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Ce mercredi, à Besançon, l’Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués, l’agrasc, organisait une vente aux enchères de 162 montres de luxe, confisquées aux délinquants et criminels partout en France. Cette agence est notamment chargée de gérer les biens confisqués au nom du procureur de la République. Le montant de la vente bisontine s’élève à 1,5 millions d’euros, qui sont reversés à l’état. Cette opération avait un intérêt tout particulier parce qu’il s’agissait de la vente de rolex la plus importante de l’année. L’enchère la plus haute a atteint 81.200 euros.

« Toutes ces montres ont été saisies ou confisquées à des personnes qui ont commis ou suspectées d’avoir commis des infractions » explique Mme Hautemanière, cheffe du département mobilier de l’agrasc. Et de poursuivre : « Ces infractions  concentrent des faits d’escroquerie, de blanchiment, du trafic de stupéfiants, d’or, … . L’agrasc intervient soit pendant l’enquête, soit après décision définitive pour valoriser ces biens ».

Après une matinée, durant laquelle chacun a pu prendre connaissance des différents produits présentées, la vente aux enchères s’est tenue l’après-midi. Cette dernière s’est déroulée en présentiel, mais également en distanciel. Ce qui a permis à un très large public, composé de connaisseurs et de collectionneurs, de participer à cet évènement.

L'interview de la rédaction : Mme Huatemaître, cheffe du département de l'agrasc

 

Un pontissalien de 56 ans s’est fait piéger sur internet par l’association « d’Argus », qui s’est fixée comme mission de repérer les pédophiles sur la toile. Cet individu, croyant échanger avec un mineur, discutait avec un membre de ce collectif. Le quinquagénaire a été interpellé sur son lieu de travail mardi par la police nationale.

Au cours de son audition, il a reconnu les faits, expliquant qu’il compensait ainsi une absence de relation sexuelle. Selon lui, il ne serait jamais passé à l’acte. Les perquisitions menées n’ont rien donné, tout comme les regards portés sur son téléphone portable et ses outils informatiques. Le mis en cause devra s’expliquer devant la justice. Il devra également se soigner.

Ce mercredi, lors du 3è jour de son procès en appel, le Chilien Nicolas Zepeda, l’assassin présumé de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, en décembre 2016, à Besançon,  a reconnu avoir menti devant la cour d’assises de Haute-Saône. Pour la première fois depuis son périple judiciaire, il a admis s’être rendu dans la résidence de l’étudiante le soir de sa disparition. Les commentateurs y voient une avancée majeure. Le procès se poursuit, jusqu’au 22 décembre prochain, à Vesoul.

Un homme de 30 ans devra s’expliquer devant la justice. Il est soupçonné d’avoir commis des violences sur son ex-compagne à Pontarlier. Après les faits, confirmés par la victime, ce dernier est parvenu à prendre la fuite. Il a été interpellé plus tard par les forces de l’ordre. Alors qu’il s’était positionné devant le domicile de sa jeune victime, âgée de 21 ans.

Un homme de 59 ans a été présenté à la justice ce mardi  pour conduite sous l’effet de l’alcool et sans assurance en état de récidive. Le quinquagénaire conduisait une voiture sans permis. Il a été intercepté le 2 décembre dernier à Pontarlier. Il présentait un taux de 1,2 gramme d’alcool par litre de sang. Il devra s’expliquer prochainement devant la justice, après reconnaissance préalable de culpabilité.

Alors qu’une deuxième journée de procès débute ce mardi matin pour Nicolas Zepeda devant la cour d’assises de Haute-Saône. Le meurtrier présumé de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, en décembre 2016, à Besançon, a clamé de nouveau son innocence hier. « Je conteste avec toutes mes forces les faits qui me sont reprochés » a-t-il déclaré. Son père et sa mère se sont également exprimés devant la cour d’assises. Humberto Zepeda a exprimé le souhait de voir son fils être innocenté le 22 décembre prochain.

 

Le palais de justice de Lons-le-Saunier va déménager. Une réunion importante s’est dernièrement tenue au sein du nouveau site Anne Frank en présence des acteurs concernés. Avec l’arrivée de nouveaux renforts ( magistrats, greffiers et attachés de justice), l’actuel site de la rue Pasteur n’est plus adapté. Le coût du chantier s’élève à 10 millions d’euros.

Dernièrement, dans un communiqué de presse, la députée jurassienne Danièle Brulebois a confirmé que ce projet allait bénéficier « de financements dans le cadre de la loi de la nouvelle programmation judiciaire 2018-2022 ». Le dossier suit son cheminement administratif. La Ville de Lons doit notamment prochainement délibérer sur la vente de ce bien à l’état, pour un coût de 1,2 million d’euros.

Ce lundi 4 décembre débute, à Vesoul, le procès en appel de Nicolas Zepeda, âgé de 32 ans. Il est le tueur présumé de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, dont le corps n’a jamais été retrouvé. Les faits remontent en décembre 2016 à Besançon. Lors de son premier procès, le Chilien avait été condamné à 28 ans de réclusion criminelle.

Le premier procès en appel n’avait tenu que quelques heures. Le prévenu ayant décidé de récuser un de ses conseils. Deux semaines avant ce rendez-vous de décembre, Zepeda a de nouveau changé d’avocat. Cette fois-ci, il sera défendu par Maîtres Renaud Portejoie, du barreau de Clermont Ferrand, et Sylvain Cormier, du barreau de Lyon. La fin de ce nouvel épisode judiciaire est prévue le 22 décembre prochain.

Durant deux jours, les 28 et 29 novembre derniers, le docteur Frédéric Péchier a répondu à un interrogatoire du magistrat instructeur. Contrairement aux précédentes convocations, le mis en examen a répondu à toutes les questions qui lui étaient posées, aux côtés de deux de ses trois conseils.

Ce vendredi après-midi, au cours d’une conférence de presse, Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon, a expliqué que Frédéric Péchier a reconnu l’empoisonnement du 20 janvier 2017. Il a reconnu la présence d’anesthésiques locaux dans la poche de paracétamol qui devait être administrée à son patient. « Un anesthésique local non utilisé dans le processus anesthésique ».

"Un pacte anti-Péchier"

Rappelons que l’anesthésiste bisontin est mis en examen pour 30 faits d’empoisonnement, dont 12 mortels. Outre l’empoisonnement reconnu, Frédéric Péchier explique que les autres faits, qui lui sont imputés, ont deux causes principales : des erreurs médicales, liées à des intoxications médicamenteuses, et d’autres phénomènes, comme un stress cardiaque, des crises d’épilepsie, des embolies pulmonaires…  . Frédéric Péchier a contesté les conclusions des experts. Il a dénoncé « un pacte anti-Péchier » au sein de la clinique Saint-Vincent et de la Polyclinique de Franche-Comté. Selon lui, on essaie de lui « faire porter le chapeau. Plutôt que d’admettre les dysfonctionnements dans la façon de travailler de ces établissements ». Il a également évoqué des stratagèmes et des théories pour « tout imputer à Péchier », déployés par les enquêteurs, le magistrat instructeur et les derniers experts. Suite à ces derniers propos, quelques vérifications ont été demandées par le magistrat instructeur. Etienne Manteaux évoque « une fin prochaine de la procédure judiciaire en cours ».

L'interview de la rédaction / Etienne Manteaux

 

En appel, dans le procès Bygmalion, un an de prison avec sursis a été requis contre Nicolas Sarkozy. En première instance, il avait été condamné, en septembre 2021, à un an de prison ferme. Cette condamnation porte sur les dépenses excessives liées à sa campagne présidentielle de 2012. Elles avaient atteint 43 millions d’euros, alors que le plafond autorisé était de 22,5 millions d’euros. Selon la justice, Nicolas Sarkozy n’est pas à l’origine du système mis en place. Il n’en aurait pas été informé également.


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