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Le commissariat de police de Pontarlier appelle la population à la prudence et à la vigilance. Les forces de l’ordre du Haut-Doubs ont constaté une recrudescence des démarchages à domicile, avec leurs lots d’arnaques en tous genres. Le commandant Trousseau rappelle l’importance de ne pas s’engager définitivement et demander de bénéficier du délai de sept jours de réflexion, associé au droit de rétractation à l’issue. N’hésitez pas à vérifier que vos interlocuteurs sont en capacité de présenter des documents réglementaires. En cas de doute, n’hésitez pas à joindre les forces de l’ordre, et notamment le commissariat de Pontarlier, en composant le 03.81.38.51.10

La sagacité des policiers pontissaliens a payé. Ce jeudi après-midi, lors d’une patrouille, ils sont parvenus à identifier l’auteure présumée d’un vol de sac à main, commis en février dernier dans un commerce du centre-ville de la cité. La Bisontine a été conduite manu militari au commissariat. Il a été découvert sur elle un couteau.  La mise en cause devra s’expliquer devant la justice.

Suite au démarchage illégal, dernièrement mené par un groupe de collégiens sur la commune de Doubs, la police nationale et son réfèrent à la cause animale ont remis la valeur du préjudice récolté à la Société Protectrice des Animaux. Rappelons que ces jeunes gens ont prétexté une action caritative, en faveur de cette association, pour récolter quelques subsides. Soit environ une centaine d’euros.

Depuis le mois de janvier dernier, un référent policier et gendarme est nommé dans chaque commissariat de police et brigade de gendarmerie de France pour lutter contre les violences et autres mauvais traitements infligés  aux animaux. Cette organisation fait suite à un partenariat, impliquant la SPA et les ministères de l’Agriculture et de l’Intérieur.

Dans le cadre d’une opération de sensibilisation sur la sécurité des femmes dans l’espace public, à l’initiative de Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, Jean-François Colombet, le Préfet du Doubs, a mouillé la chemise dans le hall de la gare Viotte de Besançon ce mercredi après-midi.  A ses côtés, le Commandant Michel Perrin et des représentantes d’associations engagées dans cette cause.

Nationalement, ce sont cinq millions de flyers qui seront distribués par les policiers et les gendarmes dans le cadre de cette démarche, baptisée « aller vers nos concitoyens Â». L’objectif de ce document est d’informer et rappeler à chacune et chacun les gestes à avoir lorsque l’on est témoin ou victime d’une agression. Le préfet du Doubs explique  que le harcèlement de rue «  prend une importance considérable Â». M. Colombet est venu dire aux femmes que le gouvernement français était pleinement mobilisé à leurs côtés, que les forces de l’ordre ont été formées pour les écouter et agir et  qu’un travail de proximité est mené avec le milieu associatif local.

L'interview de la rédactuion : Jean-François Colombet

 

 

prefet gare violences

Les associations veulent plus de moyens

Cette sensibilisation passe par une présence renforcée des policiers et gendarmes sur le terrain, mais le monde associatif demande aussi un accompagnement encore plus fort de l’état. Pour Christine Perrot, militante à l’association Solidarité Femmes, la présence policière est insuffisante. Il faut faire changer les mentalités et mener une politique éducative forte. « Il faut changer l’état d’esprit des hommes Â» explique Mme Perrot. Cette dernière demande plus que « cette action de communication Â». Elle veut « des moyens supplémentaires pour les associations Â» afin qu’elles puissent mener leurs actions auprès des victimes et continuent à Å“uvrer auprès des nouvelles générations pour lutter contre le sexisme et toutes les formes de violences, qu’elles soient physiques ou verbales.

L'interview de la rédaction : Christine Perrot

Un jeune homme, âgé de 16 ans, fait l’objet de poursuites. Le 28 mai dernier, il a jeté deux colis alimentaires, contenant de la viande, par-dessus le mur d’enceinte de la maison d’arrêt de Besançon. Au cours de sa garde à vue, il a reconnu les faits. L’adolescent serait également impliqué dans une affaire similaire.

Les policiers bisontins ont surveillé durant plusieurs semaines un appartement de la rue des Causses. Deux hommes, âgés d’une vingtaine et d’une trentaine d’années, dont le propriétaire de l’appartement « nourrice Â», ont été interpellés et placés en garde à vue le 25 mai dernier. L’un d’eux était en possession de près de 2.000 euros et de plusieurs pochons de cocaïne, d’un poids total de 34 grammes.

Dans l’appartement, se trouvaient 680 euros, deux carabines, trois pistolets, diverses munitions de différents calibres et des produits stupéfiants, dont 2 pains d’héroïne et des pochons conditionnés de cocaïne et d’héroïne. Pour un poids total de 1400 grammes d’héroïne, près de 500 grammes de cocaïne et 90 grammes de produits de coupe.  

Suite à l’appel à témoins, concernant les agissements d’un groupe de 4 jeunes, de moins de 14 ans, soupçonnés d’être impliqués dans une tentative d’escroquerie sur la commune de Doubs, la police pontissalienne a recueilli 23 plaintes. Rappelons que ces adolescents se sont rendus au domicile de personnes, prétextant une action caritative de la SPA, pour recueillir des fonds. Le montant recueilli est estimé à 100 euros.

Convoqués, ils ont été entendus par les forces de l’ordre. Ils ont reconnu les faits. Ils devront rembourser leurs victimes. Leur collège, qu’ils présentaient comme partenaire de l’opération, a porté plainte. Les quatre jeunes devront également s’expliquer devant le conseil de discipline de leur établissement scolaire.

L’opération anti-rodéo, menée mercredi à Besançon, avec l’aide d’un avion de la Police aux Frontières, a permis de mener 16 contrôles de deux roues et sept verbalisations, dont deux défauts d’assurance, un défaut de permis de conduire et deux ports d’arme prohibée. Il s’agissait d’armes de catégories A et D.

Une opération anti-rodéo était menée ce mercredi après-midi à Besançon. Un avion de la Police aux Frontières était mobilisé pour l’occasion. Il est venu apporter un soutien aux équipes au sol. Des contrôles mobiles étaient prévus sur toute la circonscription notamment sur le Boulevard, Planoise, St Claude et les Clairs Soleils. Des territoires où les nuisances sonores sont les plus fréquemment constatées. Le but étant de localiser la progression des délinquants et de saisir les engins.

Un jeune homme de 18 ans, qui avait tenté de prendre la fuite à la vue des policiers, le 22 mai dernier, est toujours en garde à vue, ce matin, à Besançon. Son interpellation a été effectuée le 22 mai, en fin d’après-midi, rue de Fribourg.

A ses pieds, la patrouille a découvert plusieurs sachets transparents, laissant apparaître des produits stupéfiants. Lors de  la fouille, 330 euros ont été découverts sur lui. Lors de son audition, il a expliqué qu’il vendait des produits stupéfiants pour le compte d’un tiers afin de rembourser une dette.