Choix du secteur :
Se connecter :
 

Dans le cadre de leur action de proximité, l’ADIL et le CAUE, regroupés au sein de la Maison de l’habitat du Doubs à Besançon, proposent des permanences dans les locaux de la Communauté de Communes du Val de Morteau. Cet établissement accompagne les particuliers dans leurs projets d’achat, de construction, de rénovation ou d’aménagement intérieur et extérieur. Ils répondent également à toutes les questions juridiques, financières et fiscales liées au logement. Pour de plus informations, n’hésitez pas à contacter la Communauté de Communes du Val de Morteau : cc-valdemorteau.fr ou 03.81.68.56.56

Les oppositions municipales, « Ensemble Bisontins ! Â» et « Besançon Maintenant Â» et leurs chefs de file Laurent Croizier et Ludovic Fagaut dénoncent l’utilisation par la ville de Besançon du magazine d’information municipale, en l’occurrence le N°451, « pour sa propagande Â». Il est dénoncé l’interview d’Anne Vignot, « sur six pages Â», sur la récente loi dite « immigration Â». Les élus exigent « le remboursement de l’intégralité de l’argent public utilisé à des fins de propagande politique personnelle Â». Ils disent avoir « saisi le préfet Â» et étudient « la possibilité de saisir le tribunal administratif Â».

L’info a été officialisée par Gérald Darmanin lors de son déplacement à Besançon. Une nouvelle gendarmerie sortira de terre prochainement à Saône. Cette nouvelle structure hébergera entre 16 et 18 gendarmes, issus de la compagnie de Tarragnoz à Besançon. Pour l’heure, la date précise de ce transfert n’est pas encore connue, mais Benoît Vuillemin, le maire de la commune, espère « la pose de la première pierre, avant la fin de l’année 2025 Â».

Benoît Vuillemin reconnaît la concrétisation d’un  travail de plusieurs années, mené avec son équipe municipale, Jean-François Colombet, l’ancien préfet du Doubs, et le colonel Lionel James, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Doubs. « On est dans le transfert d’une gendarmerie, qui se trouve dans le secteur police. Alors qu’elle est opérationnelle sur l’ensemble des communes du Plateau. Le secteur sud de Grand Besançon Métropole était le seul à ne pas être pourvu de gendarmerie. Vous en avez une, au Nord, à Ecole valentin, à l’Est à Marchaux-Chaudefontaine et à l’Ouest à Saint-Vit. Il était normal que l’on remonte cette gendarmerie de Tarragnoz à Saône Â».

L’emplacement est connu. La nouvelle infrastructure verra le jour  Ã  proximité d’un nouveau quartier et du nouveau pôle multimodal de la commune.

L'interview de la rédaction : Benoît Vuillemin

 

La Ville de Pontarlier vient de décrocher sa 4è arobase pour ses actions dans le domaine du numérique. Ce label a été accordé par l’association Villes Internet, qui vient de fêter le 25è anniversaire de son label. L'application Thelma, le wifi public, les webcams, le numérique dans les écoles, le projet ville intelligente sont autant d'applications, au service des Pontissaliens, qui ont été reconnues.

A Villers-le-Lac, une réunion d’information se tiendra ce jeudi 15 février, à 19h, pour créer un comité de soutien aux époux Faivre. Le rendez-vous est fixé à la salle des fêtes de la commune. Leurs soutiens dénoncent la situation de cette famille, dont, selon eux, les travaux de création d’un lotissement en dessous de leur maison, aux Bassots, a provoqué un glissement de terrain, emportant leur terrain et menaçant leur maison. Ils ont eu 2 heures pour évacuer leur propriété, après 40 ans de présence, sans pouvoir y retourner depuis. Ils vivent actuellement dans un gîte. Il est pointé l’inertie des principaux intervenants dans cette affaire.

La Ville de Besançon indique qu’elle effectuera une demande de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle pour la sécheresse de l’été dernier, début mars. La décision sera connue, par le biais d’un arrêté interministériel publié au journal officiel, dans un délai de trois mois après le dépôt de la demande par la commune. En cas d’accord, les propriétaires touchés par ces désordres disposent de 30 jours, à compter de la publication de l’arrêté, pour les déclarer auprès de leurs assureurs.

Toujours très attaché à préserver son patrimoine, le territoire mortuacien est  Â« candidat à l’inscription au Patrimoine Culturel Immatériel en France de la fête des conscrits de Morteau, au titre des pratiques sociales, rituels et évènements festifs ». Cette fête est très ancrée dans le Val de Morteau. Néanmoins, il a été constaté, depuis plusieurs années, un manque d’intérêt des nouvelles générations. D’où la motivation de se lancer dans l’obtention de ce label, qui donnera un écho, une dimension et une prise de conscience autre à cette tradition locale.  Une Interclasse va être créée pour l’occasion. « On n’a pas envie que cela disparaisse On n’a pas envie non plus de le sanctuariser. On a envie de le sauvegarder Â» explique Martiel Bournel Bosson, cheville ouvrière de cette action.

Les instigateurs de ce projet ont pris attache auprès du ministère de la Culture pour lancer, administrativement, leur candidature.  C’est un long travail de récolte et de mise en forme d’informations qui débute. Il faut avouer qu’avec les deux ouvrages qui ont été rédigés de précieuses informations sont déjà en leur possession. « Il va falloir écrire un mémoire qui regroupe tout ce qui se fait dans cette tradition. Il faudra aller chercher des témoignages audio, vidéo et écrits. Il nous faudra aussi le consentement de l’ensemble des présidents de classe des dernières années, pour montrer qu’il s’agit d’une volonté collective Â» explique Martial Bournel Bosson. Pour les Mortuaciens, l’objectif sera d’obtenir le fameux label d’ici 2 à 3 ans. Les locaux « veulent prendre leur temps et bien faire les choses Â». Il en va de l’inscription de cette belle fête dans l’éternité.

Rendez-vous le 17 février

L’édition 2024 de la fête des conscrits battra son plein ce samedi 17 février, avec la découverte de la mascotte de l’année, qui s’élancera du Mont Vouillot, pour ensuite déambuler en ville tout au long de la journée. Le bonhomme sera enfin mis au feu en place publique dans la soirée, suivi du traditionnel bal monté. La nouvelle génération se prépare depuis de nombreux mois pour faire de cet évènement un temps fort de l’hiver dans le Val de Morteau.

L'interview de la rédaction : Martial Bournel Bosson

Assigné par l’Union Locale CNL de Besançon, Loge.GBM comparaît devant la justice ce mardi 13 février, 9h30, à Besançon. L’association explique que cette démarche résulte «  de l’impossibilité de se faire entendre par le bailleur Â». Le collectif demande que la justice insigne à ce dernier « de tout mettre en Å“uvre pour que les locataires de l’immeuble de la rue de Champagne, dans le quartier Planoise, retrouvent des conditions de vie dignes Â». L’insécurité y règne.

Jeudi dernier, dans le cadre de l’opération « place nette Â», les forces de l’ordre bisontines ont procédé à l’expulsion de 33 squatteurs. de la drogue et des armes lourdes ont été découvertes. Rappelons que l’immeuble en question est amené à être détruit dans le cadre de la réhabilitation du quartier Planoise. Michel Boutonnet de la CNL est au micro de la rédaction.

 

L'interview de la rédaction : Michel Boutonnet

 

C’est un ambition projet immobilier, répondant à plusieurs enjeux qui est sur le point de voir le jour à Pontarlier. Les objectifs sont multiples : répondre à une forte tension locative sur le territoire, renforcer l’attractivité de l’hôpital pontissalien et vendre un bien inoccupé, permettant d’engendrer des recettes, indispensables pour l’avenir.

Inoccupés et représentant une charge financière, les locaux de l’ancien hôpital de Pontarlier  vont subir une cure de jouvence. Les 2.500 m2 de surfaces habitables seront transformés en 52 logements sociaux. 24 logements sont prévus pour accueillir des locataires de plus de 65 ans, quand 28 autres seront destinés aux jeunes actifs de moins de 30 ans, dont la moitié pour le personnel de l’hôpital. Si tout se déroule comme prévu, les travaux pourraient être lancés à la fin de l’année 2025. L’accueil des premiers résidents est programmé pour 2027. « Nous aboutissons à un projet gagnant/gagnant Â» explique Patrick Genre, le Maire de Pontarlier. Et de poursuivre : « L’hôpital va se libérer de charges de fonctionnement importantes. La vente de ce bien assurera également une recette à l’hôpital, qui sera en capacité de proposer une offre de logements pour une partie de ses actifs. C’est un élément d’attractivité pour l’hôpital Â». Enfin, ce projet est intéressant pour la Ville de Pontarlier, qui se dote d’une offre de logements supplémentaires. « Cela va permettre à la ville d’équilibrer son offre de logements en direction des seniors Â» complète l’édile. Rappelons qu’un projet identique s’est développé au sein de l’îlot Saint-Pierre.  

L'interview de la rédaction : Patrick Genre

Extinction de l’offre médicale sur Pontarlier

En parallèle de ce projet, l’hôpital pontissalien va également se restructurer. « Si l’établissement veut tirer son épingle du jeu, il faut qu’il accroisse son activité. Autrement dit, qu’il dispose de mètres carrés supplémentaires Â» explique M. Genre. Ainsi, il est prévu une extension des urgences, avec la construction d’un nouveau bâtiment, au-dessus de la rampe actuelle d’accès aux urgences. Une autre opération va consister « Ã  sortir certains pôles logistiques et  activités Â» du site historique du centre-ville pour les externaliser vers  l’Ehpad de Doubs. « Ces projets ont été retenus dans le Ségur de l’investissement. Dans les dix ans qui viennent, ces trois projets devraient se construire. Ils devraient permettre de donner un nouveau souffle dans l’attractivité de l’hôpital et le développement de ses offres Â» conclut M. Le Maire.

L'interview de la rédaction : Patrick Genre

L’hôpital de Pontarlier : une colonne vertébrale indispensable

En déplacement dans la capitale du Haut-Doubs, et notamment au centre hospitalier, Rémi bastille, le préfet du Doubs, s’est dit « très vigilant Â» sur le fonctionnement de cet hôpital et sa capacité à répondre aux besoins et attentes de la population. « C’est le pôle majeur sur le Haut-Doubs. On ne peut pas envisager de s’en passer. Sa pérennité est essentielle à l’attractivité du territoire. C’est un gros établissement qui concentre une centaine de médecins Â» conclut le représentant de l’état.

L'interview de la rédaction : Rémi Bastille, préfet du Doubs

On a appris ce mercredi après-midi que la Haute Autorité de Santé avait certifié les trois établissements sanitaires et médico-sociaux du Grand Besançon. Le Centre de Long Séjour de Bellevaux a obtenu la mention « Haute qualité de soins Â», avec plus de 99% de satisfaction aux 131 critères évalués. Les centres d’Avanne et des Tilleroyes atteignent respectivement 95 et 93%. L’évaluation, qui s’est déroulée entre mai et juillet dernier,  se décline en trois chapitres que sont : le patient, les équipes de soins et l’établissement et sa gouvernance.