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Nicolas Zepeda, le tueur présumé de l’étudiante japonaise Narumi Kurosaki, a fait l’objet d’une nouvelle expertise psychiatrique. Celle-ci a été réalisée lundi à la maison d’arrêt d’Orléans-Saran. Les conclusions seront versées au dossier. Rappelons que le prochain procès du chilien se tiendra du 4 au 20 décembre à Vesoul. En février dernier, Zepeda, à la surprise générale, avait récusé son avocat, provoquant le renvoi du procès en cours.

L’iPhone 12, sorti en 2020, doit être retiré de la vente en France. La décision provient de l’agence nationale des fréquences (ANFR). Pour l’autorité, l’appareil présente un dépassement des valeurs limites sur les ondes électromagnétiques émises et absorbées par le corps humain. Le communiqué précise qu’Apple doit « mettre en Å“uvre tous les moyens disponibles pour remédier rapidement à ce dysfonctionnement. A défaut, il (lui) appartiendra de rappeler les exemplaires déjà vendus Â».  Le géant américain prévoit de contester les conclusions de l’agence.

C’est le message qu’a souhaité faire passer hier Yves Cellier, le directeur  départemental de la sécurité publique du Doubs. Invité par le Procurer de la république de Besançon à faire le point sur l’interpellation d’un adolescent de 17 ans, qui a cru bon se faire justice lui-même  dans le cadre d’une enquête sur la fugue de sa petite sÅ“ur de 12 ans à Besançon, le policier a expliqué que les forces ont du gérer l’interventionnisme déplacé de badauds ce jour-là, rue de Dole.

Plusieurs personnes, sans connaître l’auteur, ni les raisons de son interpellation, se sont manifestées, en s’opposant physiquement à la patrouille dépêchée sur place.  Â« C’est un phénomène plutôt nouveau à Besançon, même s’il ne l’est pas partout sur le territoire national Â» explique M. Cellier. Et de compléter : «  Le citoyen n’a pas a jugé la manière dont on intervient. Il n’a pas à intervenir dans les opérations qui sont menées sur voie publique. S’il y a des erreurs, ce qui peut être le cas, c’est à l’autorité judiciaire et à l’autorité administrative  d’en juger Â».

M. Cellier demande de la citoyenneté. « Ces opérations sont justifiées. Lorsque la force doit être utilisée, elle est le plus souvent justifiée également Â» conclut le directeur départemental de la sécurité publique du Doubs. Le policier ne cache pas son inquiétude sur ce point. « Les policiers ont besoin du soutien de leurs concitoyens Â» conclut-il.

L'interview de la rédaction : Yves Cellier, directeur départemental de la sécurité publique

 

Un homme de 35 ans a été placé en garde à vue à Besançon. Mardi soir, il s’est introduit illégalement dans un appartement, situé rue de Pontarlier,  Ã  Besançon. Sous l’effet de l’alcool, l’individu a reconnu être entré de force dans cet endroit pour y récupérer des affaires personnelles. Lors de son audition, après complet dégrisement, le trentenaire expliqua qu’il s’agissait d’un squat pour SDF. Selon ses dires, les dégradations constatées étaient antérieures à sa venue. Les recherches pour identifier un éventuel locataire ou propriétaire sont vaines ce mercredi matin.

Un drame s’est produit le 2 septembre dernier dans le secteur de Valdahon dans le milieu homosexuel. Une affaire de chemsex est actuellement instruite par la justice. Une enquête  pour homicide involontaire a été ouverte. Elle fait suite au décès d’un homme qui a perdu la vie après avoir ingéré des produits stupéfiants pour améliorer sa performance sexuelle. C’est son partenaire qui a donné l’alerte. Aucune trace de coups n’a été retrouvé sur le corps de la victime, âgée de 44 ans. Des points d’injection ont été constatés lors de l’autopsie. Durant cette nuit, le quadragénaire se serait administré deux injections.

C’est apparemment la victime qui s’est présentée au domicile de son compagnon avec de la drogue, en l’occurrence de la 3-MMC, un excitant, qui modifie également la perception de la réalité. Prise en très grande quantité, elle peut tuer son consommateur. Etienne Manteaux, le Procureur de la République de Besançon tire la sonnette d’alarme. Il constate une augmentation de ces pratiques sexuelles sous l’effet de drogue. Le partenaire de la victime a été entendu. Pour l’heure, il ne fait l’objet d’aucune poursuite. Il a été laissé libre. L’enquête se poursuit avec deux objectifs ciblés : déterminer tous les produits chimiques qui ont été absorbés par le défunt et savoir d’où proviennent les produits consommés.

L'interview de la rédaction : Etienne Manteaux, procureur de la république de Besançon

 

Un homme d’une soixantaine d’années a dû répondre de son délit au commissariat de police de Pontarlier. Il est soupçonné d’avoir utilisé frauduleusement la carte essence de son entreprise. Depuis mars dernier, quatre utilisations non justifiées ont été répertoriées, dont une en début de semaine. Le préjudice s’élève à 330 euros. Il s’est engagé à rembourser son employeur.

Un jeune homme de 20 ans a été conduit à la maison d’arrêt de Besançon ce jeudi. Mardi soir, alors que les policiers s’appétaient à le placer en garde à vue, ils constatent qu’il était en possession de deux grammes de résine de cannabis et 260 euros. Il s’est alors mis à insulter les fonctionnaires. Lors de son audition, il a reconnu les faits, précisant qu’il avait bu de l’alcool. Jugé en comparution immédiate ce jeudi après-midi, il a été condamné à une peine de sept mois de prison ferme par la justice.

Un homme de 27 ans devra se présenter en janvier prochain devant le tribunal judiciaire de Besançon. Mardi soir, vers 23h15, alors qu’il était fortement alcoolisé, il a participé à une rixe, place de la Révolution, au centre-ville de Besançon. L’homme, qui s’apprêtait à reprendre son véhicule, a refusé d’obéir aux injonctions des policiers, mais il a rapidement été interpellé. Il présentait un taux de plus de 2 grammes d’alcool dans le sang. Il a été placé en garde à vue. Lors de son audition, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés.

Ce mercredi matin, la chambre de l’instruction de Besançon n’a pas répondu favorablement aux demandes de l’anesthésiste bisontin Frédéric Péchier. Ce dernier avait demandé l’annulation de certaines mises en examen. Il n’en sera rien.. Il reste mis en examen pour 30 empoisonnements, dont 12 mortels. Le docteur Péchier est toujours libre, placé sous contrôle judiciaire.

La garde à vue d’un chauffeur-livreur récidiviste a été prolongée à Pontarlier. Ce mardi matin, lors d’un contrôle, il est apparu que son permis de conduire lui avait été retiré après une décision judiciaire. Il ne pouvait donc plus conduire. Au cours de son audition, il a reconnu les faits.