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Trois jeunes hommes, âgés de 22, 18 et 16 ans, originaires du Doubs et du Jura, devront s’expliquer devant la justice. Le mineur sera présenté devant le juge des enfants. Dimanche, vers 18h, rue de Champagne, dans le quartier Planoise à Besançon, ils ont été interpellés dans une voiture en stationnement.

Lors des palpations d’usage, les policiers ont découvert :  5.185 euros, 147 grammes de résine de cannabis, 12 grammes d’herbe de cannabis, une balance et des sachets zippables, détenus par l’ensemble des individus. Les trois jeunes hommes ont fini par reconnaître les faits. Deux d’entre eux, reconnaissant s’approvisionner, depuis 4 ans à Besançon, et revendre la drogue dans leurs villages.

Une femme de 33 ans et un homme de 21 ans s’expliqueront en juin prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Le 11 février dernier, à hauteur du parc de jeux de la rue du piémont, dans le quartier Planoise, à l’issue d’une transaction, la trentenaire a été interpellée en possession d’une dose de cocaïne, qu’elle venait de se procurer pour 30 euros. Le vendeur présumé disposait d’une somme de 85 euros. Lors de son audition, ce dernier a reconnu consommer des produits stupéfiants, mais réfute le trafic qui lui est reproché.

Un homme, âgé de 37 ans, comparaîtra en septembre prochain devant la justice. Samedi dernier, les agents de sécurité des Galeries Lafayette ont retrouvé sur lui la marchandise qu’il avait tenté de dérober. Le montant du préjudice s’élève à 330 euros.

L’individu, alcoolisé, était très agité. Il aurait donné un coup de pied aux vigiles. Lors de son audition au commissariat, après avoir été placé en garde à vue avec droits différés, il a reconnu le vol, mais a nié les violences qui lui sont reprochées.


Le tribunal administratif de Besançon a rendu sa décision concernant la démarche de l’association « One Voice Â» qui contestait, devant la juridiction, six autorisations de tirs de défense, accordées à des agriculteurs, par la préfecture du Jura. Selon la justice, « il n’y a pas d’urgence à suspendre ces arrêtés préfectoraux Â». L’association avait choisi la procédure d’urgence pour contester la mesure préfectorale. L’affaire avait été présentée ce mercredi devant l’instance bisontine.

Dans l’affaire de ces deux salariées du secteur médico-social de l’APEI de Lons-le-saunier, qui avaient été réintégrées par les prudhommes seize mois après leur suspension pour ne pas être vaccinées contre le covid 19, on a appris ce vendredi que leur employeur faisait appel de cette décision. Les prudhommes se sont appuyés sur « l’article 8 de la  convention européenne des droits de l’Homme et des libertés fondamentales Â» pour rendre leur décision.

Une audience devait se tenir ce jeudi matin, à 10h, au tribunal administratif de Besançon  pour dénoncer les six arrêtés préfectoraux pris dans le Jura pour autoriser des agriculteurs à effectuer des tirs de défense, pouvant être létaux, en direction du loup. Cette démarche en justice est à l’initiative de l’association One Voice qui demande la suspension et l’annulation de ces arrêtés. La décision sera rendue d’ici la fin de semaine.

Les policiers pontissaliens ont découvert que le jeune homme, qu’ils avaient convoqué pour une autre affaire, était impliqué dans un délit familial. Agé d’une vingtaine, il aurait volé le chéquier de son père et utilisé 17 chèques pour un montant de 1.100 euros. Son paternel a déposé plainte. Le mis en cause a été placé en garde à vue. Il a reconnu les faits. La justice lui ordonne de rembourser sa victime. Sans quoi d’autres poursuites seront engagées.

Un homme sera présenté ce mercredi devant la justice. Lundi, une femme a déposé plainte au commissariat de police de Pontarlier après des dégradations et des menaces de mort commises et proférées par son compagnon. Convoqué ce mardi, l’homme a été placé en garde à vue. Il nie avoir commis des violences physiques. Il ne supporterait pas la procédure de séparation en cours.

Un jeune homme de 20 ans devra s’expliquer en juin prochain devant la justice. Lors d’un contrôle, mené le 4 février dernier, rue de Cologne, dans le quartier Planoise, à Besançon, il a été trouvé en possession de 4,5 grammes d’héroïne. Il est également apparu qu’ils  faisait partie d’un réseau de revente de stupéfiants.  Durant sa garde à vue, il a, dans un premier temps, expliqué aux policiers faire le guetteur et gagner entre 50 et 60 euros par jour, avant de se rétracter.

Un jeune conducteur de 20 ans est actuellement en garde à vue au commissariat de police de Besançon. Dimanche après-midi, alors qu’il faisait du rodéo,  rue de Chalezeule, il a été interpellé. Alors que son acolyte parvenait à prendre la fuite, ce dernier n’est pas parvenu à relancer le moteur de son deux roues. Ce qui a permis aux policiers de le mettre hors d’état de nuire. Après les vérifications d’usage, il est apparu que le véhicule avait été volé le 29 janvier dernier.