Sur le territoire bisontin, la nouvelle édition de Ludi Health, la Game Jam, dédiée à la création de jeux sous toutes ces formes, au service de la santé, se déroulera du 7 au 9 février prochain. A l’initiative de cet évènement, le Collectif Ludique Bisontin et ses partenaires, dont la Ville de Besançon.
Parmi les thématiques choisis cette année : « Comprendre ce qu’est la santé publique » , « Sport et santé », « Osons parler de surpoids à des enfants » et « les enfants et leurs dents ». Pour participer, n’hésitez pas à vous inscrire, via le formulaire en ligne : https://ludihealth.org/subscribe. Le rendez-vous se déroulera, en présentiel, à la maison de quartier de Planoise.
Hier, mercredi 29 janvier, à Métabief, 900 élèves, issus de 40 établissements scolaires de l’académie de Besançon, ont participé à la journée blanche, organisée par l’Union Nationale du Sport Scolaire. La pratique du ski alpin était au programme. Collégiens et lycéens ont pu profiter pleinement des pistes de la station du Haut-Doubs et découvrir ou redécouvrir les plaisirs des sports de glisse, à quelques semaines des vacances d’hiver.
Le 1er février prochain, l’UFA Jeanne d’Arc organise ses portes ouvertes, de 9h à 13h. Un bon moyen pour rencontrer l’équipe pédagogique et les jeunes apprenants et découvrir les formations dispensées au sein de l'établissement. Chaque année, et depuis 20 ans, la structure du Haut-Doubs forme de nombreux élèves aux métiers du commerce. Le site pontissalien propose deux types de formation, par l’apprentissage : un bac pro MCV « métiers du commerce et de la vente », accessible à partir de la classe de première ou d’un CAP et un BTSA technico-commercial, avec trois spécialités : alimentation et boissons, vins, bières et spiritueux et biens et services pour l’agriculture.
Comme l’explique Julie Jeangirard, la responsable de l’UFA, « l’apprentissage est une voie d’excellence, qui permet aux élèves et étudiants de développer des compétences directement en entreprise, et de les préparer au mieux au monde du travail ». Ainsi, théorie et pratique se conjuguent merveilleusement bien pour faciliter un accès optimal au monde professionnel. Les formations sont organisées avec un rythme de deux jours à l’école et de trois jours en entreprise, totalisant 35 heures hebdomadaires. Le jeune devient alors un salarié de l’entreprise qui le forme. Un nouveau statut, qu’il doit également être en capacité d’appréhender.
L'interview de la rédaction : Julie Jeangirard
Poursuite d’études
L’apprentissage n’est pas une fin en soi. Certains désirent poursuivre leurs études. Ainsi, différentes possibilités leurs sont proposées. La licence professionnelle fait partie des options qui s’offrent à eux. D’autres formations ou voies restent ouvertes en fonction du projet professionnel de chacun.
L'interview de la rédaction : Julie Jeangirard
Rendez-vous ce samedi 1er février, de 9h à 13h, à l’UFA Jeanne d’Arc, rue Pierre Déchanet, dans la zone commerciale des Grands Planchants à Pontarlier. A cette occasion, le magasin le « Panier de Jeanne » sera également ouvert. Un outil pédagogique performant qui place également les futurs vendeurs et commerciaux dans la réalité de leur métier à venir.
Plusieurs dossiers seront à l’ordre du jour du conseil municipal de Besançon de ce jeudi soir. Ce mercredi, lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant séance, la majorité bisontine a souhaité en décliner plusieurs.
Déploiement final de la fibre optique au centre-ville
Hier, Anne Vignot a annoncé le déploiement total de la fibre optique dans le centre-ville de Besançon. Les travaux, gérés par l’opérateur historique Orange, doivent débuter en février, et pour une durée de six mois. Symboliquement, et parce que la Ville veut montrer son attachement à ce quartier, le secteur de Battant sera le premier concerné. Les copropriétés et syndicats seront informés au fur et à mesure de l’arrivée de la fibre au pied des immeubles. Le coût d’installation à l’intérieur de la propriété incombera aux copropriétaires. Une centaine de rues sont visées par ces travaux.
L'interview de la rédaction : Anne Vignot, Maire de Besançon
Inclusion éducative
Dans le cadre de sa politique inclusive, la Ville de Besançon a choisi, en 2025, de participer au financement du dispositif permettant la scolarisation des enfants hospitalisés. Concrètement, elle soutient deux unités d’enseignement : au CHU de Besançon et aux Salins de Bregille. La subvention couvre l’achat de fournitures et l’informatique pour éviter l’interruption scolaire, si l’hospitalisation dure plus de 15 jours. L’éducation nationale dépêche des enseignants sur ces sites. Claudine Caulet, l’élue charge de l’éducation, est au micro de la rédaction.
L'interview de la rédaction :
Investissements de proximité
Lors du prochain Conseil Municipal, la Ville de Besançon validera le programme 2025 des investissements de proximité. Le montant s’élève à plus de 16 millions d’euros. Cela concerne notamment : les bâtiments, l’énergie, la santé, les espaces verts et la biodiversité, les équipements numériques, le parc automobile… . La continuité des travaux de rénovation du tiers lieu jeunesse (190.000 euros), la réfection de la toiture du gymnase de Chateaufarine (250.000 euros), avec, à plus long terme, l’installation de panneaux photovoltaïques, l’amélioration des performances énergétiques des bâtiments publics, la mise en place de tableaux interactifs dans les écoles, la mise en conformité et l’amélioration fonctionnelle du pôle des Tilleuls (100.000 euros) et du Fort de Bregille (240.000 euros), l’installation d’une nouvelle fontaine, en circuit fermé, sur la place Victor Hugo, l’achat de 130 photocopieurs reconditionnés pour les écoles, … font partie des investissement consentis.
Statue de Jenny d’Héricourt
Dans son combat pour la représentation des femmes dans l’espace public, la Ville de Besançon se prépare à accueillir une sculpture de l’artiste Lili Reynaud-Dewar. Le montant s’élève à plus de 103.300 euros. La sculpture, qui formera un groupe de quatre femmes, soudées et volontaires, sera installée Place de la Révolution, en face du musée des Beaux-Arts. Ces quatre bisontines d’aujourd’hui, une sage-femme, une écrivaine, une enseignante et une militante, incarnent « les différentes facettes et les combats de la vie de Jenny d’Héricourt pour le droit des femmes et l’égalité dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’écriture » explique Aline Chassagne, l’élue en charge de la culture
Ce mercredi, la région académique Bourgogne-Franche-Comté organise un séminaire sur le thème de l’Intelligence Artificielle. Ce rendez-vous, qui se tiendra dans les locaux de SupMicrotech-ENSMM à Besançon, s’adresse à tous les personnels pédagogiques et éducatifs intéressés par les enjeux de l’intelligence artificielle. Cette journée proposera notamment une exploration approfondie des usages pédagogiques de l’IA à travers des conférences, tables rondes et ateliers pratiques.
Le 11 février prochain, 115 étudiants franc-comtois participeront aux Négociales, un évènement consacré à la négociation commerciale et ouvert aux élèves de post-bac des filières commerciale, gestion et marketing. Pour la dixième année consécutive, l’UFA Jeanne d’Arc de Pontarlier est centre de qualification. Il s’agit en 2025 de la 36è édition.
Venus de Pontarlier, Champagnole, Besançon, Dole, les participants devront montrer toutes leurs compétences dans les domaines de la vente et de la négociation commerciale. Cet évènement offre une valeur ajoutée significative en termes de reconnaissance professionnelle et d’opportunités de carrière. Grâce à des jeux de rôle, deux dans la journée, les candidats se confrontent à des professionnels. Le jury ne manquera pas de les tester, les déstabiliser et, surtout, d’évaluer leurs savoir-faire et savoir être. Les dix meilleurs décrocheront leur place pour la grande finale nationale, qui se déroulera les 26 et 27 mars prochains à Epinal. Cette année encore, la jeunesse belge et suisse est associée à cet évènement. 6.000 futurs vendeurs et commerciaux seront sur la ligne de départ.
L'interview de la rédaction : Julie Jeangirard, responsable de l’UFA Jeanne d’Arc
De véritables opportunités de carrières
Cette rencontre avec le monde professionnel est un plus indéniable pour ces étudiants qui, pour la plupart, entreront dans la vie active à compter de l’été prochain. Les professionnels montrent d’ailleurs parfois un grand intérêt pour certains profils. Il n’est d’ailleurs par rare que des propositions d’embauche soient formulées à cette occasion. Chaque année, les étudiants de l’UFA Jeanne d’Arc s’illustrent dans cette compétition. L’an dernier, cinq d’entre eux avaient décroché leur billet pour la suite de la compétition. L’un d’eux s’était même payé le luxe de terminer dans le top 100.
L'interview de la rédaction : Julie Jeangirard, responsable de l’UFA Jeanne d’Arc
700 euros, c’est le montant du chèque que deux classes de 5è du collège André Malraux de Pontarlier et leur enseignante Anne Giacoma ont remis, ce matin, à la Croix Rouge de Pontarlier et son représentant M. Claude Brughera, pour venir en aide à la population de Mayotte. Cette opération a vu le jour dans le cadre des cours d’Enseignement Morale et Civique, que la professeure assure.
Touchés par la situation de la population mahoraise, jeunes et adultes ont souhaité lui apporter leur soutien. Cette action de solidarité a également permis de s’intéresser à la situation géopolitique de cette île, violemment touchée par le cyclone Chido. Habituellement, l’établissement scolaire apporte son soutien aux Restos du Cœur, cette année, les images, l’actualité et la pauvreté de ces Français d’Outre-Mer ont provoqué cet élan de générosité et l’envie d’agir.
A Pontarlier, deux classes de 5è du collège André Malraux et Anne Giacoma, leur professeure d’Enseignement Morale et Civique (EMC), remettront un chèque à Claude Brughera, bénévole à la Croix Rouge. Entre le 6 janvier et le 20 janvier, la cinquantaine d’élèves et leur enseignante ont mené une collecte pour Mayotte, après le passage dévastateur du cyclone Chido. Cette opération a permis à ces jeunes élèves d’organiser une opération de solidarité et d’en apprendre beaucoup plus sur cette île.
A Besançon, au lycée Louis Pergaud, pour la deuxième semaine consécutive, les assistants d’éducation poursuivent leur mobilisation. Hier soir, un internat, composé de six dortoirs, a été fermé, impactant environ 180 élèves. Ce jeudi soir, le deuxième internat subira le même sort.
Cela concerne neuf dortoirs et environ 250 élèves. Ces actions s’inscrivent dans le cadre de la mobilisation de l’intersyndicale CGT, FSU et Solidaires. Les grévistes entendent dénoncer la précarité de leurs emplois au sein de l’Education Nationale.
Tout au long de cette journée, neuf établissements scolaires de l’académie participent au Marché de Noël des lycées professionnels, ouvert au seul personnel du Rectorat de Besançon. Venus des quatre coins de la région, ces jeunes présentent le fruit de leur travail et leurs compétences. Les idées cadeaux sont nombreuses. Elles sont nées de l’imagination des lycéens et de leurs professeurs. Au menu : des confections en tissus, en bois, des pâtisseries, … .
L'interview de la rédaction : les jeunes du Lycée Toussaint Louverture de Pontarlier
Les jeunes sont sollicités pour parler de leurs savoir-faire et argumenter sur leurs produits, d’un point de vue pratique, technique ou esthétique. Les sections hôtellerie et menuiserie du lycée Toussaint Louverture de Pontarlier sont venus exposer leurs tables en bois, leurs enceintes passives et portes-téléphones, sortis tout droit des ateliers de l’établissement. La section hôtellerie a choisi de faciliter nos repas de fin d’année, en présentant ses kits SOS cookies et rhum oranger.
Accueillir, conseiller, vendre
Pour les jeunes en formation professionnelle au lycée Tristan Bernard de Besançon, on met en pratique les connaissances transmises. Savoir accueillir les visiteurs, conseiller, argumenter et vendre les produits d’une entreprise partenaire sont les objectifs pédagogiques attendus. Des premières approches encore un peu balbutiantes, mais qui se consolideront grâce aux apprentissages et aux expériences que ces jeunes adolescents appréhenderont et vivront tout au long de leur cursus de formation.
L'interview de la rédaction : les jeunes du Lycée Tristan Bernard de Besançon