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17 armes (fusils et armes de poings), 7000 munitions et 5 grenades ont été découvertes au domicile d’un habitant de Lons-le-Saunier. Mercredi soir, vers 20h, cet individu, après avoir stationné son véhicule sur le parking de sa résidence, a menacé sa voisine à l’aide de son fusil, tout juste sorti de son coffre. L’ensemble des armes ont fait l’objet d’une mesure conservatoire. Son permis de chasser lui a été retiré. Une interdiction de détenir des armes et des munitions a également été prononcée. L’individu a été placé en garde à vue, avant d’être remis en liberté.

Les quinze arbres remarquables d’Arçon ont été abattues. Une déchirure que ne cache pas l’association Nature et Patrimoine de la commune dans un récent communiqué de presse. Il est expliqué que « l’autorisation de la commune d’Arçon, l’autorisation du préfet du Doubs et le rejet du référé engendrent une déception considérable et une perte irréparable ». Les militants dénoncent une décision contraire « à la nécessité d’adapter nos écosystèmes et nos lieux de vie au changement climatique ». Nostalgiques, ils rappellent qu’il faudra « 150 ans pour retrouver une allée d’arbres de caractère et d’une richesse comparable ».

Après quatre jours d’un procès sous haute surveillance, le tribunal correctionnel de Besançon s’est prononcé concernant le gang « Picardie » de Planoise. Les juges sont restés proches des réquisitons prononcées par le ministère public, en condamnant les membres de ce clan, impliqués dans les violences et le trafic de stupéfiants, à des peines allant de 1 à 10 ans de prison. En cavale, le chef présumé écope de la plus lourde peine. S’ils ont majoritairement reconnu prendre part au trafic de produits stupéfiants, les délinquants ont été moins loquaces sur les conversations cryptées, récupérées par les enquêteurs au cours de l’instruction.

L'ancien anesthésiste Frédéric Péchier, accusé d’avoir empoisonné une trentaine de patients, était interrogé une nouvelle fois ce mercredi au tribunal de Besançon. Comme il y a deux semaines, il a préféré garder le silence. Le Dr Péchier a été mis en examen pour trois autres cas supplémentaires, portant à 29 le nombre de cas pour lesquels il est soupçonné. Sur ces trois nouveaux cas, deux sont mortels, a indiqué le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux. Ses avocats ont déposé une demande de récusation de la juge instruisant le dossier.

Ce lundi 20 mars s’ouvrait à Besançon le procès du clan "Picardie", regroupant des acteurs du trafic de drogue dans le quartier de Planoise. Il s’agit de la deuxième bande impliquée dans les violences survenues dans ce quartier bisontin ces dernières années, gravitant essentiellement autour du trafic de stupéfiants. Le premier clan, dit « de la Tour » a été jugé en juin, conduisant notamment à des peines de 10 ans d’emprisonnement pour les leaders de cette association de malfaiteurs. La bande rivale répondait cette semaine de ses actes devant le tribunal, pour trafic de drogue, association de malfaiteurs et violences aggravées avec armes.

Sur les neuf prévenus soupçonnés d'être des membres actifs du clan "Picardie" et de s'adonner au trafic de stupéfiants, six sont présents à cette audience. Alexandra Chaumet, la procureure pour le ministère public, a prononcé ses réquisitions ce mercredi matin. En détaillant les rôles présumés de chaque prévenu : la tête pensante et donneur d'ordre Mohamed M., les bras droits Melk G. et Elias B., et les six autres qui auraient effectué la logistique ou géré les différents points de deal en menant de violentes actions de représailles. L'ensemble des prévenus, sauf un qui admet avoir conduit un scooter lors d'une fusillade, nient être impliqués dans les violences. Le minisitère public a requis les peines de :

 

- 15 ans d'emprisonnement pour le chef présumé du clan "Picardie" Mohamed M.

- 10 ans d'emprisonnement pour ses bras-droits présumés Melk G. et Elias B.

- 9 ans d'emprisonnement pour Nadjib Z., gérant présumé de points de deal

- 5 ans d'emprisonnement pour Samir O., gérant présumé de points de deal

- 4 ans d'emprisonnement pour Samy K., en fuite, et Mamadouba T., soupçonné d'être le collecteur d'argent et de drogue

- 3 ans d'emprisonnement pour Ousmane L., dont le rôle hiérarchique est moins élevé selon le ministère public

- 1 an d'emprisonnement pour Bassir B., qui aurait joué selon la justice un rôle moins important que les autres prévénus dans l'organisation du trafic de drogue du clan "Picardie"

 

La garde à vue d’un homme de 34 ans a été prolongée à Besançon. Il est toujours au commissariat de police ce matin. Dimanche, vers 20h, il a été interpellé sur un point de deal, situé rue de Cologne, dans le quartier Planoise. Il avait dernièrement été interpellé pour les mêmes faits. Sur lui, les forces de l’ordre ont découvert 19 grammes de cocaïne et 180 euros. Il a reconnu les faits au cours de son audition.

Ce mardi matin, la garde à vue d’un homme de 40 ans a été prolongée à Besançon. Dans la nuit de dimanche à lundi, cet automobiliste a refusé de se soumettre à un contrôle routier. Il a finalement été appréhendé sur le territoire de la commune de Rancenay. Son interpellation a été compliquée.

Il présentait un taux de 1,3 gramme d’alcool par litre de sang. Il a été placé en garde à vue avec notification des droits différée. Entendu après sa période de dégrisement, il a reconnu l’ensemble des faits qui lui sont reprochés.

Ce lundi 20 mars, sous haute protection policière, s’ouvrait à Besançon le procès du clan de "Picardie", la deuxième bande de Planoise impliquée dans les violences survenues ces dernières années sur fond de trafic de stupéfiants. Huit individus doivent être jugés. Pour rappel, la première bande, dite « de la Tour » a été jugée en juin dernier, conduisant notamment à des peines de 10 ans d’emprisonnement pour les leaders de cette association de malfaiteurs.

Gyrophares allumés, sirènes hurlantes, vitres teintées, trois véhicules sont arrivés ce lundi matin au tribunal de Besançon. Des équipes de sécurité pénitentiaire lourdement armées et des policiers en civil ont veillé au bon déroulement des opérations. Le quartier a été en partie bloqué et l’accès au tribunal particulièrement surveillé. Sur les neufs prévenus, six étaient présents en ce 1er jour de ce procès. Deux sont actuellement en fuite, dont le donneur d’ordre, le meneur de ce clan. Sur les six prévenus présents, cinq sont actuellement en détention provisoire. Quelques tensions ont animé le début de ce procès avec des insultes entre ces individus, rapidement rappelés à l’ordre par la présidente de la cour. Trois d’entre eux ont ensuite été appelés à la barre ce lundi pour être questionnés sur leurs rôle et leurs agissements. Les autres devraient suivre ce mardi à partir de 9h. Ce procès d’ampleur s’étendra jusqu’à jeudi et devrait connaître son épilogue en fin d’après-midi.

Ce lundi 20 mars s’ouvrait à Besançon le procès du clan "Norma", regroupant des acteurs du trafic de drogue dans le quartier de Planoise. Il s’agit de la deuxième bande impliquée dans les violences survenues dans ce quartier bisontin ces dernières années, gravitant essentiellement autour du trafic de stupéfiants. La première bande, dit « de la Tour » a été jugée en juin, conduisant notamment à des peines de 10 ans d’emprisonnement pour les leader de cette association de malfaiteurs. Ce procès d’ampleur devrait durer quatre jours et huit individus doivent être jugés.

Un second acte et un procès d’exception

Jusqu’à jeudi, le palais de justice sera placé sous une surveillance policière accrue, afin que le clan « Norma », la bande rivale, réponde de ses actes devant le tribunal, pour trafic de drogue, association de malfaiteurs et violences aggravées avec armes. « Un procès d’exception » selon Etienne Manteaux, le procureur de la République de Besançon. En effet, la justice va exposer des conversations cryptées entre ces dealers présumés, fruit d’un décodage massif de messages PGP, réputés comme inviolables. Huit individus doivent être jugés. Un seul d’entre eux manque encore à l'appel, le présumé leader de la bande. Visé par un mandat d'arrêt, il est toujours recherché par les enquêteurs, et a pour l’instant réussi à passer entre les mailles du filet.

Un jeune automobiliste de 21ans a été interpellé dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1h du matin. Lors du contrôle, il est apparu qu’il conduisait avec un taux de 1,5 gramme d’alcool dans le sang. Il n’était également pas titulaire du permis de conduire. Conduit au commissariat, vu son état, il a été placé en garde à vue avec notification des droits différée.