Un homme de 24 ans devra s’expliquer prochainement devant la justice. Dimanche soir, vers 22h45, à Besançon, Boulevard Kennedy, les policiers ont constaté ce véhicule, roulant à vive allure. Lors du contrôle, il est apparu que le conducteur conduisait alors que son permis de conduire avait été annulé pour solde de points nul. La voiture n’était également pas assurée. Cette dernière a été saisie. Le chauffard sera reconvoqué ultérieurement.
Une jeune femme de 18 ans devra s’expliquer en juin prochain devant la justice. Le 31 octobre dernier, à Besançon, dans le quartier de Planoise, alors qu’elle effectuait des allers-retours suspects, une patrouille de police effectua un contrôle, sous couvert d’une réquisition du procureur de la République. Elle était trouvée en possession de 13 grammes d’héroïne en bonbonne, qu’elle disait vendre pour rembourser une dette. Elle a été placée en garde à vue. Au cours de son audition, elle a reconnu les faits.
Le 29 octobre dernier, trois individus, âgés 22, 24 et 27 ans, ont été interpellés sur un point de deal bien connu et un appartement voisin. Sur l’un d’eux, les policiers ont mis la main sur 75 grammes de résine de cannabis et 55 euros. Dans l’appartement, occupé par un homme de 27 ans et une femme de 24 ans, il était découvert un pistolet gomme-cogne à deux coups et ses cartouches, près de 3,5 kilos de résine de cannabis, 150 grammes d’herbe de cannabis, 300 g de cocaïne et plus de 5.000 euros en numéraire.
Les garde à vue des trois suspects ont été levées le 31 octobre. La jeune femme était libérée après s'être vu notifier une ordonnance pénale. Les deux hommes ont été déférés au tribunal bisontin ce jeudi 31 octobre, en vue de leur comparution immédiate ce lundi 4 novembre.
Deux hommes, âgés de 27 et 21 ans, ont été présentés à la justice ce jeudi après-midi. Dans la nuit du 22 au 23 octobre, avenue du Maréchal Foch, à Besançon, ils ont dérobé un camion dans la cour d’un office notarial en travaux. Fortement alcoolisés, ils ont enfoncé le portail et dégradé une barrière du parking des Glacis.
L’exploitation des images de la vidéosurveillance et l’audition du propriétaire du camion ont permis d’identifier les auteurs. Ces derniers ont été placés en gade à vue le 30 octobre. Lors de leurs auditions, les deux hommes ont reconnu les faits. Ils se seraient rendus à Belfort pour vendre le camion sur un camp des gens du voyage à Héricourt pour la somme de 50 euros. Le camion n’a toujours pas été retrouvé ce jour.
Un SDF de 24 ans a été présenté ce jeudi après-midi au Parquet de Besançon pour « violation de domicile » et « abus de de faiblesse ». Lorsque les policiers sont intervenus, il occupait le domicile d’une personne, placée sous curatelle, qui ne souhaitait pas sa présence. Les faits ont été constatés rue des Cras, à Besançon.
L’homme avait pris possession des lieux depuis au moins trois nuits. C’est le curateur de la victime qui a alerté les policiers. Ce dernier devrait déposer plainte également pour des faits de vol et l’utilisation d’un moyen de paiement, en l’occurrence d’un chèque, dérobé à la victime.
Le suspect a été interpellé et placé en garde à vue sans difficulté. L'enquête établissait que le suspect avait rempli à son profit un chèque du chéquier de la victime, puis avait fait signer cette dernière ensuite. Le mis en cause nie toute volonté d'abuser de la faiblesse de la victime.
Un homme de 49 ans devra s’expliquer le 7 janvier prochain devant le Délégué du Procureur de la République. Le 28 octobre dernier, lors d’un contrôle, mené avenue du 8 mai 45 à Besançon, il est apparu que ce conducteur se trouvait en défaut de permis de conduire.
Les investigations ont permis d’établir qu’il avait donné l’identité de son frère aux policiers pour échapper à d’éventuelles poursuites. Lors de son audition, il a reconnu l’intégralité des faits qui lui étaient reprochés. Sa garde à vue a pris fin le lendemain matin.
Une automobiliste de 36 ans s’est vu notifier une ordonnance pénale pour le 3 décembre prochain. Le 26 octobre, vers 5h30, à Besançon, rue Siffert, elle se trouvait à proximité de son véhicule accidenté. Ce dernier figurait sur le toit. La patrouille constata également qu’unfeu tricolore avait été dégradé au cours de l’accident. La jeune femme n’était pas blessée. Mais un taux de près de 2 grammes d’alcool dans le sang était relevé. Etendue après dégrisement, elle a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Sa garde à vue a été levée le lendemain à la même heure.
Un homme de 40 ans est toujours en garde à vue ce jeudi matin à Besançon. La veille, vers 16h30, lors d’un contrôle, il est apparu qu’il faisait l’objet d’une suspension de son permis de conduire. Le test d’alcoolémie s’est également révélé positif. Il présentait un taux de 1,3 gramme d’alcool dans le sang.
François Molins, ancien procureur général, près de la cour de cassation, et parrain de la première promotion du master en droit pénal et sciences criminelles de l’université de Franche-Comté rencontrera, ce jeudi après-midi, des étudiants. Le Master Droit pénal et sciences criminelles a pour objet de former ses étudiants à un haut niveau de compétences en matière pénale et en sciences criminelles. Le programme prépare les étudiants à toutes les professions du monde judiciaire et para judiciaire en lien avec la matière pénale
Depuis septembre 2024, les patients, dont la vie n’est plus la même après des opérations des hémorroïdes compliquées, ont créé l’association Fleur de Lotus. Depuis la justice est passée par là . Le chirurgien en question, le docteur Luc Clemens, urologue de formation, a été mis en examen pour blessures involontaires sur 37 patients. Cette personne, pour l’heure, ne peut plus exercer.
L'interview de la rédaction : Sophie Ferrer
Des dizaines de demandes d’adhésion
Depuis la médiatisation de la création de cette association, les instigateurs ne cessent de recevoir des demandes d’adhésion. Ils sont près d’une centaine à avoir fait la démarche. Tous sont des patients du praticien, qui vivent, depuis leur prise en charge, un véritable calvaire. Les conséquences sont à la fois médicales et sociales : Incontinences, maux divers, désocialisation, licenciement, arrêt de travail, …. . Dans leur douleur, ces hommes et ces femmes trouvent en cette association un moyen d’expression, d’échange et de rompre avec un isolement, que leur situation personnelle a engendré. Pour certains, l’intervention chirurgicale remonte à 2016. Pour d’autres, elle s’est déroulée en cette année 2024.
L'interview de la rédaction : Sophie Ferrer
Une cagnotte leetchi
Pour récolter des fonds pour payer les frais d’avocat, le collectif vient de lancer une cagnotte sur le réseau social leetchi. Pour contacter l’association et aider ses adhérents dans le long combat judiciaire qui les attend : https://www.leetchi.com/fr/c/des-corps-et-des-ames-meurtris-suite-a-chirurgie-abusive-et-ratee-3638492 . Il est également possible de contacter l’association, via l’adresse mail suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.