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Un homme de 37 ans a été conduit à la maison d’arrêt de Besançon hier. Lors d’une patrouille dans le quartier de Planoise, dans le secteur de la Place Cassin, les policiers ont constaté la présence de cet individu qui faisait l’objet d’une fiche de recherche, avec une peine de quatre ans et demi de prison à effectuer. Lors de son audition, il a expliqué aux policiers qu’il avait déposé un pourvoi en cassation, par le biais de son avocat. Ce qui s’avérait inexact. Dans ces conditions, il a été présenté à magistrat, qui a mis en application la sentence.

Le Montbéliardais Jean-Pierre Dartevelle, ancien vice-président de la Fédération Française de Tennis, est renvoyé aux assises de Montbéliard pour viol. Le septuagénaire est soupçonné par la justice d'avoir profité de son emprise sur une joueuse de 17 ans entre 2016 et 2018. L’individu va faire appel de cette décision. Il évoque des rapports consentants. Rappelons qu’il avait été placé en garde à vue en septembre 2018 pour "corruption de mineur et atteinte sexuelle sur mineur de plus de 15 ans".

En marge des rassemblements contre la défense des retraites à Besançon, cinq personnes, âgées entre 14 et 27 ans, ont été interpellées le 28 mars dernier. Elles devront s’expliquer devant la justice. Ces jeunes gens ont jeté des projectiles et proféré de nombreuses insultes en direction des forces de l’ordre. Certains reconnaissent les faits qui leur sont reprochés. D’autres, malgré l’appui formel des vidéos, les nient.

Un adolescent de 16 ans devra s’expliquer le 24 mai prochain devant le délégué du procureur et le 24 avril devant la protection judiciaire de la jeunesse. Le 28 mars, en marge de la manifestation contre la défense des retraites,  à Besançon,  il a jeté des projectiles et proféré de nombreuses insultes en direction des forces de l’ordre. Lors de son audition, pendant sa garde à vue, il n’a pas reconnu les faits, pourtant confirmés par les exploitations de la vidéosurveillance.

La cour d’assises de Besançon a rendu son verdict. Bechir Tabarki, le meurtrier de Jeannine Dessay, le 15 avril 2019 à Pontarlier, a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 22 ans, hier. Les jurés ont suivi les réquisitions prononcées plus tôt. Son procès s’était ouvert mardi. Rappelons que la sexagénaire a reçu 19 coups de couteau dans les toilettes de l’hypermarché Géant Casino. Justice et experts ont estimé que l’homme ne souffrait d’aucune altération du discernement. Il  a dix jours pour faire appel.

La décision est tombée. L’anesthésiste Frédéric Péchier a été mis en examen pour un nouvel empoisonnement présumé ce mercredi après-midi. Ce qui porte désormais à 30 le nombre de cas pour lequel il serait impliqué. Le docteur Péchier était convoqué pour la 3è fois depuis début mars par la juge d’instruction chargée de l’affaire. Par ailleurs, il a été placé sous le statut de témoin assisté pour un autre cas.  

L’anesthésiste bisontin Frédéric Péchier avait de nouveau rendez-vous avec la justice ce mercredi. Il a une nouvelle fois encore été convoqué par la juge d’instruction, dont il avait demandé la récusation. Déjà mis en examen pour 29 cas présumés d’empoisonnements de patients, le docteur Péchier pourrait se voir notifier deux autres cas. Il est arrivé ce matin, vers 10h, au tribunal judiciaire de Besançon, accompagné de l’un de ses avocats, Maître Randall Schwerdorffer.Lors de ses précédentes convocations, il a toujours choisi de garder le silence.

Un homme de 23 ans devra s’expliquer en octobre prochain devant la justice. Lors d’un contrôle, mené dans la nuit de lundi à mardi, rue des Sources, les policiers ont découvert sur le siège passager : un poing américain multifonction, un couteau dont la lame était déployée et une bombe lacrymogène.

Une matraque télescopique se trouvait au niveau d’un vide poche. Son taux d’alcoolémie était de 1,48 gramme d’alcool par litre de sang. Il a été placé en garde à vue différé. Lors de son audition, après dégrisement total, l’intéressé ne reconnaissait pas les faits, précisant qu’il ne conduisait pas lors de son contrôle. Il ajouta que les armes se trouvaient dans le coffre de son véhicule. Son véhicule a été confisqué et les armes détruites.

Ce mardi 28 mars débutera aux assises de Besançon, le procès du meurtrier présumé de Jeanine Dessay. La sexagénaire avait été sauvagement tuée de 19 coups de couteau dans les toilettes du supermarché Géant Casino de Pontarlier le 15 avril 2019.  

Jeanine Dessay, cette landaise d’origine, était une femme de cœur, infirmière au CCAS et très proche des sans-abris. Tout pousse à croire qu’elle s’est malheureusement retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment ce 15 avril 2019. 19 de coups de couteau lui arrachent la vie. Le meurtrier présumé, un quarantenaire, bien connu des services de police. Trafic de stupéfiants, atteintes aux biens, vol à main armée, un casier judiciaire est bien rempli. Il était d’ailleurs sorti d’une prison suisse le 8 avril, soit une semaine précédant le meurtre.

Selon des sources de nos confrères, des éléments permettent d’affirmer qu’il avait visionné plusieurs films pornographiques sur un ordinateur dans sa chambre d’hôtel, avant de se rendre dans ce supermarché. Mais la victime a été retrouvée habillée, sans aucune trace d’agression sexuelle. Les caméras de vidéosurveillance montrent tout de même que l’individu est arrivé 30 minutes avant le meurtre dans les toilettes pour dames. Si le mobile sexuel a été le seul envisagé pour l'heure, l’accusé l’a toujours nié. Des nombreuses réponses sont attendues au cours de ce procès qui durera jusqu’à mercredi.  

17 armes (fusils et armes de poings), 7000 munitions et 5 grenades ont été découvertes au domicile d’un habitant de Lons-le-Saunier. Mercredi soir, vers 20h, cet individu, après avoir stationné son véhicule sur le parking de sa résidence, a menacé sa voisine à l’aide de son fusil, tout juste sorti de son coffre. L’ensemble des armes ont fait l’objet d’une mesure conservatoire. Son permis de chasser lui a été retiré. Une interdiction de détenir des armes et des munitions a également été prononcée. L’individu a été placé en garde à vue, avant d’être remis en liberté.