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Lors d’un contrôle, mené place du Jura, à Besançon, les policiers, grâce à l’assistance d’un chien de recherche spécialisé, ont découvert 6.500 euros en numéraire, dissimulés dans le coffre d’une voiture. Les faits ont été enregistrés le 29 septembre dernier.

A la vue des policiers, le conducteur tentait de dissimuler son visage. Tant dis que le passager leur remettait spontanément 0,5 gramme de résine de cannabis. Un pistolet à barillet et une machette ont également été appréhendés par les forces de l’ordre.

Les deux hommes ont été conduits au commissariat. Ils ont été laissés libre. Les investigations se poursuivent.  

Un feu d’habitation s’est déclaré cette nuit, vers 3h, à Burgille (25). La bâtisse, d’une superficie de 120 m2, comprenait deux logements. Quatre lances ont été déployées. Deux personnes ont été relogées dans leur famille.

Le Grand Besançon Doubs Handball a décroché hier soir à Cherbourg sa première victoire de la saison en ProLigue. Les Bisontins se sont imposés, avec la manière, sur le score de 30 à 35. La cinquième, et prochaine journée, se disputera le 6 octobre à Nancy.

Le BesAC s’est incliné hier soir lors de son premier match à domicile. Il officiait au Palais des Sports. Les basketteurs bisontins ont été vaincus sur le score de 70 à 80 face à Mulhouse.

La Ville de Besançon indique « qu’en raison  de la pénurie d’animateurs périscolaires, elle est malheureusement amenée à fermer l’accueil périscolaire de l’après-midi de l’école maternelle Kergomard. Ce service ne pourra pas être assuré du lundi 3 au vendredi 7 octobre inclus.

Concernant l’épidémie de Covid-19, l’augmentation de la circulation du virus s’observe de nouveau à l’échelle de tous les départements de Bourgogne-Franche-Comté, où le taux d’incidence en population générale approche les 500 cas pour 100 000 habitants,  avec un taux de positivité des tests supérieur à 27%. Les hospitalisations repartent par ailleurs légèrement à la hausse, tendance qui n’avait pas été observée depuis l’été.

Les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus ce vendredi après-midi à Orchamps-Vennes pour le sauvetage d’une vache, tombée dans une doline d’environ 2,5 mètres de profondeur. L’intervention combinée des équipes spécialisées de sauvetage déblaiement et du sauvetage animalier a permis d’extraire rapidement l’animal qui a pu être confié à son propriétaire.

Grand Besançon Métropole poursuit son travail de mise aux normes des stations d’épuration de son territoire et leurs installations. L’objectif étant de traiter efficacement  les eaux usées, rejoignant la source d’Arcier, qui alimente en eau potable la Ville de Besançon.  

Cet investissement s’inscrit plus globalement dans un ensemble d’opérations touchant le Plateau. Certaines sont déjà achevées, comme la réalisation des travaux de mise en séparatif des eaux pluviales de Mamirolle, le renvoi des effluents de la Vèze et de Morre vers la station d’épuration de Port-Douvot à Besançon ou encore la mise aux normes de la station d’épuration de Saône. D’autres restent à venir comme le renvoi des effluents de Montfaucon, puis ceux de Gennes et de Saône, la reprise des réseaux d’eaux usées et d’eaux pluviales de Saône et enfin, la refonte des stations d’épuration de Fontain et de Pugey.

La mise aux normes de la station de Mamirolle

Elle va être conduite en deux phases, dont une partie de redimensionnement complet des installations, prévue jusqu’à fin 2024. En parallèle de ce chantier, dont le montant est estimé à 2,7 millions d’euros, l’ENIL de Mamirolle, l’Ecole Nationale d’Industrie Laitière,  va devoir se doter d’un prétraitement pour gérer ses effluents, qui seront ensuite pris en compte dans le réseau d’assainissement de Grand Besançon Métropole. 450.000 euros seront investis par l’établissement.

Gérer les infrastructures

Les coûts de l’énergie inquiètent l’élu bisontin Christophe Lime. « Pas question de mettre en pause les installations pour faire des économies Â». Le coût de l’électricité impacte considérablement les finances publiques. La facture pourra s’élever à 5,7 millions d’euros en 2023. Un triste nouveau record. Pour faire face à cette situation, les prix de l’eau et de l’assainissement pourraient augmenter.