Le 11 septembre 2025 à 21h32, rue de la Perrière à Paroy, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus pour une femme de 36 ans, d’origine serbe, retrouvée en arrêt cardio-respiratoire sous son véhicule utilitaire, victime d’un problème mécanique. Dégagée par des passants avant l’arrivée des secours, elle n’a pu être réanimée et a été déclarée décédée par le médecin du SMUR. La gendarmerie et la DIR Est étaient présentes sur les lieux.
L’équipe de psychiatrie du centre hospitalier intercommunal de Haute-Comté (CHIHC), sur le site du GrandVallier, tire la sonnette d’alarme. Dans un courrier adressé à plusieurs ministres, députés, autorités sanitaires et médias, les soignants réclament la reconnaissance de la dangerosité de leur métier et la mise en place d’une indemnité forfaitaire de risque, à l’image de ce qui existe déjà pour les urgences.
Quotidien marqué par la violence
Intra-hospitalier, hôpitaux de jour, centres médico-psychologiques (CMP) : l’équipe couvre l’ensemble du secteur psychiatrique du Haut-Doubs. Les soignants assurent la prise en charge de patients en crise, parfois instables, exposant les équipes à des agressions physiques et psychologiques. « Plusieurs épisodes violents sont survenus depuis le début de l’année 2025 », expliquent-ils. Ces faits concernent principalement les personnels paramédicaux, certains ayant entraîné des arrêts de travail. Les signalements d’« événements indésirables » et de « fiches violences » s’accumulent depuis plusieurs années, sans réponse structurelle selon eux.
Des conditions de travail dégradées
Les soignants soulignent également le manque d’effectifs : effectifs divisés par deux la nuit et les week-ends, recours fréquent à des intérimaires non formés à la gestion de la violence, appui régulier des agents de sécurité et même des forces de l’ordre. La situation s’est aggravée entre décembre 2024 et février 2025, lorsqu’ils ont dû accueillir des patients relevant normalement de l’unité d’hospitalisation de très courte durée (UHTCD), fermée temporairement pour travaux. Selon l’équipe, ce contexte pèse lourdement sur l’attractivité du service : « Les étudiants en soins infirmiers rapportent déjà que nos conditions de travail ne sont pas attrayantes, en raison du sous-effectif, du sur-effectif patient et des situations de violence. »
Une demande de reconnaissance nationale
Si les urgences bénéficient déjà de l’indemnité forfaitaire de risque (IFR), ce n’est pas le cas des services de psychiatrie générale, contrairement aux unités de soins intensifs ou aux structures pour malades difficiles. « Nous demandons que notre travail, impliquant une exposition régulière à de la violence, puisse enfin être reconnu et valorisé », écrivent-ils. Au-delà d’une compensation financière, ils estiment qu’une telle mesure permettrait de stabiliser les équipes et de faciliter les recrutements.
Une mobilisation élargie
Les soignants ont déjà alerté leurs syndicats (CFDT, CGT, FO) qui soutiennent leur démarche. Ils annoncent également un rapprochement avec d’autres structures psychiatriques du département et de la région, comme le centre hospitalier de Novillars, le centre psychiatrique de la Chartreuse ou encore celui de Saint-Ylie. La lettre a été adressée à plusieurs ministres, parlementaires, à l’ARS, à la Haute Autorité de Santé, à l’Ordre infirmier, ainsi qu’à divers médias spécialisés et généralistes. " Nous sommes portés par notre détermination et notre besoin de reconnaissance », conclut l’équipe psychiatrique du GrandVallier, qui entend inscrire son combat dans une dynamique nationale.
Le 11 septembre, vers 17h30, les sapeurs-pompiers du Doubs sont intervenus sur le chemin des Seignes à Mouthe pour porter secours à une vache embourbée jusqu’au cou dans une zone marécageuse. Grâce à un dispositif de levage mis en place avec l’appui d’une équipe spécialisée en sauvetage animalier, l’animal a pu être dégagé sans blessure. Elle a été examinée par un vétérinaire privé avant d’être rendue à son propriétaire.
Handball
ProLigue
Grand Besançon Doubs Handball 33 – 36 Pontault Combault
D2 féminine
Saint Grégoire Rennes Métropole 33 – 24 Palente Besançon
Nationale 1 féminine
ESBF 30 – 37 Strasbourg/Achenheim/Truchtersheim
Nationale 2 féminine
Palente Besançon Handball 32 – 28 Talant
Entente Wittenheim-Ensisheim 29 – 26 Saône Mamirolle *
Nationale 2 masculine
Grand Besançon Doubs Handball 43 – 26 Lure
Nationale 3 masculine
CA Pontarlier 33 – 36 Chevigny Saint Sauveur
Franois 32 – 36 Dijon métropole
Entente Saône Mamirolle 35 – 34 Entente Strasbourg/Schiltigheim Alsace Handball
Nationale 3 féminine
Chevigny Saint Sauveur 35 – 27 CA Pontarlier
Convention Dole/Chaussin 28 – 29 Lure
Saône Mamirolle 35 – 27 AS Auxois
Maîche 40 – 16 Lons le Saunier
Arbois Poligny 29 – 24 Dampierre
Basket
Nationale 2 masculine
Lons le Saunier 85 – 77 Dijon
Nationale 3 masculine
Phénix Basket Monetau-Héry 76 – 71 Montmorot
Prénationale masculine
Lons le Saunier (B) 79 - 73 Fontaine
Chalon 81 - 95 Jura Salins
Plaine de Saône 66 - 64 Poligny
Champagnole 75 - 88 DA Dijon (B)
Rugby
Fédérale 2
Lons le Saunier 23 – 22 Saint Claude
Fédérale 3
Strasbourg 16 – 20 Pontarlier
Nancy Seichamps 20 – 37 Grand Dole
Football
National
FC Sochaux Montbéiard 1 – 1 Caen
3è Tour de la Coupe de France
Mellecey Mercurey 0 – 0 Jura Sud ( 3 TAB 1 )
Morteau Montlebon 5 – 0 Montfaucon/Morre/Gennes ( samedi à 17h30)
Les Ecorces 0 – 4 ASM Belfort
Bresse Jura Foot 1 – 1 Haut Jura ( 1 TAB 4)
Sud Revermont 1 – 4 Saint Vit
Levier 1 – 2 Besançon Foot
Belfort Sud 0 – 6 Racing Besançon
AS Châtenois 3 - 2 Macornay
Aromas 0 – 1 Plateau 39
Entre Roches 2 – 2 Noidanais ( 3 TAB 1)
Orchamps Vennes 1 – 2 Audincourt
Crotenay – Larians Munans (Dimanche 15h)
Besançon Espérance 6 – 0 Les Sapins
Saint Aubin 1 – 1 Tilles ( 3 TAB 4)
Le Russey 1 – 3 FCVI
Fauvernay – Lons RC (Dimanche 15h)
Baume les Dames 3 – 1 Frasne (Dimanche 15h)
FC du 1er Plateau 5 – 2 Arche FC
Dijon ULFE 2 – 7 Jura Dolois
Souvans 2 – 4 Doubs
FCSM 3 – 2 Jura Nord Foot
Grand Besançon FC 1 – 2 Pontarlier
Les Fonges 91 0 - 1 Perrouse
Du 15 au 19 septembre, la DIR Est réalisera des travaux de réfection de chaussée et de pose de bordures sur la côte de « La Main », entre Saint-Gorgon-Main et « La Vrine ». La RN57 sera totalement fermée chaque nuit, de 19h00 à 5h00. Une déviation sera mise en place dans les deux sens. La circulation sera rétablie chaque jour entre 5h00 et 19h00.
Le 8 septembre, vers 21h, à Besançon, rue Charles Viancin, une patrouille a repéré un échange suspect entre trois individus. Le contrôle et les perquisitions ont permis la saisie de 407 g de cannabis, 0,66 g de cocaïne et 1 840 euros. Le conducteur a reconnu livrer la drogue pour 200 €/jour. Le passager gérait les ventes, le troisième assurait le ravitaillement. Tous trois ont été placés en garde à vue. Un homme de 43 ans a été déféré au parquet. Les deux autres, dont un mineur, ont reçu des convocations judiciaires.
Le 9 septembre dernier, vers 16h45, un équipage de police est intervenu Place Cassin suite à des signalements de riverains concernant des ventes illicites de cigarettes. Sur place, les agents ont identifié un jeune vendeur dissimulant son marchandise dans le coffre de son véhicule.
Lors de l’interpellation, six cartouches de cigarettes, trois pots de tabac et 415 euros ont été saisis. Âgé de 17 ans, le suspect a reconnu les faits et a été placé en garde à vue. Il est convoqué devant le juge des enfants le 3 octobre prochain et confié aux services de protection de l’enfance.