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Le taux de réussite, toutes séries confondues, hors agriculture, s’élève à 91,6 % à la session 2023 du baccalauréat. Ce taux diminue de 0,3 point par rapport à celui de la session 2022.

Le baccalauréat général voit son taux de réussite diminuer de 0,2 point, avec 96,2 % d’élèves admis. Les résultats au baccalauréat technologique enregistrent la plus forte baisse à hauteur de 1,8 point, avec 89,3 % d’élèves admis. Le taux de réussite du baccalauréat professionnel augmente de 0,2 point avec 84,6 % d’élèves admis.

La fermeture de l’école maternelle Vannolles suscite des réactions à Pontarlier. Certains regrettent la fermeture, à la rentrée 2024, de l’école la plus ancienne de la ville. Rappelons que depuis la rentrée scolaire 2021, suite à la décision de l’inspection académique du Doubs, le site a perdu une de ses deux classes. 24 enfants, scolarisés dans une classe unique, sont actuellement accueillis. D’autre part, en prenant cette décision, la ville a souhaité combler les salles vides d’autres écoles maternelles pour faire des économies.

Néanmoins, la pilule a du mal à passer. C’est la raison pour laquelle un collectif vient de lancer une pétition en ligne. Pour y participer et la soutenir : https://chng.it/hQRVV5ST

L’information n’est pas passée inaperçue en terre pontissalienne. L’école maternelle Vannolles fermera ses portes lors de la rentrée des classes 2024. Cette décision découle de la baisse démographique générale sur le département du Doubs. La Ville de Pontarlier n’échappe pas à la règle.

La cité du Haut-Doubs  relate que « la situation de l’école Vannolles s’est dégradée, avec le constat d’une baisse régulière des effectifs,  qui a entraîné la fermeture définitive par l’Inspection Académique d’une classe sur les deux existantes à la rentrée 2021 Â». Par ailleurs, d’un point de vue fonctionnel, budgétaire et d’optimisation des moyens, il est apparu que,  dans d’autres  Ã©coles maternelles ( Raymond Faivre et les Pareuses), toutes les salles de maternelle ne sont pas occupées. Ce qui laisse des espaces disponibles.  

24 élèves et trois niveaux différents

Dans ces conditions, la commission Education de la Ville de Pontarlier s’est réunie et a pris ses responsabilités. Plusieurs scénarii ont été ébauchés. Une nouvelle sectorisation a été pensée. Ce qui conduit à une fermeture de cette école, en septembre 2024,  et au maintien des moyens existants ailleurs. Depuis la dernière décision de l’Education nationale, l’école Vannolles accueille 24 enfants, répartis en trois niveaux, dans une classe unique.

Le Rectorat de Besançon indique que le taux de réussite des élèves admis à l’issue du premier groupe, toutes séries de baccalauréat confondues, s’élève à 85,2 % à la session 2023 dans l’académie. Ce taux est en baisse de 1,3 point par rapport à la session 2022.

Le taux de réussite du baccalauréat général reste stable à 91,4 %. Les baccalauréats technologique et professionnel voient leurs taux de réussite diminuer avec, respectivement, 76,8 % et 79,5 % d’élèves admis à l’issue du 1er groupe.

Ce mardi matin, 200 enfants et adultes se sont rassemblés devant l’école primaire de Frasne pour dénoncer la fermeture d’une classe à la rentrée prochaine. Actuellement, avec 125 élèves, l’école compte six classes. En septembre, malgré un nombre d’enfants en augmentation, elle ne devrait en compter plus que cinq, dont trois en double niveau. Pour les parents, les nouvelles constructions en cours ou sur le point d’être finalisées vont accueillir de nouvelles familles qui, indéniablement, viendront enrichir les effectifs de l’école.

Le collectif s’interroge quant à la qualité de l’enseignement qui sera dispensé. Il voit un nombre d’enfants de plus en plus nombreux dans les salles de classes, déjà bien remplies. Les parents aimeraient une autre prise en charge de leurs enfants scolarisés en CP. Ils veulent, comme c’est le cas en zone urbaine, qu’un dédoublement de  ce niveau, composé de 24 jeunes, soit mis en place.

 frasne

Ce matin, les représentants des familles ont bloqué l’entrée de l’école. Une visioconférence est prévue ce soir avec le directeur de l’Inspection Académique, le Maire de la commune et des parents d’élèves. Tout le monde espère une issue favorable. La réponse définitive devrait être connue en août prochain.

Même si beaucoup de jeunes connaissent déjà l’issue de cette année scolaire, ce mardi, les 718.723 candidats au baccalauréat seront fixés sur leur sort. La nouvelle réforme de l’examen a quelque peu modifié la temporalité de la proclamation des résultats finaux. L’an dernier, le taux réussite à l’examen avait légèrement diminué pour éteindre un taux de 91%. Soit 96% de réussite dans la voie générale, 90,4% en filière technologique et 82,2% en filière professionnelle.

Au lycée Tristan Bernard, la visite de la Rectrice, ce mardi 13 juin, n’est pas parvenue à rassurer le corps enseignant. Les inquiétudes concernant la réforme des lycées professionnels et son impact sur l’activité et la pérennité de l’établissement scolaire, qui pourrait perdre une grande partie de ses formations, demeurent. Face à cette situation et devant la détresse et les inquiétudes des enseignants, un courrier a également été envoyé à la médecine de prévention du Rectorat de Besançon.

C’est le genre d’initiatives qui fait débat et qui divise. Elle interroge sur son fonctionnement et ce qu’elle apporte à cette classe d’âge. Certains y dénoncent un embrigadement et la participation de l’Education Nationale. Des violences de toutes formes, émanant parfois d’encadrants,  ont été recensées lors de ces rassemblements.

Depuis dimanche, 126 jeunes, âgés de 15 à 17 ans, originaires de Côte-d’Or, du Haut-Rhin, de Meurthe-et-Moselle, de Guadeloupe et du Doubs participent, à Dannemarie-sur-Crête,  Ã  un stage de 12 jours dans le cadre du Service National Universel ( SNU), qu’Emmanuel Macron entend généraliser à toute cette génération.

Lever des couleurs, chant de l’hymne national, activités sportives, ateliers de sensibilisation, … sont au programme de ces journées, dont le coût, dans un contexte  socio-économique difficile, interpelle.

A l’occasion de ses 600 ans, qu’elle fête cette année, l’université de Franche-Comté lance une série inédite de podcasts. Tous les premiers jeudis du mois, de juin à septembre, les auditeurs du « Podcast de l’université Â» vont voyager à travers les siècles pour découvrir son histoire.

Quatre créations seront proposées d’ici l’automne prochain. Elles dévoileront les six siècles d’histoire de l’université au travers de paroles d’experts et de passionnés. L’animation de ces podcasts a été confiée à deux étudiants d’histoire. Pour retrouver ces productions en ligne : https://smartlink.ausha.co/lepodcastdeluniversite/10-600-ans-d-histoire-s-a-raconter-chapitre-1-la-genese-de-l-universit

Le projet d’implantation d’une méga-chaufferie dans l’enceinte du lycée Louis Pergaud à Besançon continue de susciter la polémique. Ce jeudi, une nouvelle mobilisation est prévue. Plusieurs actions sont annoncées au sein de l’établissement scolaire.

Les lycéens veulent construire une cheminée pour faire apprécier l’emprise au sol que représentera le nouvel édifice. Un pique-nique revendicatif est également programmé. Par ailleurs, des animations se tiendront autour des jardins en permaculture. Le collectif « Non à la chaufferie dans Pergaud Â» n’a pas dit son dernier mot.