impose de limiter les usages de l’eau à l’alimentation en eau potable, la sécurité civile, la santé et la salubrité publique. Tout autre usage est soit limité, soit interdit. Parmi les restrictions en vigueur apparaissent l’interdiction de lavage des véhicules, y compris en station de lavage professionnelle, l’interdiction d’arroser les massifs fleuris, pelouses et des stades enherbés ou encore de remplir ou vidanger les piscines privées, …

Des opérations de contrôle

Elles seront réalisées par les services de police, de gendarmerie, de l’Office Français de la Biodiversité, de la DDT et l’unité départementale de la DEAL. En cas du non-respect de ces restrictions, des contraventions pouvant aller jusqu’à 1500 euros pourront être affligées.

Le reportage de la rédaction / Virginie Menigoz, responsable du service habitat à la Direction Départementale des Territoires.