Parvenir à faire d’un musée un lieu de vie, de transmission, de dialogue culturel : c’est le pari relevé avec brio par une classe de seconde du lycée Victor Hugo de Besançon, avec leur exposition fictionnelle "Arsène & la malle du temps", présentée au Musée des beaux-arts et d’archéologie jusqu’au 29 septembre.
Tout au long de cette année scolaire, 14 lycéens ont vécu une aventure pédagogique et humaine hors normes. Encadrés par trois enseignantes — Julie Vernier (français), Malika Souidi (physique-chimie) et Emmanuelle François (SVT) — et accompagnés par les équipes des Musées des beaux-arts et du Temps, ils ont conçu une exposition de A à Z, à la manière de véritables commissaires d’exposition. De la sélection des œuvres en réserve, à la scénographie, jusqu’à la communication grand public, ce projet a permis aux adolescents de s’approprier l’univers muséal. Mais au-delà de la prouesse pédagogique et artistique, le rôle social du projet s’impose avec force.
L'interview de la rédaction : Bertin, un lycéen qui a particpité au projet.
L'interview de la rédaction : Ludovic, un lycéen qui a particpité au projet.
Un musée à portée de tramway : une nouvelle géographie sociale de la culture
Pour une partie des élèves issus du quartier de Planoise ou de collèges périphériques, le musée du centre-ville représentait un monde à part. « Certains pensaient que ce n'était pas pour eux », confie Malika Souidi. Cette exposition leur a offert une porte d’entrée, mieux : une clef. Chaque lundi après-midi, les élèves quittaient les murs du lycée pour investir ceux du musée. En créant un cadre régulier, identifiable dans l’emploi du temps, l’institution scolaire a ouvert l’espace muséal à une appropriation en profondeur. Le projet, soutenu par la préfecture dans le cadre d’une politique d’accès élargi à la culture, assume un objectif d’inclusion sociale : croiser des profils différents, mêler des élèves de divers horizons, et faire du musée un lieu où l’on peut se retrouver, réfléchir, créer, dialoguer.
L'interview de la rédaction : Mme François
Créer ensemble pour apprendre à vivre ensemble
« On n’était pas tous d’accord, mais on a appris à faire des concessions », racontent les élèves. Si la fiction d’Arsène, adolescent découvrant une malle mystérieuse dans le grenier familial, agit comme fil rouge narratif, la véritable histoire est celle de cette classe hétérogène unie par une œuvre collective. Chacun a contribué : certains portés par l’imaginaire, d’autres par le goût des objets, d’autres encore par le travail manuel. Tous ont découvert des métiers, des savoir-faire, et surtout la puissance de la création en groupe. En sélectionnant des objets inédits des réserves, en les liant par des récits inventés, les élèves ont composé un cabinet de curiosités personnel et profondément humain. L’histoire d’Arsène devient alors une métaphore du projet lui-même : une quête identitaire, faite de croisements, de détours, de transmission intergénérationnelle.
L'interview de la rédaction : Mesdames Vernier et Souidi
Un tremplin culturel et personnel
Le projet a aussi une dimension d’orientation. En explorant les coulisses du musée, en manipulant des œuvres, en visitant les ateliers de moulage, les élèves ont découvert des métiers souvent méconnus : régisseur, restaurateur, conservateur, médiateur. Pour certains, ce fut un déclencheur : « Ce sont des choses qu'on ne fait pas dans une vie normale », résume Ludovic. Mais plus encore que des vocations, ce projet a semé des graines de confiance. Confiance en soi, dans sa capacité à créer. Confiance dans les autres, dans la richesse des échanges. Et confiance dans les institutions culturelles, lorsque celles-ci se mettent réellement à la portée des jeunes.
"Arsène & la malle du temps" est à voir jusqu’au 29 septembre au Musée des beaux-arts et d’archéologie de Besançon. Un livret-jeu accompagne l’exposition pour prolonger la découverte et résoudre l’énigme d’Arsène.
Ce mardi matin, dans le cadre de la journée nationale de la résistance, une cérémonie commémorative s’est tenue à la Citadelle de Besançon. Cette année encore, la jeunesse était présente et a été associée à cet évènement. Des lycéens du dispositif microlycée du Lycée Louis Pergaud de Besançon, un dispositif pensé pour ceux qui ont quitté le système scolaire avant de le réintégrer, ont participé à ce moment. Parmi eux, Elisa et Julien, élèves de terminale, qui suivent la spécialité histoire-géographie géopolitique et sciences politiques, emprunts d’enrichir leurs connaissances et désireux de s’immerger dans un univers qu’ils ne connaissent pas.
L'interview de la rédaction :Julien, lycéen participant

L’envie de comprendre le monde
Ces élèves, un temps en décrochage scolaire, ne se contentent pas d’apprendre des dates et des faits : ils veulent comprendre les mécanismes qui façonnent la société. Les cérémonies de commémoration, les visites historiques et les débats autour des régimes totalitaires leur offrent des clés précieuses pour décrypter l’actualité. « Je ne supporte pas l’idée d’être dans un monde que l’on ne comprend pas » explique Julien. Selon le jeune adulte, l’étude de l’histoire et de la géopolitique est essentielle pour y remédier. Une approche intellectuelle lucide, que partage également Elisa. La jeune femme ajoute que « cette spécialité permet de comprendre les enjeux actuels, d’appréhender l’avenir et d’éviter les dérives du passé ».
Un baccalauréat qui devient un outil de réflexion
L'interview de la rédaction :Elisa; Lycéenne participante
Loin d’être une simple épreuve académique, le grand oral du baccalauréat est pour eux une opportunité d’approfondir des questions fondamentales. Violence, mémoire oubliée, participation ordinaire aux tragédies de l’histoire : leurs sujets traduisent une volonté de poser les bonnes questions plutôt que de simplement réciter des réponses. Au-delà du diplôme, leur démarche révèle un engagement intellectuel durable. Pour eux, apprendre, c’est comprendre et, surtout, agir. En revisitant l’histoire, en interrogeant les mécanismes du pouvoir et en explorant les enjeux mémoriels, ils construisent une réflexion qui les accompagnera bien après la fin de leur scolarité.

Avec cette approche, l’école devient bien plus qu’un lieu d’apprentissage : elle devient un laboratoire d’idées, où la curiosité façonne l’avenir et redonne au baccalauréat toute sa pertinence.
Dans le cadre du Plan national de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations, un projet éducatif innovant a été mené dans l’académie de Besançon. Initié par l’Éducation nationale, il vise à faire découvrir à tout un chacun, aux jeunes comme aux moins jeunes, des lieux mémoriels locaux et à retracer des événements marquants de la Seconde Guerre mondiale. C’est ainsi qu’a vu le jour un projet collectif, associant les académies de Dijon et de Besançon, sur internet : les routes des mémoires. Déclinée en panneau informatif et podcast, cette carte mémorielle virtuelle propose une quarantaine de lieux, répartis sur trois routes : la route des Justes, des tirailleurs et des Tsiganes.
L'interview de la rédaction : Sylvain Gland, Inspecteur académique en Histoire Géographie et référent acdémique mémoire et citoyenneté à Besançon

Durant cet après-midi, une convention a été signée entre l'académie de Besançon et le comité français pour Yad Vashem
Un projet pour redonner mémoire aux héros oubliés
L'interview de la rédaction : Sylvain Gland, Inspecteur académique en Histoire Géographie et référent acdémique mémoire et citoyenneté à Besançon
Partant du constat que peu de lieux historiques liés aux Justes, aux tirailleurs coloniaux ou aux camps d’internement tsiganes sont connus des collégiens et lycéens, ce programme a proposé, à plusieurs établissements, de travailler sur ces thématiques. Initialement prévu pour une vingtaine d’établissements scolaires, il a finalement mobilisé une quarantaine de sites volontaires. Les élèves ont mené des recherches historiques, parcouru des archives, et retrouvé des témoignages pour produire des panneaux explicatifs et des podcasts contextualisant ces parcours de mémoire.

Les Justes : un travail documentaire approfondi
Au lycée professionnel Toussaint Louverture de Pontarlier, un groupe d’élèves s’est particulièrement investi dans l’histoire de Charles et Liliane Schneider, un couple de Justes ayant caché des Juifs durant la Seconde Guerre Mondiale à la Ferrière-Sous-Jougne, près de Pontarlier. Il a fallu mener des recherches et récolter des informations, avant d’entamer les travaux d’écriture et d’enregistrement nécessaires. Dominique Schneider, fille des Justes, et l’un des enfants sauvés, aujourd’hui âgé de 85 ans, ont répondu aux questions des jeunes. "C’était très émouvant de parler à ces personnes directement liées à cette histoire", confie Romane. Les élèves ont conçu un podcast de sept minutes, relatant ces faits historiques et incluant des extraits d’interviews. "Il fallait choisir les bons morceaux, structurer le récit, tout remettre en ordre… Ça nous a demandé un gros travail", précise Thiago.
L'interview de la rédaction : Romane et Thiago, deux lycéens pontissaliens engagés dans ce projet
Une mémoire vivante pour lutter contre l’oubli
À travers ce projet, les élèves ne se sont pas contentés de raconter une histoire : ils ont cherché à lutter contre la désinformation et à rappeler que ces événements ont réellement existé. "Certaines personnes cherchent à effacer cette mémoire, à dire que cela n’a jamais eu lieu", explique Thiago. « Nous voulons rappeler que cela s’est réellement passé, que des gens sont morts simplement parce qu’ils étaient Juifs, et que d’autres ont risqué leur vie pour les protéger."
L'interview de la rédaction : Romane et Thiago, deux lycéens pontissaliens engagés dans ce projet
L’exposition et les podcasts seront accessibles en ligne à partir du 15 juin, permettant à tous de découvrir ces récits méconnus mais essentiels. Grâce à l’engagement de ces élèves, l’histoire des Justes du Haut-Doubs retrouve la place qu’elle mérite dans la mémoire collective.
C’est au cœur du 19e régiment du génie de Besançon que se déroule, durant deux journées intenses, ce jeudi et ce vendredi, le Rallye Citoyen 2025, une initiative conjointe de l’Éducation nationale, de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN) et des forces armées. Un événement marquant destiné à sensibiliser les jeunes à la citoyenneté et à valoriser les métiers des forces en uniforme – loin de toute visée de recrutement.
L'interview de la rédaction : Samuel Rouzet, directeur académique des services de l'Éducation nationale du Doubs
Une pédagogie de terrain pour forger l'esprit citoyen
« Ce rallye s’inscrit dans une dynamique éducative forte : former les élèves à devenir des citoyens éclairés et engagés », explique Samuel Rouzet, directeur académique des services de l'Éducation nationale du Doubs. Environ 350 élèves de 4e et 3e issus de 11 collèges du département ont ainsi participé à treize ateliers ludiques et pratiques, encadrés par des professionnels de la défense, de la sécurité et de la santé. Ateliers de secourisme avec les sapeurs-pompiers, simulations d’interventions par la police et la gendarmerie, découverte du "Bleuet de France", ou encore immersion dans la médecine de guerre avec le service de santé des armées : tout a été pensé pour éveiller la curiosité et ouvrir les perspectives.
Un partenariat au service de la jeunesse
Le lieutenant-colonel Jean-Marie Bezard, délégué militaire départemental adjoint, insiste : « Ce n’est pas une opération de recrutement, mais bien une action de sensibilisation au rôle du citoyen et à la reconnaissance des services publics qui protègent et accompagnent au quotidien. » L’organisation de l’événement repose sur le trinôme académique, une alliance entre l’Éducation nationale, l’IHEDN et les armées. Il s’agit de la deuxième édition de ce rallye, après une première session en 2024 ayant réuni 70 jeunes. Cette année, le succès est manifeste, avec une participation cinq fois supérieure.
L'interview de la rédaction : Le lieutenant-colonel Jean-Marie Bezard, délégué militaire départemental adjoint de ce dispositif
Un parcours structurant dans l’orientation
Ce rallye entre aussi pleinement dans les objectifs du parcours citoyen de l’élève, qui représente une part essentielle de la scolarité. « L’école a un rôle à jouer dans l’apprentissage de la citoyenneté, comme elle le fait pour toutes les autres compétences », rappelle Samuel Rouzet. Ce type d’initiative complète d’ailleurs d’autres dispositifs comme le Service National Universel (SNU).
Un engagement collectif salué
Le succès du Rallye repose également sur l’engagement des enseignants, des référents défense dans les établissements et des corps en uniforme qui ont répondu présents : armée de terre, gendarmerie, police nationale, sapeurs-pompiers, service médical des armées. « Il s’agit d’une alliance éducative solide entre les familles, les enseignants et les institutions républicaines », conclut M. Rouzet.
À l’occasion de la Journée internationale de la lumière, les étudiants de BTS Optique Photonique organisent un événement le 16 mai 2025, de 14 h à 19 h, à l’Espace Lamartine à Morez. Au programme : expériences interactives autour des phénomènes optiques, tels que les illusions d’optique, le light painting, la réflexion et la réfraction. Une occasion unique d’explorer le monde fascinant de la photonique, avec des démonstrations ludiques adaptées à tous les âges.
Les visiteurs pourront également en apprendre davantage sur la formation en BTS Optique Photonique, découvrir ses débouchés et échanger avec les étudiants et enseignants présents. Une immersion passionnante dans l’univers de la lumière et de ses applications !
Les familles de Pontarlier doivent se préparer à inscrire leurs enfants aux accueils périscolaires pour l’année scolaire 2025-2026. Les démarches se dérouleront en deux étapes essentielles via le Portail Famille des Francas.
Création ou mise à jour du compte (à partir du 12 mai 2025)
Les parents devront remplir les fiches enfant et adulte, indiquer les informations CAF, préciser les allergies éventuelles et choisir le type de repas adapté.
Dépôt du dossier complet
Ce dépôt se fera lors de deux journées spécifiques :
Pour ceux qui ne peuvent être présents, il sera possible de déposer le dossier jusqu’au 2 juillet au Service Enseignement, situé au 69 rue de la République.
Documents à fournir et réservations
Le dossier devra contenir les fiches de renseignements, une photo, une copie des vaccinations, une attestation CAF récente, une assurance extrascolaire, ainsi que les justificatifs liés au prélèvement bancaire ou à la garde partagée.
Enfin, les réservations des activités périscolaires ouvriront à partir du 2 juin 2025 sur le Portail Famille. Un dispositif organisé pour faciliter l'accès aux services tout en garantissant une prise en charge optimale des enfants.
Plus d’information sur : https://www.ville-pontarlier.fr/page/vivre-a-pontarlier/vie-quotidienne-2/enseignement/accueil-periscolaire
Le mardi 29 avril, la Maison Pasteur d'Arbois propose des ateliers pour enfants de 6 à 12 ans afin de découvrir les secrets des volcans. Deux créneaux sont disponibles : de 10 h à 12 h ou de 14 h 30 à 16 h 30. Le tarif est de 8 € par personne et la présence d'un adulte est obligatoire. Les places étant limitées, pensez à réserver au 03.84.66.11.72 ou à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Depuis 2021, la Franc-Comtoise Chloé M fait découvrir sa passion et sa pratique du slam dans les établissements scolaires et centres sociaux de la région. A la demande d’enseignants, éducateurs, directeurs de maisons de quartiers et parfois de particuliers, elle décline un atelier de découverte de cette discipline artistique. D’une durée minimale de 2 heures, mais elle conseille un laps de temps plus long, Chloé accompagne jeunes et moins jeunes et les initie à l’écriture et l’interprétation.
L'interview de la rédaction : Chloé M
La compositrice interprète de 27 ans ne cache pas son plaisir de pouvoir partager avec les différents publics qu’elle rencontre. Référencée sur le « pass culture », elle répond à de nombreuses sollicitations A partir de 10 ans, enfants, ados et adultes peuvent s’initier à cet art. Le slam est un formidable support pour enrichir son vocabulaire, découvrir la beauté de la langue française, libérer ses émotions, prendre de l’assurance à l’oral et surmonter sa timidité. « Je les aide à creuser leurs idées, à avoir du vocabulaire, à trouver les rimes, jouer avec les mots… » explique Chloé M. Ensuite, avant l’interprétation, « on va faire des exercices pour se détendre, se calmer, être à l’aise et avoir confiance en soi ». Et de conclure : « à la fin, chacun slamera ses textes devant la classe ». « C’est incroyable, ce que les jeunes sont capables de produire et de réaliser ». Les personnes intéressées ou qui souhaitent obtenir de plus amples informations peuvent la contacter, via l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. . Il est également possible de consulter sa page artiste : https://www.facebook.com/ChloeM.fr/?locale=fr_FR
Petite sœur
L'interview de la rédaction : Chloé M
En parallèle de cette action éducative, Chloé M a sorti le 4 avril dernier un nouveau single, baptisé « Petite Sœur ». A travers ce nouvel opus, dont elle a écrit les paroles et laissé la musique à Daniel Chevalley, avec lequel elle travaille depuis de nombreuses années, la Jurassienne a voulu rendre hommage à cette petite sœur de 3 ans sa cadette. « C’est grâce à elle que j’ai commencé à faire du slam. C’était en 2012. J’avais 13 ans. Quand je me suis intéressée à ce qu’elle me disait, j’ai tout de suite accroché » explique-t-elle. Et de conclure : « ce fut le déclic de beaucoup de choses. J’ai notamment pu mettre en musique les textes et poèmes que je rédigeais seule et que je n’arrivais pas à diffuser ». Depuis Chloé s’est fait un nom. Elle a sorti en 2022 un premier album. Un autre est en projet. En attendant, le public peut apprécier « Petite Sœur » sur toutes les plateformes musicales et sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=lV0IfvT9HpI
La troupe les Egarés du lycée Edgar Faure de Morteau vous donne rendez-vous la semaine prochaine, les 2 et 4 avril, pour les deux représentations au grand public de leur nouvelle pièce : « énième étage ». 2025, marque le onzième spectacle joué par des lycéens de l’établissement scolaire du Haut-Doubs. Encadré par Romain Jaillet, comédien professionnel, ces 19 garçons et filles préparent activement leur prestation scénique. Durant dix séances, ils ont endossé le rôle qui leur a été prêté. Ils ont également dû appréhender la pièce, entièrement écrite pour l’occasion, et dont ils ont été la source d’inspiration de l’auteur.
L'interview de la rédaction : Jeanne, jeune comédienne mortuacienne
Un ascenseur
« Enième étage » se passe dans un ascenseur, où les personnages semblent avoir des secrets. La pièce mélange savamment humour, émotion et critique sociale. Jouée par des jeunes comédiens amateurs, dont certains affichent déjà une solide et belle expérience, elle s’adresse à un large public. « Elle alterne moments comiques et moments de sensibilité. Elle a également des choses à dire sur la société, qui peuvent concerner jeunes et moins jeunes » expliquent Jeanne et Ysé.
L'interview de la rédaction : Ysé, jeune comédienne mortuacienne
Les représentations auront lieu au théâtre de Morteau les mercredi 2 et vendredi 4 avril à 20h30. Précisons également qu’au cours de l’entracte, certains jeunes comédiens, également musiciens, joueront trois morceaux en live. Une belle soirée en perspective. L’entrée est gratuite et ouverte à tous
Demain, vendredi 28 mars, plus de 110 acteurs majeurs de la vie étudiante en Bourgogne-Franche-Comté se réuniront à Dole pour une journée d’échanges, de coopérations et de perspectives autour d’un objectif commun : améliorer concrètement le quotidien et les conditions d’études des 83 000 étudiants de la région.
Porté par la Région académique Bourgogne-Franche-Comté, le Crous Bourgogne-Franche-Comté, la Région Bourgogne-Franche-Comté et l’ensemble des acteurs de la vie étudiante, cet évènement s’articulera autour de différents temps forts. Plusieurs thématiques seront abordés : logement, santé, bien-être, engagement, vie de campus, réussite universitaire… . Il permettra également de faire un retour sur des expériences diverses et de mettre en lumière des projets innovants.